Le terrorisme est l’un des fléaux qui menace la paix et la sécurité du monde en ce 21ème siècle. Menace transversal, le terrorisme sème la mort et la désolation partout et sur tout, sans distinction. Pour contrer cette grave menace, des forums, sommets et rencontres se tiennent tous azimuts à travers le monde. La conférence de Paris qui s’est ouverte le 6 juin dernier s’inscrit dans cette dynamique de recherche de voies et moyens pouvant mettre un terme si non atténuer le danger que représente le terrorisme.
Pendant trois jours, les participants venus de tous les horizons du monde ont mis à profit ce rendez-vous pour échanger et créer des mécanismes d’alerte permanente, afin d’endiguer ce phénomène qui continue à semer la terreur de par le monde.
Représenté à ces assises par son ministre des affaires étrangères, de la coopération et des congolais de l’étranger, Jean Claude Gakosso, le Congo a fait entendre sa voix à la tribune de ces assises. Pour le chef de la diplomatie congolaise, il est temps pour la communauté francophone de faire « bloc contre les intégristes en bâtissant une stratégie concertée afin de donner une réponse collective à ce phénomène ».
Pour sa part, la secrétaire générale de l’OIF, Michaelle Jean, a pensé que répondre par la force ne suffit pas. Elle a plaidé pour une mobilisation en faveur de l’éducation et de l’emploi des jeunes, afin de donner à la jeunesse les raisons d’espérer.
A noter qu’en marge de ces assises, le chef de la diplomatie congolaise a été reçu en audience par la secrétaire générale de l’OIF. Jean Claude Gakosso était porteur d’une lettre du président Denis Sassou N’Guesso à Madame Michaelle Jean. Cette rencontre qui n’est pas la première entre les deux personnalités témoigne du climat de bonnes relations entre le Congo et l’OIF, dont le soutien au processus de modernisation des institutions congolaises est bien apprécié par les autorités congolaises.
Tout nouveau.
Pendant trois jours, les participants venus de tous les horizons du monde ont mis à profit ce rendez-vous pour échanger et créer des mécanismes d’alerte permanente, afin d’endiguer ce phénomène qui continue à semer la terreur de par le monde.
Représenté à ces assises par son ministre des affaires étrangères, de la coopération et des congolais de l’étranger, Jean Claude Gakosso, le Congo a fait entendre sa voix à la tribune de ces assises. Pour le chef de la diplomatie congolaise, il est temps pour la communauté francophone de faire « bloc contre les intégristes en bâtissant une stratégie concertée afin de donner une réponse collective à ce phénomène ».
Pour sa part, la secrétaire générale de l’OIF, Michaelle Jean, a pensé que répondre par la force ne suffit pas. Elle a plaidé pour une mobilisation en faveur de l’éducation et de l’emploi des jeunes, afin de donner à la jeunesse les raisons d’espérer.
A noter qu’en marge de ces assises, le chef de la diplomatie congolaise a été reçu en audience par la secrétaire générale de l’OIF. Jean Claude Gakosso était porteur d’une lettre du président Denis Sassou N’Guesso à Madame Michaelle Jean. Cette rencontre qui n’est pas la première entre les deux personnalités témoigne du climat de bonnes relations entre le Congo et l’OIF, dont le soutien au processus de modernisation des institutions congolaises est bien apprécié par les autorités congolaises.
Tout nouveau.