Le rappel intervient dans un contexte marqué par de nombreux débats et prises de positions d’acteurs politiques et de la société civile, notamment sur le processus de révision constitutionnelle en cours, ou encore les prochaines consultations électorales.
“Le relais d’informations via les médias traditionnels ou par le truchement des réseaux sociaux reste soumis au respect de la déontologie et de l’éthique en matière d’information et de communication, et généralement à un devoir de responsabilité et de vérification des contenus partagés”, ont dans ce sens indiqué Mipamb Nahm-Tchougli et Calixte Madjoulba.
Pour l’exécutif, “la promotion d’un environnement médiatique et numérique sûr pour tous demeure un élément fondamental pour la protection des libertés individuelles et publiques, et pour le renforcement de la démocratie dans le pays”. Aussi, convie-t-il à “plus de responsabilités” dans les différentes actions de diffusion et de redistribution.
“Le relais d’informations via les médias traditionnels ou par le truchement des réseaux sociaux reste soumis au respect de la déontologie et de l’éthique en matière d’information et de communication, et généralement à un devoir de responsabilité et de vérification des contenus partagés”, ont dans ce sens indiqué Mipamb Nahm-Tchougli et Calixte Madjoulba.
Pour l’exécutif, “la promotion d’un environnement médiatique et numérique sûr pour tous demeure un élément fondamental pour la protection des libertés individuelles et publiques, et pour le renforcement de la démocratie dans le pays”. Aussi, convie-t-il à “plus de responsabilités” dans les différentes actions de diffusion et de redistribution.