Lomé, le 08 janvier 2018- Depuis le début de la rentrée scolaire 2017/2018 au Togo, le secteur de l’éducation est en proie à des menaces de grèves des enseignants du primaire et du secondaire.
Une nouvelle grève avait été annoncée pour ce lundi 8 janvier mais elle a été finalement suspendue par les responsables syndicales qui affirment vouloir donner une chance aux négociations avec le gouvernement.
Pour les responsables de la Coordination des Syndicats des Enseignants du Togo (CESET), il s’agit d’une trêve pour donner une chance aux discussions débutées avec le gouvernement le 4 janvier dernier. « Lors de notre Assemblée Générale de samedi 6 janvier avec les autres fédérations, certains ont voulu que nous puissions déposer un mot d’ordre de grève avant de rentrer en négociations mais d’autres ont suggéré que nous puissions aller écouter ce que l’autorité va proposer et si cela ne nous convient pas, qu’on puisse entrer en mouvement », a indiqué le Porte-parole de la CSET, Atsou Atcha ce lundi 8 janvier 2018.
Selon la CSET, il y a nécessité d’aller écouter le gouvernement avant toute chose. « Ce qui nous amène naturellement à reprendre les cours en attendant juste de voir ce que les négociations vont donner. Si ces discussions n’aboutissent pas, nous pouvons entrer en grève », a-t-il insisté. Atsou Atcha a donc convié ses camarades enseignants à reprendre les cours ce lundi 8 janvier qui marque également le début du second trimestre pour les élèves après deux semaines de pause pour les fêtes de fin d’année.
Cette décision de la CSET est plus que salutaire d’autant plus que depuis le début de cette crise, le gouvernement a toujours préconisé le dialogue comme mode de résolution des préoccupations des enseignants. Le prochain dialogue entre gouvernement et syndicats des enseignants est prévu pour le 11 janvier 2018. Cette décision avait été prise à l’issue de la rencontre entre le chef du gouvernement, Komi Sélom Klassou et le bureau exécutif du Conseil National du Dialogue Sociale (CNDS) le 4 janvier dernier à la Primature à Lomé.
« Le CNDS, à la demande du gouvernement, avait déjà rencontré les syndicats des enseignants et transmis des recommandations au Premier Ministre, au cours d’une rencontre le 15 décembre 2017. Le gouvernement devait reprendre le dialogue avec les fédérations d’enseignants pour examiner, encore à leur niveau, les points qui n’ont pas encore trouvé de solutions consensuelles » avait laissé entendre le président du CNDS, Kondé Sangbana.
Il est à rappeler que la plupart des revendications formulées l’année dernière par les syndicats des enseignants avaient trouvé des solutions. Elles étaient relatives notamment au statut particulier des enseignants, à l’intégration dans la fonction publique et aux cotisations de certains enseignants auxiliaires.
Une nouvelle grève avait été annoncée pour ce lundi 8 janvier mais elle a été finalement suspendue par les responsables syndicales qui affirment vouloir donner une chance aux négociations avec le gouvernement.
Pour les responsables de la Coordination des Syndicats des Enseignants du Togo (CESET), il s’agit d’une trêve pour donner une chance aux discussions débutées avec le gouvernement le 4 janvier dernier. « Lors de notre Assemblée Générale de samedi 6 janvier avec les autres fédérations, certains ont voulu que nous puissions déposer un mot d’ordre de grève avant de rentrer en négociations mais d’autres ont suggéré que nous puissions aller écouter ce que l’autorité va proposer et si cela ne nous convient pas, qu’on puisse entrer en mouvement », a indiqué le Porte-parole de la CSET, Atsou Atcha ce lundi 8 janvier 2018.
Selon la CSET, il y a nécessité d’aller écouter le gouvernement avant toute chose. « Ce qui nous amène naturellement à reprendre les cours en attendant juste de voir ce que les négociations vont donner. Si ces discussions n’aboutissent pas, nous pouvons entrer en grève », a-t-il insisté. Atsou Atcha a donc convié ses camarades enseignants à reprendre les cours ce lundi 8 janvier qui marque également le début du second trimestre pour les élèves après deux semaines de pause pour les fêtes de fin d’année.
Cette décision de la CSET est plus que salutaire d’autant plus que depuis le début de cette crise, le gouvernement a toujours préconisé le dialogue comme mode de résolution des préoccupations des enseignants. Le prochain dialogue entre gouvernement et syndicats des enseignants est prévu pour le 11 janvier 2018. Cette décision avait été prise à l’issue de la rencontre entre le chef du gouvernement, Komi Sélom Klassou et le bureau exécutif du Conseil National du Dialogue Sociale (CNDS) le 4 janvier dernier à la Primature à Lomé.
« Le CNDS, à la demande du gouvernement, avait déjà rencontré les syndicats des enseignants et transmis des recommandations au Premier Ministre, au cours d’une rencontre le 15 décembre 2017. Le gouvernement devait reprendre le dialogue avec les fédérations d’enseignants pour examiner, encore à leur niveau, les points qui n’ont pas encore trouvé de solutions consensuelles » avait laissé entendre le président du CNDS, Kondé Sangbana.
Il est à rappeler que la plupart des revendications formulées l’année dernière par les syndicats des enseignants avaient trouvé des solutions. Elles étaient relatives notamment au statut particulier des enseignants, à l’intégration dans la fonction publique et aux cotisations de certains enseignants auxiliaires.