Illustration © DR
Le séisme politique en Afghanistan ne s’est pas encore calmé alors que l’Administration américaine a déjà assigné une autre tâche à ses services de renseignement. Le 26 mai, le Président Joe Biden a ordonné à ses services de renseignement de mener une enquête pour déterminer « si le nouveau coronavirus provenait d’une fuite d’un laboratoire chinois » et de lui soumettre un rapport à ce sujet dans 90 jours. Cette absurdité a du coup suscité un brouhaha.
Comme nous le savons tous, le traçage de l’origine du COVID-19 est une question purement scientifique qui doit être mené par les scientifiques professionnels. Le fait que l’Administration américaine a décidé d’employer dans ces recherches des agents de renseignement à la place des scientifiques, ne peut que provoquer le doute et le mépris de la communauté internationale. Son objectif n’est rien d’autre que de coller de force l’étiquette de « l’origine du nouveau coronavirus » sur la Chine et d’en faire la cible de toutes les attaques, rejetant ainsi ses propres responsabilités pour couvrir sa performance scandaleuse dans la lutte contre la pandémie.
En avril 2019, le Secrétaire d’État américain d’alors Mike Pompeo a publiquement dit : « J’étais directeur du CIA. On ment, on fraude, on vole. On a même un cursus de formation en ces matières. C’est la gloire américaine pour progresser. » Quel honte!
C’est un secret de polichinelle que les services de renseignements américains, pion de l’Administration américaine, font tout leur possible pour atteindre les objectifs politiques des États-Unis.
En 2003, ils ont concocté un rapport prétendant que l’Iraq possédait des armes de destruction massive. Les États-Unis s’en sont servi comme prétexte pour lancer la guerre contre l’Iraq, causant des centaines de milliers de morts et de blessés, plus d'un million de personnes en sont devenues des sans-abris. Ce qui indigne le plus, c’est que l’Administration américaine n’a trouvé aucune arme de destruction massive en Iraq, qui a été obligée d’avouer que sa prétendue preuve n’était rien qu’un tube de lessive en poudre.
En 2018, les services de renseignement américains ont recouru à leurs anciennes astuces pour faire monter une soi-disant vidéo des « Casques blancs » sur « l’attaque chimique en Syrie », ce qui a servi de prétexte pour l’armée américaine de déclencher des frappes aériennes contre la Syrie.
Ces dernières années, les services de renseignement américains font fréquemment l’objet des scandales de mise sur écoute au monde entier par les programmes de surveillance comme « PRISM », « Irritant Horn » et « Muscular ». Même le Président français Emmanuel Macron, la Chancelière allemande Angela Merkel et d’autres dirigeants des pays alliés des États-Unis ne sont pas épargnés.
Malgré cela, les services de renseignement américains osent d’accuser sans aucune vergogne Huawei et d’autres entreprises chinoises de menacer la sécurité informatique, mettre en garde contre ces entreprises chinoises, et prôner le boycotte des équipements fabriqués en Chine. Quelle ironie!
En ce qui concerne le traçage de l’origine du COVID-19, nous croyons que le grand public est perspicace et que la communauté internationale ne se laissera pas tromper par les artifices des services de renseignement américains dont la mise en scène maladroite ne finira que par se faire humilier. Cependant, vu les souffrances des peuples afghan, syrien et irakien, la communauté internationale doit rester extrêmement vigilante aux intentions sinistres des services de renseignement américains pour ne pas leur laisser la moindre chance de nuire encore au monde.
Comme nous le savons tous, le traçage de l’origine du COVID-19 est une question purement scientifique qui doit être mené par les scientifiques professionnels. Le fait que l’Administration américaine a décidé d’employer dans ces recherches des agents de renseignement à la place des scientifiques, ne peut que provoquer le doute et le mépris de la communauté internationale. Son objectif n’est rien d’autre que de coller de force l’étiquette de « l’origine du nouveau coronavirus » sur la Chine et d’en faire la cible de toutes les attaques, rejetant ainsi ses propres responsabilités pour couvrir sa performance scandaleuse dans la lutte contre la pandémie.
En avril 2019, le Secrétaire d’État américain d’alors Mike Pompeo a publiquement dit : « J’étais directeur du CIA. On ment, on fraude, on vole. On a même un cursus de formation en ces matières. C’est la gloire américaine pour progresser. » Quel honte!
C’est un secret de polichinelle que les services de renseignements américains, pion de l’Administration américaine, font tout leur possible pour atteindre les objectifs politiques des États-Unis.
En 2003, ils ont concocté un rapport prétendant que l’Iraq possédait des armes de destruction massive. Les États-Unis s’en sont servi comme prétexte pour lancer la guerre contre l’Iraq, causant des centaines de milliers de morts et de blessés, plus d'un million de personnes en sont devenues des sans-abris. Ce qui indigne le plus, c’est que l’Administration américaine n’a trouvé aucune arme de destruction massive en Iraq, qui a été obligée d’avouer que sa prétendue preuve n’était rien qu’un tube de lessive en poudre.
En 2018, les services de renseignement américains ont recouru à leurs anciennes astuces pour faire monter une soi-disant vidéo des « Casques blancs » sur « l’attaque chimique en Syrie », ce qui a servi de prétexte pour l’armée américaine de déclencher des frappes aériennes contre la Syrie.
Ces dernières années, les services de renseignement américains font fréquemment l’objet des scandales de mise sur écoute au monde entier par les programmes de surveillance comme « PRISM », « Irritant Horn » et « Muscular ». Même le Président français Emmanuel Macron, la Chancelière allemande Angela Merkel et d’autres dirigeants des pays alliés des États-Unis ne sont pas épargnés.
Malgré cela, les services de renseignement américains osent d’accuser sans aucune vergogne Huawei et d’autres entreprises chinoises de menacer la sécurité informatique, mettre en garde contre ces entreprises chinoises, et prôner le boycotte des équipements fabriqués en Chine. Quelle ironie!
En ce qui concerne le traçage de l’origine du COVID-19, nous croyons que le grand public est perspicace et que la communauté internationale ne se laissera pas tromper par les artifices des services de renseignement américains dont la mise en scène maladroite ne finira que par se faire humilier. Cependant, vu les souffrances des peuples afghan, syrien et irakien, la communauté internationale doit rester extrêmement vigilante aux intentions sinistres des services de renseignement américains pour ne pas leur laisser la moindre chance de nuire encore au monde.