Publié tous les ans depuis 1995, l’IPC exprime les perceptions des acteurs de la vie économique sur les niveaux de corruption affectant la vie publique dans près de 180 pays. Partout dans le monde, la corruption continue à faire des ravages. En effet, deux tiers des pays évalués obtiennent un score inférieur à 50, sur une échelle allant de 0 (perçu comme fortement corrompu) à 100 (perçu comme très peu corrompu).
Dans ce classement 2012, la France se situe seulement au 22ème rang et au 9ème rang européen des Etats perçus comme les moins corrompus. Les coûts de la corruption en période de crise, tant pour les finances publiques que pour la confiance des citoyens, font qu’il y a urgence à élaborer et mettre en œuvre un véritable plan national d’action visant à renforcer l’éthique de la vie publique à tous les niveaux.
Principaux résultats
Le Danemark, la Finlande et la Nouvelle-Zélande occupent conjointement la première place du classement avec un score de 90. Ces pays bénéficient en effet de règles strictes régissant le comportement des personnes titulaires de fonctions officielles. L’Afghanistan, la Corée du Nord et la Somalie occupent les dernières places de l’Indice.
Les pays de la zone euro les plus affectés par la crise économique et financière occupent une place décevante. Transparency International recommande régulièrement à l’Union européenne de traiter les risques de corruption dans le secteur public afin de maîtriser la crise financière, et d’accentuer les efforts pour prévenir la corruption au sein des institutions publiques.
Classement de la France
Avec une note de 71 sur 100, la France se situe seulement au 22ème rang mondial et au 9ème rang européen des Etats perçus comme les moins corrompus. Notre pays est ainsi moins bien noté que le Danemark, la Finlande, la Suède, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Belgique ou encore le Royaume-Uni.
Les coûts de la corruption en période de crise, tant pour les finances publiques que pour la confiance des citoyens, font qu’il y a urgence à élaborer et mettre en œuvre un véritable plan national d’action visant à renforcer l’éthique de la vie publique à tous les niveaux.
Pour sensibiliser le plus largement possible les décideurs et l’opinion publique sur l’urgence de la situation, Transparency International France publie un rapport spécifique sur la corruption en France et lance une grande campagne de communication pour que la lutte contre la corruption et l’éthique de la vie publique soient reconnues grande cause nationale.
Transparency France appelle également l’ensemble des élus, citoyens, entreprises, syndicats et organisations de la société civile à soutenir son appel sur www.chaquesignaturecompte.com
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Dans ce classement 2012, la France se situe seulement au 22ème rang et au 9ème rang européen des Etats perçus comme les moins corrompus. Les coûts de la corruption en période de crise, tant pour les finances publiques que pour la confiance des citoyens, font qu’il y a urgence à élaborer et mettre en œuvre un véritable plan national d’action visant à renforcer l’éthique de la vie publique à tous les niveaux.
Principaux résultats
Le Danemark, la Finlande et la Nouvelle-Zélande occupent conjointement la première place du classement avec un score de 90. Ces pays bénéficient en effet de règles strictes régissant le comportement des personnes titulaires de fonctions officielles. L’Afghanistan, la Corée du Nord et la Somalie occupent les dernières places de l’Indice.
Les pays de la zone euro les plus affectés par la crise économique et financière occupent une place décevante. Transparency International recommande régulièrement à l’Union européenne de traiter les risques de corruption dans le secteur public afin de maîtriser la crise financière, et d’accentuer les efforts pour prévenir la corruption au sein des institutions publiques.
Classement de la France
Avec une note de 71 sur 100, la France se situe seulement au 22ème rang mondial et au 9ème rang européen des Etats perçus comme les moins corrompus. Notre pays est ainsi moins bien noté que le Danemark, la Finlande, la Suède, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Belgique ou encore le Royaume-Uni.
Les coûts de la corruption en période de crise, tant pour les finances publiques que pour la confiance des citoyens, font qu’il y a urgence à élaborer et mettre en œuvre un véritable plan national d’action visant à renforcer l’éthique de la vie publique à tous les niveaux.
Pour sensibiliser le plus largement possible les décideurs et l’opinion publique sur l’urgence de la situation, Transparency International France publie un rapport spécifique sur la corruption en France et lance une grande campagne de communication pour que la lutte contre la corruption et l’éthique de la vie publique soient reconnues grande cause nationale.
Transparency France appelle également l’ensemble des élus, citoyens, entreprises, syndicats et organisations de la société civile à soutenir son appel sur www.chaquesignaturecompte.com
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