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Tunisie: Elnahda reconnait sa défaite
Au lendemain du scrutin législatif, le parti religieux Ennahda, majoritaire à l'Assemblée Constituante, a félicité le parti Nidaa Tounès et reconnu être arrivé en deuxième position.
La formation a indiqué baser ses estimations sur les décomptes des voix, où ses observateurs sont présents.
Le parti Nidaa Tounès n'a pas commenté jusqu'à présent. Un peu plus tôt, son leader Béji Caïd Essebsi, avait dit être optimiste quant aux premières indications, mais s'en remettre à la proclamation officielle des résultats.
L'instance supérieure indépendante pour les élections pourrait dès ce lundi soir donner des résultats partiels.
La participation au scrutin de dimanche, à hauteur de 60%, a été unanimement saluée dans le pays comme une victoire pour la démocratie.
Ce scrutin marque la sortie de la transition. Il est le premier du genre depuis la chute du régime de Ben Ali en 2011.
La fin de la transition sera parachevée lors des élections présidentielles du 23 novembre.
Les élections législatives ont montré une polarisation de la vie politique entre partis laïcs et partis religieux. Nidaa Tounès et Ennahda partaient largement favoris avant l'ouverture des bureaux de vote.
La formation a indiqué baser ses estimations sur les décomptes des voix, où ses observateurs sont présents.
Le parti Nidaa Tounès n'a pas commenté jusqu'à présent. Un peu plus tôt, son leader Béji Caïd Essebsi, avait dit être optimiste quant aux premières indications, mais s'en remettre à la proclamation officielle des résultats.
L'instance supérieure indépendante pour les élections pourrait dès ce lundi soir donner des résultats partiels.
La participation au scrutin de dimanche, à hauteur de 60%, a été unanimement saluée dans le pays comme une victoire pour la démocratie.
Ce scrutin marque la sortie de la transition. Il est le premier du genre depuis la chute du régime de Ben Ali en 2011.
La fin de la transition sera parachevée lors des élections présidentielles du 23 novembre.
Les élections législatives ont montré une polarisation de la vie politique entre partis laïcs et partis religieux. Nidaa Tounès et Ennahda partaient largement favoris avant l'ouverture des bureaux de vote.
