« Après avoir fait un tour dans les restaurants de N’djamena, j’ai dé cid é d’en ouvrir un, à mon compte », a souligné à Alwihda actualités, la patronne du restaurant érythréen Asmara . Dans « Resto Asmara » qu’elle gère, et qui se trouve en face de la Place de la Nation , Searit Chaline qui maîtrise la langue française, se dit satisfaite de l’ affaire , puisqu’elle est soutenue parsonmari et ses compatriotes. Tout a commencé en 2005 lorsqu’elle a débarqué au Tchad avec son mari de nationalité française, un connaisseur du Tchad. En 2009, Searit Chaline a décidé d’ouvrir un restaurant. Aujourd’hui , Searit Chaline consacre tout son tempspour la gestion de son restaurant qui s’est agrandi à partir de décembre 2011. Avec une dizaine de tchadiens embauchés, le restaurant tourne 6 sur 7, de 10 heures à minuit . Au premier étage, une salle est amé nagée pour des concerts , des séminaires, des ateliers ou la célébration d’un anniversaire . On trouve aussi plusieurs espaces dont celui du VIP. Spécialiste en cuisine, Searit Chaline propose à ses clients différents plats africains.
Lire l’ int égralité de l’interview
Alwihda: Mme Searit Chaline quand est ce que vous êtes arrivée au Tchad?
Searit Chaline: Je suis rentrée au Tchad en 2005. J’avoue que j’ai aimé ce pays dont les gens et la tradition ne diffèrent pas de l’Erythrée.
Alwihda: Pourquoi avez-vous choisi de venirvivre au Tchad?
Searit Chaline: J’ai accompagné mon mari de nationalité française qui a eu un contrat. de travail au Tchad. Au début c’était pour resterdeux ans mais nous voilà installés dans ce pays.
Alwihda: Comment avez-vous eu l’idée d’ouvrir un restaurant de spécialité érythréenne au Tchad?
Searit Chaline: J’ai une expérience de la cuisine érythréenne. L’idée d’ouvrir un restaurant m’est arrivée après avoir fait le tour des restaurants à N’djamena. J’ai compris qu’il ya de la place pour des restaurants de spécialité.
Alwihda: Quelles difficultés avez-vous rencontrées pour l’ ouverture et la gestion du restaurant?
Searit Chaline: Avant décembre, nous supportons les charges de loyer qui sont trop élevées. Avec le transfert du restaurant dans ce nouveaulocal qui nous appartient, nous avons réduit les charges.
Alwihda: Quelle est le nombre d’érythréens à N’djamena?
Searit Chaline: Avant les événements de la Libye, il y avait une trentaine d’érythréens à N’djamena. Le nombre a augmenté avec l’arrivée d’une cinquantaine de compatriotes. Mais je voudrai attirer votre attention que le restaurant n’est pas limité qu’aux érythréens. Il est ouvert à tout le monde à qui nous proposons toutes les recettes qu’elles soient africaines, occidentales, orientales ou asiatiques. Nous avons des cuisiniers expérimentés et les clients qui nous fréquentent ont apprécié cette diversité en matière de cuisine.
Alwihda: Est-ce que vos compatriotes sont contents lorsqu’ils découvrent une spécialité érythréenne à N’djamena?
Searit Chaline: Bien sûr que oui . Ils sont nonseulement contents mais ils m’aident beaucoup comme vous pouvez le constater.
Alwihda: votre mot de fin ?
Searit Chaline: Je tiens à remercier le journal Alwihda. Je saisi aussi l’ occasion pour exprimer la disponibilité de « Resto Asmara » d’accueillir avec plaisir tous ceux qui veulent gouternos recettes. Nous sommes ouverts tous les jours sauf mardi.
Entretien réalisé par M. Buocaya
Alwihda actualité du 7 mai
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Alwihda: Mme Searit Chaline quand est ce que vous êtes arrivée au Tchad?
Searit Chaline: Je suis rentrée au Tchad en 2005. J’avoue que j’ai aimé ce pays dont les gens et la tradition ne diffèrent pas de l’Erythrée.
Alwihda: Pourquoi avez-vous choisi de venirvivre au Tchad?
Searit Chaline: J’ai accompagné mon mari de nationalité française qui a eu un contrat. de travail au Tchad. Au début c’était pour resterdeux ans mais nous voilà installés dans ce pays.
Alwihda: Comment avez-vous eu l’idée d’ouvrir un restaurant de spécialité érythréenne au Tchad?
Searit Chaline: J’ai une expérience de la cuisine érythréenne. L’idée d’ouvrir un restaurant m’est arrivée après avoir fait le tour des restaurants à N’djamena. J’ai compris qu’il ya de la place pour des restaurants de spécialité.
Alwihda: Quelles difficultés avez-vous rencontrées pour l’ ouverture et la gestion du restaurant?
Searit Chaline: Avant décembre, nous supportons les charges de loyer qui sont trop élevées. Avec le transfert du restaurant dans ce nouveaulocal qui nous appartient, nous avons réduit les charges.
Alwihda: Quelle est le nombre d’érythréens à N’djamena?
Searit Chaline: Avant les événements de la Libye, il y avait une trentaine d’érythréens à N’djamena. Le nombre a augmenté avec l’arrivée d’une cinquantaine de compatriotes. Mais je voudrai attirer votre attention que le restaurant n’est pas limité qu’aux érythréens. Il est ouvert à tout le monde à qui nous proposons toutes les recettes qu’elles soient africaines, occidentales, orientales ou asiatiques. Nous avons des cuisiniers expérimentés et les clients qui nous fréquentent ont apprécié cette diversité en matière de cuisine.
Alwihda: Est-ce que vos compatriotes sont contents lorsqu’ils découvrent une spécialité érythréenne à N’djamena?
Searit Chaline: Bien sûr que oui . Ils sont nonseulement contents mais ils m’aident beaucoup comme vous pouvez le constater.
Alwihda: votre mot de fin ?
Searit Chaline: Je tiens à remercier le journal Alwihda. Je saisi aussi l’ occasion pour exprimer la disponibilité de « Resto Asmara » d’accueillir avec plaisir tous ceux qui veulent gouternos recettes. Nous sommes ouverts tous les jours sauf mardi.
Entretien réalisé par M. Buocaya
Alwihda actualité du 7 mai