Un père de famille a découvert vendredi matin les corps de ses trois enfants, a priori égorgés, au domicile familial à Dampmart, en Seine-et-Marne, tandis que la mère est introuvable et injoignable. Agée d'une quarantaine d'années, celle-ci est activement recherchée par la police. Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est le père qui a donné l'alerte vers 7h15. Ce médecin, qui exerce à Lagny-sur-Marne, était en train de rentrer chez lui, dans une petite rue cossue de Dampmart, située à une trentaine de kilomètres à l'est de Paris, lorsqu'il a fait la macabre découverte. Il est en état de choc et a été pris en charge médicalement, d'après une source proche de l'enquête.
À leur arrivée sur place, les secours ont d'abord trouvé le corps d'une fillette de onze ans, puis de son petit frère de neuf ans, qui présentait de nombreuses blessures à l'arme blanche. Le frère aîné âgé de dix-sept ans était encore en vie à l'arrivée des secours, mais il est finalement décédé. «Les enfants ont a priori été égorgés, mais on n'a pas encore les constatations médico-légales», a indiqué une source judiciaire, précisant que le père de famille «dit qu'il est rentré du travail, qu'il a découvert ses enfants comme ça et a avisé la police».
Le couple connaissait des différends conjugaux qui seraient liés à l'alcool. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles. Le Figaro
À leur arrivée sur place, les secours ont d'abord trouvé le corps d'une fillette de onze ans, puis de son petit frère de neuf ans, qui présentait de nombreuses blessures à l'arme blanche. Le frère aîné âgé de dix-sept ans était encore en vie à l'arrivée des secours, mais il est finalement décédé. «Les enfants ont a priori été égorgés, mais on n'a pas encore les constatations médico-légales», a indiqué une source judiciaire, précisant que le père de famille «dit qu'il est rentré du travail, qu'il a découvert ses enfants comme ça et a avisé la police».
Le couple connaissait des différends conjugaux qui seraient liés à l'alcool. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles. Le Figaro