Rectorat de l'Université de N'djamena. Crédit photo : Sources
Depuis 2012, date à laquelle l’économiste Ali Abdel-Rahman Haggar a pris la gestion de cette prestigieuse institution de l’enseignement supérieur, plus rien ne marche. Le malaise demeure imminent. Les grèves du personnel d’appui se multiplient. Bien plus, de 2016 à maintenant, la colère atteint son summum, et les boys de Haggar sont allés au débrayage.
Ce natif d’Iriba, s’il n’est pas un piètre recteur, est le plus médiocre de tous les Recteurs que l’Université de N’Djaména a connus. Médiocre en termes de l’administration de l’institution. L’apparence étant toujours trompeuse. La douceur de cet homme est un cachot inextricable d’une volonté latente de tuer psychologiquement, mais sûrement, les employés de cette maison qui forme des gens qui réfléchissent. Ainsi que le Rectorat en question. Personne ne sait pourquoi cet homme d’affaires nourrit coûte que coûte le sol projet d’agonir désespérément cette Université.
Après qu’il ait remplacé Dr Sultan Maloum dans cette institution, les arriérés de salaires, des primes et consort font l’objet du malaise permanent des employés du Rectorat de l’Université de N’Djaména. Or, l’homme faisait toujours de la jeunesse une préoccupation particulière. Une fois parvenu à la tête de cette prestigieuse institution de l’Enseignement Supérieur, le promoteur du plus grand institut privé du Tchad a changé du fusil d’épaules. L’homme a toujours maille à parti avec le personnel du rectorat. Le personnel cumule aujourd’hui trois mois d’arriéré des salaires et primes et le
quatrième mois s’annonce bientôt. Après plusieurs promesses vaines et futiles, Ali Abdel-Rahman Haggar entre dans sa carapace et devient muet comme une carpe. Et à son bureau, il ne vient point et informe depuis son institut, où il travaille jours et nuits, qu’ « il n’y a pas d’argent dans le compte du rectorat, donc il ne peut pas faire du miracle ». Alors même qu’il avait parié aux travailleurs dudit rectorat s’il ne payait pas tous les arriérés jusqu’en fin janvier dernier, qu’on lui mette la corde au cou.
Ce recteur n’a aucun souci pour l’Université de N’Djaména. La preuve, c’est le cycle du Master ouvert depuis, contre son gré, au titre de l’année académique 2014-2015 mais, qui, jusque-là (soit 3 ans après) la première année n’est pas terminée. Et les étudiants sont toujours là en première année, mais cela n’émeut pas M. Ali Haggar. Mais Maintenant que les étudiants ont repris les cours après 8 mois de grève, c’est alors que les employés du Rectorat rentrent en grève,
paralysant ainsi toutes les activités académiques.
Ce natif d’Iriba, s’il n’est pas un piètre recteur, est le plus médiocre de tous les Recteurs que l’Université de N’Djaména a connus. Médiocre en termes de l’administration de l’institution. L’apparence étant toujours trompeuse. La douceur de cet homme est un cachot inextricable d’une volonté latente de tuer psychologiquement, mais sûrement, les employés de cette maison qui forme des gens qui réfléchissent. Ainsi que le Rectorat en question. Personne ne sait pourquoi cet homme d’affaires nourrit coûte que coûte le sol projet d’agonir désespérément cette Université.
Après qu’il ait remplacé Dr Sultan Maloum dans cette institution, les arriérés de salaires, des primes et consort font l’objet du malaise permanent des employés du Rectorat de l’Université de N’Djaména. Or, l’homme faisait toujours de la jeunesse une préoccupation particulière. Une fois parvenu à la tête de cette prestigieuse institution de l’Enseignement Supérieur, le promoteur du plus grand institut privé du Tchad a changé du fusil d’épaules. L’homme a toujours maille à parti avec le personnel du rectorat. Le personnel cumule aujourd’hui trois mois d’arriéré des salaires et primes et le
quatrième mois s’annonce bientôt. Après plusieurs promesses vaines et futiles, Ali Abdel-Rahman Haggar entre dans sa carapace et devient muet comme une carpe. Et à son bureau, il ne vient point et informe depuis son institut, où il travaille jours et nuits, qu’ « il n’y a pas d’argent dans le compte du rectorat, donc il ne peut pas faire du miracle ». Alors même qu’il avait parié aux travailleurs dudit rectorat s’il ne payait pas tous les arriérés jusqu’en fin janvier dernier, qu’on lui mette la corde au cou.
Ce recteur n’a aucun souci pour l’Université de N’Djaména. La preuve, c’est le cycle du Master ouvert depuis, contre son gré, au titre de l’année académique 2014-2015 mais, qui, jusque-là (soit 3 ans après) la première année n’est pas terminée. Et les étudiants sont toujours là en première année, mais cela n’émeut pas M. Ali Haggar. Mais Maintenant que les étudiants ont repris les cours après 8 mois de grève, c’est alors que les employés du Rectorat rentrent en grève,
paralysant ainsi toutes les activités académiques.