La ministre de la Femme et de la Protection de la petite enfance, Amina Priscille Longoh, a reçu mardi matin les leaders de quelques associations féminines au sein dudit ministère. Leur totale implication est nécessaire pour renverser la courbe des contaminations de la nouvelle vague de la pandémie.
Lors de la première vague de la maladie, différentes structures féminines se sont réunies au sein de la “Plateforme zéro Covid’’ pour mener la lutte. Cette structure a fait ses preuves. “Les résultats sont concrets. La pandémie a été contenue’’, s’enorgueillit la ministre. “Le port du masque est devenu un comportement’’, renchérit une responsable d’une association de femmes présente à la rencontre.
Tous ces résultats tangibles sont obtenus grâce à une sensibilisation massive. Malgré ces résultats, le virus s’obstine. En décembre principalement, la contamination augmente en flèche. Pour en venir à bout, la femme doit être à l’avant-garde du combat. Et les raisons sont simples et multiples.
La première raison est que la femme est indéniablement la première victime de cette pathologie. En effet, à en croire Amina Priscille Longoh, la femme est victime des violences conjugales lorsque les activités tournent au ralenti car l’homme, le chef du ménage devient nerveux et agressif. Aussi, la femme est en contact permanent avec le monde. Outillée, elle sensibilisera mieux ses contacts. D’ailleurs, chaque organisation renferme environ 2000 femmes. La somme des membres de ces diverses organisations est considérable et avantageuse dans la lutte, précise la ministre.
Fort heureusement, les femmes clament leur engagement en chœur. “Nous sommes engagées dans cette lutte en tant que citoyenne, en tant que génitrice’’, affirme une responsable même si les difficultés sont nombreuses. Les mentalités et les habitudes culturelles sont difficiles à transformer. Les interprétations des nouvelles restrictions sont complètement erronées. Par conséquent, il faut prendre en compte ces défauts, il faut tirer les leçons du passé pour élaborer des messages adaptés.
La ministre rassure les organisations des femmes quant à la disponibilité de la radio "La Voix de la femme" comme canal de sensibilisation. D’autres moyens seront également mis à la disposition de ces leaders.
Lors de la première vague de la maladie, différentes structures féminines se sont réunies au sein de la “Plateforme zéro Covid’’ pour mener la lutte. Cette structure a fait ses preuves. “Les résultats sont concrets. La pandémie a été contenue’’, s’enorgueillit la ministre. “Le port du masque est devenu un comportement’’, renchérit une responsable d’une association de femmes présente à la rencontre.
Tous ces résultats tangibles sont obtenus grâce à une sensibilisation massive. Malgré ces résultats, le virus s’obstine. En décembre principalement, la contamination augmente en flèche. Pour en venir à bout, la femme doit être à l’avant-garde du combat. Et les raisons sont simples et multiples.
La première raison est que la femme est indéniablement la première victime de cette pathologie. En effet, à en croire Amina Priscille Longoh, la femme est victime des violences conjugales lorsque les activités tournent au ralenti car l’homme, le chef du ménage devient nerveux et agressif. Aussi, la femme est en contact permanent avec le monde. Outillée, elle sensibilisera mieux ses contacts. D’ailleurs, chaque organisation renferme environ 2000 femmes. La somme des membres de ces diverses organisations est considérable et avantageuse dans la lutte, précise la ministre.
Fort heureusement, les femmes clament leur engagement en chœur. “Nous sommes engagées dans cette lutte en tant que citoyenne, en tant que génitrice’’, affirme une responsable même si les difficultés sont nombreuses. Les mentalités et les habitudes culturelles sont difficiles à transformer. Les interprétations des nouvelles restrictions sont complètement erronées. Par conséquent, il faut prendre en compte ces défauts, il faut tirer les leçons du passé pour élaborer des messages adaptés.
La ministre rassure les organisations des femmes quant à la disponibilité de la radio "La Voix de la femme" comme canal de sensibilisation. D’autres moyens seront également mis à la disposition de ces leaders.