Valls au Maroc : les dirigeants algériens mobilisent en France

Valls au Maroc : les dirigeants algériens mobilisent en France
Les responsables algériens ne ratent aucune occasion pour porter atteinte à leur voisin, le Maroc, c'est devenue maladive.
Dernière en date, la sortie tonitruante, mais stérile, de trois associations dites défenseurs des Droits de l'Homme à savoir : Human Right Watch, Amnesty International France et bien entendu ACAT et ce, dès l'annonce de la venue au Maroc du Premier Ministre français, Manuel Valls.
Ces soit disant organisations prétendant défendre les droits humains ont, sur instigation des dirigeants algériens et de ses affidés polisariens, transmis à Monsieur Valls une lettre le sommant de rejeter le nouvel accord judiciaire conclu entre le Maroc et la France.
Une nouvelle campagne médiatique hostile au Maroc menée tambour battant par des binationaux d'origine algérienne installés en France et à la solde du DRS et, partant, qui pose la cruciale question qui est : pourquoi ces algériens, bien qu'ils soient français, ne s'insurgent-ils pas contre le régime algérien qui bafoue les Droits de l'Homme à tour de bras, arrête et torture industriellement tout contestataire, s'oppose à la venue d'organisations indépendantes pour y constater l'état lamentable des Droits de l'Homme en Algérie, refuse toute inspection des camps de la honte de Tindouf où sont embastillés des milliers de sahraouis marocains et s'oppose au recensement de ces mêmes sahraouis marocains ?
Pas d'illusion, ils ne répondront jamais ! Ils sont grassement payés par les Services qui les a à l'oeil et les tient à la baguette ainsi que les ONG's qui s'agitent à la vue des pétrodollars, tout particulièrement en ces temps de disette.
Monsieur Valls est venu au Maroc ! Il a dit ce qu'il avait à dire ! Tout le monde l'a entendu, exceptés ceux aux oreilles bouchées !
Et je cite le Premier Ministre français, Monsieur Manuel Valls, qui n'a pas mâché ses mots : " la France est fière d'être l'amie du Maroc et elle est un allié du Maroc dans l'affaire du Sahara".
C'est plus que du "destop" pour déboucher les oreilles les plus récalcitrantes.
Farid Mnebhi.