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Vers une stratégie globale de sécurisation des eaux africaines
Lomé, le 11 octobre 2016-La rencontre internationale sur la sûreté, la sécurité maritime et le développement en Afrique qu’accueille le Togo constitue un enjeu principal pour la sécurisation des eaux africaines notamment le Golfe de Guinée.
La tenue du sommet sur la sécurité maritime à Lomé représente un cadre de discussions pour les pays africains qui doivent trouver des solutions idoines aux maux qui minent les eaux du continent. En effet, il règne sur la plupart de ces eaux une insécurité qui oblige les Etats à rechercher différents moyens de lutte.
En exemple, le Golfe de Guinée qui s’étend sur plus de 5000 kilomètres, représente un foyer de la piraterie maritime. L’Organisation maritime internationale (OMI) a ainsi relevé depuis le début de cette année une vingtaine d’attaques, notamment des vols et des kidnappings.
Les travaux du sommet permettront donc de renforcer l’union des pays pour la lutte contre le fléau. La rencontre extraordinaire de Lomé permettra aussi aux différentes marines africaines d’œuvrer unanimement. Il s’agira de délimiter les frontières maritimes et de déployer désormais des moyens militaires pour sécuriser le Golfe de Guinée.
A cet effet, la charte que les Etats devraient adopter le 15 octobre contient des dispositions adéquates. Le document élaboré et examiné par plusieurs experts comporte un volet sécuritaire qui touche à la sécurité et à la sûreté maritime. La lutte contre le pillage des ressources maritimes, la piraterie maritime, la pêche illicite non déclarée et non réglementée et la pollution marine seront renforcées sur le Golfe de Guinée. Les coordinations sous régionales pour la surveillance des côtes constitueront surtout un atout pour chaque Etat.
La tenue du sommet sur la sécurité maritime à Lomé représente un cadre de discussions pour les pays africains qui doivent trouver des solutions idoines aux maux qui minent les eaux du continent. En effet, il règne sur la plupart de ces eaux une insécurité qui oblige les Etats à rechercher différents moyens de lutte.
En exemple, le Golfe de Guinée qui s’étend sur plus de 5000 kilomètres, représente un foyer de la piraterie maritime. L’Organisation maritime internationale (OMI) a ainsi relevé depuis le début de cette année une vingtaine d’attaques, notamment des vols et des kidnappings.
Les travaux du sommet permettront donc de renforcer l’union des pays pour la lutte contre le fléau. La rencontre extraordinaire de Lomé permettra aussi aux différentes marines africaines d’œuvrer unanimement. Il s’agira de délimiter les frontières maritimes et de déployer désormais des moyens militaires pour sécuriser le Golfe de Guinée.
A cet effet, la charte que les Etats devraient adopter le 15 octobre contient des dispositions adéquates. Le document élaboré et examiné par plusieurs experts comporte un volet sécuritaire qui touche à la sécurité et à la sûreté maritime. La lutte contre le pillage des ressources maritimes, la piraterie maritime, la pêche illicite non déclarée et non réglementée et la pollution marine seront renforcées sur le Golfe de Guinée. Les coordinations sous régionales pour la surveillance des côtes constitueront surtout un atout pour chaque Etat.
