Jadis considérés comme un peuple solidaire dans la vie quotidienne, les Tchadiens d'aujourd'hui se distinguent par un notable manque d'assistance envers leurs semblables, que ce soit un membre de la famille, un ami, un collaborateur, un condisciple ou même un inconnu.
Il convient humblement de reconnaître que les Tchadiens d'aujourd'hui diffèrent de leurs ancêtres, en raison de divers facteurs liés à l'éducation, à l'histoire, à la communion, au vivre ensemble et à un impressionnant élan de solidarité qui caractérisaient nos aïeux. De nos jours, l'homme tchadien est souvent animé par un orgueil, voire une condescendance, l'incitant à s'attribuer seul les honneurs et les mérites d'un devoir bien accompli.
Cette quête incessante de pouvoir et d'enrichissement le pousse à se démarquer de ses semblables, au mépris des valeurs humaines. Tout cela nous conduit à reconnaître qu'aujourd'hui, la plupart des Tchadiens les plus aisés ne sont pas encore prêts à aider les plus vulnérables ou les plus nécessiteux.
L'assistance alimentaire, financière, sociale, sanitaire et éducative, qui guidait nos grands-parents, est souvent négligée par cette nouvelle génération de Tchadiens. L'adage "tout pour toi, seul et rien pour les autres" prend tout son sens dans cette réalité.
Il n'est malheureusement pas rare de voir des Tchadiens qui, bien qu'ayant les moyens d'apporter de l'aide aux plus démunis, refusent ou rechignent à le faire, négligeant ainsi cette traditionnelle habitude sociable qui nous animait par le passé.
L'homme tchadien d'aujourd'hui semble avoir perdu le sens de nos nobles habitudes culturelles, sociales, économiques, solidaires et d'assistance mutuelle qui nous caractérisaient autrefois. Il est donc crucial pour les Tchadiens de s'engager activement dans toutes sortes d'actions visant à aider les personnes dans le besoin, sans aucune considération ethnique, religieuse, régionale ou tribale.
Il est donc impératif de retrouver nos anciennes et nobles habitudes qui prônaient davantage le côté sociable, plutôt que de persister dans cette mauvaise voie qui ne nous honore guère en tant que Tchadiens. Promouvoir la sociabilité peut contribuer à vivre en harmonie, dans la paix, la joie, le vivre ensemble et la sérénité.
Il convient humblement de reconnaître que les Tchadiens d'aujourd'hui diffèrent de leurs ancêtres, en raison de divers facteurs liés à l'éducation, à l'histoire, à la communion, au vivre ensemble et à un impressionnant élan de solidarité qui caractérisaient nos aïeux. De nos jours, l'homme tchadien est souvent animé par un orgueil, voire une condescendance, l'incitant à s'attribuer seul les honneurs et les mérites d'un devoir bien accompli.
Cette quête incessante de pouvoir et d'enrichissement le pousse à se démarquer de ses semblables, au mépris des valeurs humaines. Tout cela nous conduit à reconnaître qu'aujourd'hui, la plupart des Tchadiens les plus aisés ne sont pas encore prêts à aider les plus vulnérables ou les plus nécessiteux.
L'assistance alimentaire, financière, sociale, sanitaire et éducative, qui guidait nos grands-parents, est souvent négligée par cette nouvelle génération de Tchadiens. L'adage "tout pour toi, seul et rien pour les autres" prend tout son sens dans cette réalité.
Il n'est malheureusement pas rare de voir des Tchadiens qui, bien qu'ayant les moyens d'apporter de l'aide aux plus démunis, refusent ou rechignent à le faire, négligeant ainsi cette traditionnelle habitude sociable qui nous animait par le passé.
L'homme tchadien d'aujourd'hui semble avoir perdu le sens de nos nobles habitudes culturelles, sociales, économiques, solidaires et d'assistance mutuelle qui nous caractérisaient autrefois. Il est donc crucial pour les Tchadiens de s'engager activement dans toutes sortes d'actions visant à aider les personnes dans le besoin, sans aucune considération ethnique, religieuse, régionale ou tribale.
Il est donc impératif de retrouver nos anciennes et nobles habitudes qui prônaient davantage le côté sociable, plutôt que de persister dans cette mauvaise voie qui ne nous honore guère en tant que Tchadiens. Promouvoir la sociabilité peut contribuer à vivre en harmonie, dans la paix, la joie, le vivre ensemble et la sérénité.