TCHAD - En matière d'identification des personnes, les registres de l’État tchadien sont flous voire inexistants. Qui est qui ? Entre naissances clandestines et données volatiles, la question s'impose. La méthode des archives papiers nage dans l'obsolète, l'exemple de l'inondation l'an dernier des sous-sols du musée national rappelle des mauvais souvenirs au personnel, qui, en guise de ménage avait perdu son directeur par décret du chef de l’État.
Le "Dato seguro", (en français la Direction National du Registre des Services Publics) est un portail de l’État équatorien où tous les citoyens peuvent accéder facilement et en toute sécurité à leurs données enregistrées dans diverses institutions du pays. Ainsi, les données du citoyen auprès de la Police Nationale, du registre de propriété, du Conseil National Électoral de la Direction National de l'Aviation Civil, de la Direction National des Espaces Aquatiques, de l’État civil, de l'identification et de la certification, du Service des Revenus Internes, de l'Agence National des Transits et du registre commercial, sont regroupés.
L'objectif est de coordonner l'échange d'informations sur les données des dossiers publics. Pour le citoyen, il n'est pas normal de prouver son identité en payant la somme de 3000 F CFA pour obtenir un acte d’État civil à la mairie. Il doit pouvoir l'imprimer gratuitement depuis son espace personnel en ligne -s'il en existait un- ou via des bornes installés à la mairie et utilisables en insérant la carte d'identité nationale.
Avec 80% de la population qui ne maîtrise pas l'outil internet et près de 45.000 tchadiens connectés sur le réseau social Facebook à l'intérieur du pays, ce système en ligne est loin de faire l'unanimité. Pour le moment, les regards sont braqués sur la fibre optique.
Le "Dato seguro", (en français la Direction National du Registre des Services Publics) est un portail de l’État équatorien où tous les citoyens peuvent accéder facilement et en toute sécurité à leurs données enregistrées dans diverses institutions du pays. Ainsi, les données du citoyen auprès de la Police Nationale, du registre de propriété, du Conseil National Électoral de la Direction National de l'Aviation Civil, de la Direction National des Espaces Aquatiques, de l’État civil, de l'identification et de la certification, du Service des Revenus Internes, de l'Agence National des Transits et du registre commercial, sont regroupés.
L'objectif est de coordonner l'échange d'informations sur les données des dossiers publics. Pour le citoyen, il n'est pas normal de prouver son identité en payant la somme de 3000 F CFA pour obtenir un acte d’État civil à la mairie. Il doit pouvoir l'imprimer gratuitement depuis son espace personnel en ligne -s'il en existait un- ou via des bornes installés à la mairie et utilisables en insérant la carte d'identité nationale.
Avec 80% de la population qui ne maîtrise pas l'outil internet et près de 45.000 tchadiens connectés sur le réseau social Facebook à l'intérieur du pays, ce système en ligne est loin de faire l'unanimité. Pour le moment, les regards sont braqués sur la fibre optique.