Solomon Quaynor, vice-président du Groupe de la Banque africaine de développement, a achevé un tour des activités d’Export Trade Group (ETG) en Afrique australe, indiquant la possibilité d’un partenariat plus solide avec le géant de l’agro-industrie pour stimuler les moyens de subsistance sur le continent.
M. Quaynor, chargé du Secteur privé, de l’infrastructure et de l’industrialisation, ainsi que quatre autres membres de la Banque, ont effectué un tour des activités d’ETG au Mozambique, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe la semaine dernière, et ont pu constater de visu l’impact des chaînes de valeur agro-industrielles et des activités commerciales diversifiées de l’entreprise, soutenues par un capital humain et des actifs massifs, notamment de grands entrepôts et des machines industrielles.
L’équipe de la Banque était composée de Richard Ofori-Mante, directeur par intérim du Département de la finance agricole et du développement rural, Damian Ihedioha, chef de Division pour l’agro-industrie, Bleming Nekati, chargé en chef du Financement du commerce, et Patrick Mabuza, économiste principal de recherche. Ils ont été rejoints par Birju Patel, codirecteur général d’ETG, et Paul Van Spaendonk, directeur de la trésorerie du groupe.
M. Quaynor a décrit ce périple comme « le rêve de tout banquier du développement ». « Ce voyage a été très instructif et nous a permis de découvrir les activités intégrées d’agro-industrialisation d’Export Trading Group au Mozambique, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe. Avec sa présence dans plus de 30 pays, cet aperçu des opérations d’ETG était le rêve de tout banquier du développement », a déclaré M. Quaynor.
Au cours de ce voyage de quatre jours, l’équipe de la Banque a visité le terminal d’engrais d’ETG, un dépôt intérieur de conteneurs, des usines de transformation et de mélange d’engrais, des raffineries d’huile végétale de soja, des entrepôts géants, dont certains étaient remplis de tonnes de céréales, des dépôts de collecte, des usines de fabrication de plastique et de bougies, une usine de transformation de noix de cajou et une usine de textile.
L’équipe de M. Quaynor a également rencontré des groupes d’agriculteurs, dont plusieurs femmes, des coopératives agro-industrielles et des employés d’ETG. Ces rencontres ont permis de mieux comprendre l’ampleur et la diversité des activités de la société en Afrique australe. M. Quaynor a également profité de l’occasion pour affirmer l’engagement de la Banque africaine de développement à aider à stimuler la production alimentaire en Afrique et à favoriser un développement inclusif en investissant dans des entreprises agro-industrielles qui ont fait leurs preuves, comme ETG.
Il a noté que les opérations de la société en Afrique vont au-delà de la croissance économique. « Elle s’efforce d’industrialiser l’Afrique, de faire évoluer les petits exploitants agricoles, d’autonomiser les femmes, de créer des emplois, de s’engager auprès des communautés, de parvenir à la durabilité et de développer des chaînes de valeur », a déclaré M. Quaynor.
Le vice-président s’est dit impressionné par la polyvalence du groupe, qui a su gérer avec succès son portefeuille diversifié dans un contexte local et mondial de vents contraires persistants. Il a fait remarquer que ETG est une entreprise mondiale innovante, agro-industrielle et agro-infrastructurelle, bénéficiant d’une bonne couverture financière et dont les activités principales se déroulent en Afrique.
« Nous pensons qu’ETG est une entreprise viable déterminée à construire un avenir meilleur pour les Africains grâce à l’égalité des genres, aux opportunités en matière de moyens de subsistance, à l’autosuffisance, au bien-être des communautés, à la gestion de l’environnement et à la collaboration sur la base des piliers d’un développement inclusif et durable en Afrique. Nous sommes fiers d’être des partenaires stratégiques d’ETG dans cette remarquable histoire de croissance », a déclaré M. Quaynor.
Export Trade Group, un conglomérat mondial qui opère dans de multiples secteurs, est présent dans 48 pays répartis dans cinq régions, dont 30 pays africains, où il exploite plus de 90 sites industriels et quelque 350 entrepôts gigantesques. Son portefeuille est diversifié et couvre l’agriculture, la logistique, les infrastructures, la transformation agroalimentaire, l’énergie, les minéraux et l’optimisation de la chaîne d’approvisionnement.
L’entreprise a créé énormément d’emplois, notamment pour les jeunes et les femmes. L’Afrique du Sud et la Zambie sont des pays clés à la fois pour la provenance et la destination, l’Afrique de l’Ouest constituant une source clé pour le cacao, le sésame et la noix de cajou, et l’Afrique de l’Est une source clé pour les légumineuses, le sésame, le café et les noix comestibles.
M. Patel, PDG d’ETG, a souligné l’impact du partenariat avec la Banque africaine de développement au cours des huit dernières années et a souligné l’engagement du groupe à poursuivre la collaboration afin d’améliorer les moyens de subsistance dans toute l’Afrique : « Il est toujours exaltant de cultiver des partenariats avec des organisations qui partagent notre passion indéfectible pour le continent et ses habitants ».
« Notre détermination farouche à améliorer les moyens de subsistance par la facilitation des échanges et des liens commerciaux, le développement des infrastructures, le soutien à l’agriculture qui comprend des intrants améliorant le rendement, les services agronomiques et la formation aux pratiques agricoles durables, ainsi que les investissements sociaux stratégiques, demeure ferme et inébranlable. Nous nous réjouissons de renforcer nos relations avec la Banque africaine de développement et de créer un impact positif pour toutes nos parties prenantes ».
La Banque et ETG ont récemment signé un paquet de 150 millions de dollars pour le commerce et l’agrofinancement. Il comprend une facilité de 60 millions de dollars pour améliorer les fonctions exportatrices de la société, un programme de chaîne de valeur agricole de 60 millions de dollars pour stimuler la production en offrant des outils agricoles de pointe et des conseils d’experts aux agriculteurs de 10 pays africains ciblés, ainsi qu’un cofinancement de 30 millions de dollars du Fonds Africa Growing Together. Le décaissement sera achevé avant la fin du mois d’août 2023.
En 2016, la Banque a accordé à ETG un prêt d’entreprise de 100 millions de dollars, d’une durée de sept ans, pour financer son programme d’investissement dans des usines d’engrais, des usines de transformation et des entrepôts multiproduits à travers l’Afrique. La Banque a ensuite accordé un prêt supplémentaire de 100 millions de dollars pour soutenir les fonds de roulement d’importation et d’exportation à court terme de l’entreprise.
Ces facilités ont soutenu les activités d’Export Trade Group au Bénin, au Burkina Faso, au Ghana, au Kenya, au Malawi, en Tanzanie, en Zambie et au Zimbabwe, créant plus de 6 710 emplois (dont 1 290 pour les femmes) et contribuant de manière significative aux recettes fiscales sur l’ensemble du continent.
M. Quaynor, chargé du Secteur privé, de l’infrastructure et de l’industrialisation, ainsi que quatre autres membres de la Banque, ont effectué un tour des activités d’ETG au Mozambique, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe la semaine dernière, et ont pu constater de visu l’impact des chaînes de valeur agro-industrielles et des activités commerciales diversifiées de l’entreprise, soutenues par un capital humain et des actifs massifs, notamment de grands entrepôts et des machines industrielles.
L’équipe de la Banque était composée de Richard Ofori-Mante, directeur par intérim du Département de la finance agricole et du développement rural, Damian Ihedioha, chef de Division pour l’agro-industrie, Bleming Nekati, chargé en chef du Financement du commerce, et Patrick Mabuza, économiste principal de recherche. Ils ont été rejoints par Birju Patel, codirecteur général d’ETG, et Paul Van Spaendonk, directeur de la trésorerie du groupe.
M. Quaynor a décrit ce périple comme « le rêve de tout banquier du développement ». « Ce voyage a été très instructif et nous a permis de découvrir les activités intégrées d’agro-industrialisation d’Export Trading Group au Mozambique, au Malawi, en Zambie et au Zimbabwe. Avec sa présence dans plus de 30 pays, cet aperçu des opérations d’ETG était le rêve de tout banquier du développement », a déclaré M. Quaynor.
Au cours de ce voyage de quatre jours, l’équipe de la Banque a visité le terminal d’engrais d’ETG, un dépôt intérieur de conteneurs, des usines de transformation et de mélange d’engrais, des raffineries d’huile végétale de soja, des entrepôts géants, dont certains étaient remplis de tonnes de céréales, des dépôts de collecte, des usines de fabrication de plastique et de bougies, une usine de transformation de noix de cajou et une usine de textile.
L’équipe de M. Quaynor a également rencontré des groupes d’agriculteurs, dont plusieurs femmes, des coopératives agro-industrielles et des employés d’ETG. Ces rencontres ont permis de mieux comprendre l’ampleur et la diversité des activités de la société en Afrique australe. M. Quaynor a également profité de l’occasion pour affirmer l’engagement de la Banque africaine de développement à aider à stimuler la production alimentaire en Afrique et à favoriser un développement inclusif en investissant dans des entreprises agro-industrielles qui ont fait leurs preuves, comme ETG.
Il a noté que les opérations de la société en Afrique vont au-delà de la croissance économique. « Elle s’efforce d’industrialiser l’Afrique, de faire évoluer les petits exploitants agricoles, d’autonomiser les femmes, de créer des emplois, de s’engager auprès des communautés, de parvenir à la durabilité et de développer des chaînes de valeur », a déclaré M. Quaynor.
Le vice-président s’est dit impressionné par la polyvalence du groupe, qui a su gérer avec succès son portefeuille diversifié dans un contexte local et mondial de vents contraires persistants. Il a fait remarquer que ETG est une entreprise mondiale innovante, agro-industrielle et agro-infrastructurelle, bénéficiant d’une bonne couverture financière et dont les activités principales se déroulent en Afrique.
« Nous pensons qu’ETG est une entreprise viable déterminée à construire un avenir meilleur pour les Africains grâce à l’égalité des genres, aux opportunités en matière de moyens de subsistance, à l’autosuffisance, au bien-être des communautés, à la gestion de l’environnement et à la collaboration sur la base des piliers d’un développement inclusif et durable en Afrique. Nous sommes fiers d’être des partenaires stratégiques d’ETG dans cette remarquable histoire de croissance », a déclaré M. Quaynor.
Export Trade Group, un conglomérat mondial qui opère dans de multiples secteurs, est présent dans 48 pays répartis dans cinq régions, dont 30 pays africains, où il exploite plus de 90 sites industriels et quelque 350 entrepôts gigantesques. Son portefeuille est diversifié et couvre l’agriculture, la logistique, les infrastructures, la transformation agroalimentaire, l’énergie, les minéraux et l’optimisation de la chaîne d’approvisionnement.
L’entreprise a créé énormément d’emplois, notamment pour les jeunes et les femmes. L’Afrique du Sud et la Zambie sont des pays clés à la fois pour la provenance et la destination, l’Afrique de l’Ouest constituant une source clé pour le cacao, le sésame et la noix de cajou, et l’Afrique de l’Est une source clé pour les légumineuses, le sésame, le café et les noix comestibles.
M. Patel, PDG d’ETG, a souligné l’impact du partenariat avec la Banque africaine de développement au cours des huit dernières années et a souligné l’engagement du groupe à poursuivre la collaboration afin d’améliorer les moyens de subsistance dans toute l’Afrique : « Il est toujours exaltant de cultiver des partenariats avec des organisations qui partagent notre passion indéfectible pour le continent et ses habitants ».
« Notre détermination farouche à améliorer les moyens de subsistance par la facilitation des échanges et des liens commerciaux, le développement des infrastructures, le soutien à l’agriculture qui comprend des intrants améliorant le rendement, les services agronomiques et la formation aux pratiques agricoles durables, ainsi que les investissements sociaux stratégiques, demeure ferme et inébranlable. Nous nous réjouissons de renforcer nos relations avec la Banque africaine de développement et de créer un impact positif pour toutes nos parties prenantes ».
La Banque et ETG ont récemment signé un paquet de 150 millions de dollars pour le commerce et l’agrofinancement. Il comprend une facilité de 60 millions de dollars pour améliorer les fonctions exportatrices de la société, un programme de chaîne de valeur agricole de 60 millions de dollars pour stimuler la production en offrant des outils agricoles de pointe et des conseils d’experts aux agriculteurs de 10 pays africains ciblés, ainsi qu’un cofinancement de 30 millions de dollars du Fonds Africa Growing Together. Le décaissement sera achevé avant la fin du mois d’août 2023.
En 2016, la Banque a accordé à ETG un prêt d’entreprise de 100 millions de dollars, d’une durée de sept ans, pour financer son programme d’investissement dans des usines d’engrais, des usines de transformation et des entrepôts multiproduits à travers l’Afrique. La Banque a ensuite accordé un prêt supplémentaire de 100 millions de dollars pour soutenir les fonds de roulement d’importation et d’exportation à court terme de l’entreprise.
Ces facilités ont soutenu les activités d’Export Trade Group au Bénin, au Burkina Faso, au Ghana, au Kenya, au Malawi, en Tanzanie, en Zambie et au Zimbabwe, créant plus de 6 710 emplois (dont 1 290 pour les femmes) et contribuant de manière significative aux recettes fiscales sur l’ensemble du continent.