Ce samedi, 20 Septembre 2014, une grande manifestation a été organisée dans la capitale français De la résistance ivoirienne et panafricaine aux militants du Front Populaire Ivoirien (FPI), en passant par les amis de l’Afrique. Ils ont été plusieurs manifestants à marcher de la place des invalides jusqu’au siège national du Parti socialiste français (Solferino).
A l’ordre du jour, il était question de demander la libération immédiate du Président Laurent Gbagbo et ainsi que tous les prisonniers politiques.
L’assistance avait interpellé le parti socialiste sur les graves violations des droits de l'homme en Côte d'Ivoire, et particulièrement sur l'enfer vécu par les prisonniers politiques. Ils ont exigé leur libération, tout en dénonçant et fustigeant la position actuelle du gouvernement français face à cet imbroglio.
‘’ Willy Bla’’, le président du conseil de la résistance ivoirienne et panafricaine avait profité de cette occasion pour rendre un vibrant hommage mérité à la résistance et au combat du Professeur IBNI OUMAR MAHAMAT SALEH, mathématicien et homme politique tchadien, porte parole de l’opposition civile démocratique assassiné par le dictateur sanguinaire Idriss Deby Itno au pouvoir depuis 24 ans.
En effet, le Professeur IBNI n’est pas un inconnu en Cote d’ivoire, c’était un ami de 40 ans du Président Laurent Gbagbo, et leurs partis (le PLD et le FPI) sont amis et appartiennent tous au même bloc à savoir le comité Afrique de l’international socialiste.
Il faut rappeler que le ‘’ Parti socialiste’’ avait tenu à préciser qu’il était aux cotés des mouvements luttant pour une vraie démocratie en Afrique et qu’il ne ferait de complaisance envers aucun « dictateur ».
Nous reprendrons donc le discours Jean Christophe Cambadélis lors du Congrès de Toulouse pour illustrer la nouvelle posture de la France : « Ce que nous disent les partis qui viennent à notre congrès, c’est qu’il existe un autre chemin, une autre voie, un autre monde à construire et qu’il compte sur la France pour l’affirmer. Et hier je leur répondais en notre nom « nous ne vous décevrons pas ! ». La France telle que vous l’aimez est de retour !».
En outre, Le Parti socialiste français avait toujours réclamé "que la vérité soit faite" sur le sort du professeur Ibni Oumar Mahamat Saleh, et rappelé à Nicolas Sarkozy l'exigence de "vérité" qu'il avait formulée à son sujet lors de sa visite au Tchad en février 2008. Et c’est encore, Jean-Christophe Cambadélis qui avait déclaré que l'impunité serait "inacceptable et constituerait un précédent dangereux" avant de demander "qu'une véritable commission d'enquête internationale soit mandatée", la commission d'enquête tchadienne "n'ayant pas pu éclaircir véritablement les conditions de cette disparition".
La France veut la vérité et je ne cèderai pas sur ce point", avait affirmé Nicolas Sarkozy lors de sa visite au Tchad le 27 février 2008.
"Le Parti Socialiste avait indiqué qu'il ne réclamait rien d'autre que le respect de cette parole présidentielle et l'établissement de la vérité".
Enfin, un des fils du disparu, Brahim Ibni Oumar Mahamat Saleh qui a participé à cette manifestation avait durant une brève intervention dressé le tableau sombre que présentait le continent africain vu le gigantesque lot d’assassinats politiques, de tortures , des disparitions forcées et d’arrestations arbitraires dont étaient victimes des citoyens qui ont juste eu l’outrecuidance d’émettre une idée contraire par rapport à la gestion de la chose publique. Ainsi, ce dernier avait révélé que du Maghreb au Cap en passant par le Sahel et l’Equateur, des régimes africains se sont illustrés par des pratiques sanglantes et sanguinaires dans le but de conserver le pouvoir pour le pouvoir avec la complicité tacite de certains puissants de ce Monde, ceux là même qui se disaient défenseurs des valeurs universelles de la dém ocratie , des droits de l’Homme et de la justice. Reportage du blog de makaila
A l’ordre du jour, il était question de demander la libération immédiate du Président Laurent Gbagbo et ainsi que tous les prisonniers politiques.
L’assistance avait interpellé le parti socialiste sur les graves violations des droits de l'homme en Côte d'Ivoire, et particulièrement sur l'enfer vécu par les prisonniers politiques. Ils ont exigé leur libération, tout en dénonçant et fustigeant la position actuelle du gouvernement français face à cet imbroglio.
‘’ Willy Bla’’, le président du conseil de la résistance ivoirienne et panafricaine avait profité de cette occasion pour rendre un vibrant hommage mérité à la résistance et au combat du Professeur IBNI OUMAR MAHAMAT SALEH, mathématicien et homme politique tchadien, porte parole de l’opposition civile démocratique assassiné par le dictateur sanguinaire Idriss Deby Itno au pouvoir depuis 24 ans.
En effet, le Professeur IBNI n’est pas un inconnu en Cote d’ivoire, c’était un ami de 40 ans du Président Laurent Gbagbo, et leurs partis (le PLD et le FPI) sont amis et appartiennent tous au même bloc à savoir le comité Afrique de l’international socialiste.
Il faut rappeler que le ‘’ Parti socialiste’’ avait tenu à préciser qu’il était aux cotés des mouvements luttant pour une vraie démocratie en Afrique et qu’il ne ferait de complaisance envers aucun « dictateur ».
Nous reprendrons donc le discours Jean Christophe Cambadélis lors du Congrès de Toulouse pour illustrer la nouvelle posture de la France : « Ce que nous disent les partis qui viennent à notre congrès, c’est qu’il existe un autre chemin, une autre voie, un autre monde à construire et qu’il compte sur la France pour l’affirmer. Et hier je leur répondais en notre nom « nous ne vous décevrons pas ! ». La France telle que vous l’aimez est de retour !».
En outre, Le Parti socialiste français avait toujours réclamé "que la vérité soit faite" sur le sort du professeur Ibni Oumar Mahamat Saleh, et rappelé à Nicolas Sarkozy l'exigence de "vérité" qu'il avait formulée à son sujet lors de sa visite au Tchad en février 2008. Et c’est encore, Jean-Christophe Cambadélis qui avait déclaré que l'impunité serait "inacceptable et constituerait un précédent dangereux" avant de demander "qu'une véritable commission d'enquête internationale soit mandatée", la commission d'enquête tchadienne "n'ayant pas pu éclaircir véritablement les conditions de cette disparition".
La France veut la vérité et je ne cèderai pas sur ce point", avait affirmé Nicolas Sarkozy lors de sa visite au Tchad le 27 février 2008.
"Le Parti Socialiste avait indiqué qu'il ne réclamait rien d'autre que le respect de cette parole présidentielle et l'établissement de la vérité".
Enfin, un des fils du disparu, Brahim Ibni Oumar Mahamat Saleh qui a participé à cette manifestation avait durant une brève intervention dressé le tableau sombre que présentait le continent africain vu le gigantesque lot d’assassinats politiques, de tortures , des disparitions forcées et d’arrestations arbitraires dont étaient victimes des citoyens qui ont juste eu l’outrecuidance d’émettre une idée contraire par rapport à la gestion de la chose publique. Ainsi, ce dernier avait révélé que du Maghreb au Cap en passant par le Sahel et l’Equateur, des régimes africains se sont illustrés par des pratiques sanglantes et sanguinaires dans le but de conserver le pouvoir pour le pouvoir avec la complicité tacite de certains puissants de ce Monde, ceux là même qui se disaient défenseurs des valeurs universelles de la dém ocratie , des droits de l’Homme et de la justice. Reportage du blog de makaila