Au Tchad, une mission de contrôle est au travail depuis trois jours à l’Ecole nationale d’administration (ENA). Elle fait suite à la forte contestation des résultats du concours d’entrée par les associations de défense des droits de l’homme et certains candidats. Ils ont accusé les proches du chef de l’Etat d’avoir favorisé des membres de leurs familles.
La très forte protestation des associations de défense des droits humains et la réaction de l’opinion publique ont obligé le gouvernement à dépêcher une mission de contrôle au sein de l’Ecole nationale d’administration. Elle est chargée de vérifier si les résultats du concours d’entrée à l’ENA reflètent la réalité du travail des candidats.
Ordinateurs sous scellés
Avant l’arrivée des vérificateurs, la police a mis sous scellés les ordinateurs et copies des candidats. L’équipe d’enquêteurs arrivée sur les lieux a commencé par la vérification des listes : les candidats litigieux ont-ils bien été inscrits au concours, ont-ils passé leurs épreuves et quelles étaient leurs notes ?
Graves constats
A la vérification, les premiers constats sont graves. Selon une source proche de l’enquête, sur une seule section, même pas 5% des déclarés admis par le jury avaient la moyenne requise. Après ce constat, il sera procédé à l’analyse de différents résultats. Et selon la même source, il est clair que le mérite n’a pas prévalu.
La très forte protestation des associations de défense des droits humains et la réaction de l’opinion publique ont obligé le gouvernement à dépêcher une mission de contrôle au sein de l’Ecole nationale d’administration. Elle est chargée de vérifier si les résultats du concours d’entrée à l’ENA reflètent la réalité du travail des candidats.
Ordinateurs sous scellés
Avant l’arrivée des vérificateurs, la police a mis sous scellés les ordinateurs et copies des candidats. L’équipe d’enquêteurs arrivée sur les lieux a commencé par la vérification des listes : les candidats litigieux ont-ils bien été inscrits au concours, ont-ils passé leurs épreuves et quelles étaient leurs notes ?
Graves constats
A la vérification, les premiers constats sont graves. Selon une source proche de l’enquête, sur une seule section, même pas 5% des déclarés admis par le jury avaient la moyenne requise. Après ce constat, il sera procédé à l’analyse de différents résultats. Et selon la même source, il est clair que le mérite n’a pas prévalu.