Des "journalistes"pour "aide" Tchiromar
Au ministère Camerounais de la communication, tous les journalistes ne sont pas logés dans la même enceinte.
La raison : Issa Tchiroma Bakary, ce nordiste de Garoua ayant obtenu son Certificat d'études primaires à 16 ans, a décidé de mettre en place, son « armée de journalistes » pour traquer jusqu’au dernier retranchement, Boko Haram et le président Biya ; et préparer sa succession au président actuel ; au pouvoir depuis 33ans.
Ingénieur- mécanicien devenu ministre de la communication, après avoir exercé longtemps à la Régifercam, cet ancien putschiste de 1984 cumule plus de dix ans de pontificat ministériel.
Arrivé au gouvernement à travers une parentocratie de type impur, Issa Tchiroma Bakary est en journée, le déificateur de Paul Biya. Le président camerounais est détenteur d’un mandat qui relève de ce processus d’adoubement qui a fait de l’homme un totem dont l’absence entraînerait le désastre.
Issa Tchiroma Bakary comme les partisans du régime de Yaoundé se préparent à deux scénarios : la démission du président ou sa mort au pouvoir.
La stratégie de séduction de l’actuel ministre de la communication Issa Tchiroma Bakary, le chérif central, porte parole du gouvernement, est d’être le griot, tout en se servant des médias pour défaire son « créateur ». Le Mincom camerounais a nommé une certaine Pascaline Pipah, pour s’investir dans le bon fonctionnement de son « armée ». Pascaline croît à l’investiture à la magistrature de son ministre. La jeune fonctionnaire du « bataillon des 25.000 » recrus dans la fonction publique camerounaise, après un passage miséreux dans le groupe Anecdote, compte profiter du départ de Biya pour caresser ce rêve d’émasculer les responsables de la décrépitude du pays. C’est le moment où jamais de renverser cette bourgeoisie et de chasser du ministère de la communication ceux qui ne font pas partie du « Contingent de Tchiroma ».
Au Cameroun, les enjeux de la succession de Paul Biya sont énormes, cruciaux et sensibles et mobilisent par conséquent une multiplicité d’acteurs d’horizons divers se définissant comme personnes physiques ou morales. Et depuis le 30 juin 2009, date de son retour au gouvernement, Issa Tchiroma Bakary pensent avec ses amis à quatre hypothèses envisageables pour faire tomber Paul Biya: l’hypothèse d’un successeur désigné, l’hypothèse d’une révolte populaire amenant un homme consensuel (proche de la société civile) à la tête de l’Etat, une révolution de palais orchestrée par les hauts gradés de l’armée ou enfin la fragilisation du pouvoir central par une milice (des insurgés, des journalistes financièrement entretenus) afin de provoquer une révolution.
La raison : Issa Tchiroma Bakary, ce nordiste de Garoua ayant obtenu son Certificat d'études primaires à 16 ans, a décidé de mettre en place, son « armée de journalistes » pour traquer jusqu’au dernier retranchement, Boko Haram et le président Biya ; et préparer sa succession au président actuel ; au pouvoir depuis 33ans.
Ingénieur- mécanicien devenu ministre de la communication, après avoir exercé longtemps à la Régifercam, cet ancien putschiste de 1984 cumule plus de dix ans de pontificat ministériel.
Arrivé au gouvernement à travers une parentocratie de type impur, Issa Tchiroma Bakary est en journée, le déificateur de Paul Biya. Le président camerounais est détenteur d’un mandat qui relève de ce processus d’adoubement qui a fait de l’homme un totem dont l’absence entraînerait le désastre.
Issa Tchiroma Bakary comme les partisans du régime de Yaoundé se préparent à deux scénarios : la démission du président ou sa mort au pouvoir.
La stratégie de séduction de l’actuel ministre de la communication Issa Tchiroma Bakary, le chérif central, porte parole du gouvernement, est d’être le griot, tout en se servant des médias pour défaire son « créateur ». Le Mincom camerounais a nommé une certaine Pascaline Pipah, pour s’investir dans le bon fonctionnement de son « armée ». Pascaline croît à l’investiture à la magistrature de son ministre. La jeune fonctionnaire du « bataillon des 25.000 » recrus dans la fonction publique camerounaise, après un passage miséreux dans le groupe Anecdote, compte profiter du départ de Biya pour caresser ce rêve d’émasculer les responsables de la décrépitude du pays. C’est le moment où jamais de renverser cette bourgeoisie et de chasser du ministère de la communication ceux qui ne font pas partie du « Contingent de Tchiroma ».
Au Cameroun, les enjeux de la succession de Paul Biya sont énormes, cruciaux et sensibles et mobilisent par conséquent une multiplicité d’acteurs d’horizons divers se définissant comme personnes physiques ou morales. Et depuis le 30 juin 2009, date de son retour au gouvernement, Issa Tchiroma Bakary pensent avec ses amis à quatre hypothèses envisageables pour faire tomber Paul Biya: l’hypothèse d’un successeur désigné, l’hypothèse d’une révolte populaire amenant un homme consensuel (proche de la société civile) à la tête de l’Etat, une révolution de palais orchestrée par les hauts gradés de l’armée ou enfin la fragilisation du pouvoir central par une milice (des insurgés, des journalistes financièrement entretenus) afin de provoquer une révolution.