La fête sportive de la jeunesse africaine, les 11èmes Jeux Africains Brazzaville 2015 suivent leur cours normal dans les différents sites retenus à cet effet, notamment au complexe sportif de la Concorde et dans les quatre gymnases disséminés à travers la capitale, Brazzaville. Si l’on ne s’en tenait qu’à l’appréciation que les athlètes ont du cadre sportif.
En tout cas, les athlètes et leur chef de délégation ne font pas mystère de leur admiration pour les conditions d’accueil et d’hébergement, mais surtout pour les infrastructures sportives où ils évoluent. A leurs yeux, ils n’ont rencontré ce genre d’infrastructures que dans les pays occidentaux.
En effet, selon les spécialistes, la norme olympique prévoit que les athlètes soient logés au plus six par chambre. Au village olympique congolais, ils sont plutôt 4 par chambres avec toutes les conditions réunies.
Ainsi, Monsieur Bernaoui Raouf, président de la fédération Algérienne d’Escrime, par exemple, parle de « supers Jeux ». « C’est formidable de voir un pays africain réalisé de telles prouesses », s’est-il exclamé ! « Nourrir des milliers d’athlètes en un temps record, les loger, tous dans des conditions dignes, le wifi est presque partout dans les lieux des jeux et ouvert, des installations sportives magnifiques, quoi de plus agréable », s’est-il extasié avant de conclure que «j’ai beaucoup voyagé, dans le cadre des compétitions sportives internationales, ce que j’ai vu, au Congo, je n’ai jamais vu ça ailleurs. Coup de chapeau aux autorités congolaises !»
Un athlète mozambicain, Délcio, dont le pays a abrité la 10ème édition des Jeux Africains en 2011, ne trouve pas les mots assez justes pour traduire son émotion. Qualifiant d’ultramodernes les infrastructures sportives, il soutient que le Congo peut prétendre « organiser les Jeux Olympiques, avec de telles infrastructures ».
Tous s’accordent à dire que le pays hôte des Jeux Africains a tenu le pari de l’organisation presqu’à tous les niveaux. La handballeuse burkinabè, Mariam Simporé a par exemple dit, non seulement, sa volonté d’immortaliser sa présence dans le complexe sportif la Concorde de Kintélé, mais aussi son intention de montrer ses selfies aux autorités de son pays, dans l’espoir, dit-elle, qu’elles fassent quelque chose de comparable. «Je me suis fait filmer presque dans les lieux abritant les jeux africains, question d’aller montrer cela à nos dirigeants sportifs pour qu’ils fassent comme le Congo, parce qu’il faut copier ce qui est bon. Et le Congo vient de montrer là, le chemin à suivre pour développer le sport en Afrique », a-telle déclaré.
Ngakambé Vanily et Shirambéré Jean Paul, deux athlètes rwandais, Belhas Salah Charib de Tunisie, Ait Baziz Mohamed, chef de mission algérienne, Laghouil Imène et Glori Yacine deux Coachs algériens du Karaté, bref la liste n’est pas exhaustive des athlètes et officiels qui ne tarissent pas d’éloges pour les autorités congolaises d’avoir réussi le pari à plus d’un titre.
Un autre tunisien, Ahmed lui, souligne au passage la relation entre le sport et l’écologie mise en exergue par les autorités congolaises pendant ces jeux. « En plaçant au cœur de ces jeux le concept d’Africa Green Challenge, dit-il, « le Congo traduit là, en acte, la volonté écologique de son président». Pour lui, le succès presque déjà assuré de l’organisation de ces jeux tient aussi à « la stabilité tant économique que politique de ce pays de l’Afrique Centrale ».
La 11ème édition Brazzaville 2015 permet d'ores et déjà aux Jeux Africains d’écrire une nouvelle page de leur histoire. Les installations sportives vont sans doute servir de boussole au prochain pays organisateur quand les athlètes en garderont le souvenir mémorable, en dépit des résultats.
En tout cas, les athlètes et leur chef de délégation ne font pas mystère de leur admiration pour les conditions d’accueil et d’hébergement, mais surtout pour les infrastructures sportives où ils évoluent. A leurs yeux, ils n’ont rencontré ce genre d’infrastructures que dans les pays occidentaux.
En effet, selon les spécialistes, la norme olympique prévoit que les athlètes soient logés au plus six par chambre. Au village olympique congolais, ils sont plutôt 4 par chambres avec toutes les conditions réunies.
Ainsi, Monsieur Bernaoui Raouf, président de la fédération Algérienne d’Escrime, par exemple, parle de « supers Jeux ». « C’est formidable de voir un pays africain réalisé de telles prouesses », s’est-il exclamé ! « Nourrir des milliers d’athlètes en un temps record, les loger, tous dans des conditions dignes, le wifi est presque partout dans les lieux des jeux et ouvert, des installations sportives magnifiques, quoi de plus agréable », s’est-il extasié avant de conclure que «j’ai beaucoup voyagé, dans le cadre des compétitions sportives internationales, ce que j’ai vu, au Congo, je n’ai jamais vu ça ailleurs. Coup de chapeau aux autorités congolaises !»
Un athlète mozambicain, Délcio, dont le pays a abrité la 10ème édition des Jeux Africains en 2011, ne trouve pas les mots assez justes pour traduire son émotion. Qualifiant d’ultramodernes les infrastructures sportives, il soutient que le Congo peut prétendre « organiser les Jeux Olympiques, avec de telles infrastructures ».
Tous s’accordent à dire que le pays hôte des Jeux Africains a tenu le pari de l’organisation presqu’à tous les niveaux. La handballeuse burkinabè, Mariam Simporé a par exemple dit, non seulement, sa volonté d’immortaliser sa présence dans le complexe sportif la Concorde de Kintélé, mais aussi son intention de montrer ses selfies aux autorités de son pays, dans l’espoir, dit-elle, qu’elles fassent quelque chose de comparable. «Je me suis fait filmer presque dans les lieux abritant les jeux africains, question d’aller montrer cela à nos dirigeants sportifs pour qu’ils fassent comme le Congo, parce qu’il faut copier ce qui est bon. Et le Congo vient de montrer là, le chemin à suivre pour développer le sport en Afrique », a-telle déclaré.
Ngakambé Vanily et Shirambéré Jean Paul, deux athlètes rwandais, Belhas Salah Charib de Tunisie, Ait Baziz Mohamed, chef de mission algérienne, Laghouil Imène et Glori Yacine deux Coachs algériens du Karaté, bref la liste n’est pas exhaustive des athlètes et officiels qui ne tarissent pas d’éloges pour les autorités congolaises d’avoir réussi le pari à plus d’un titre.
Un autre tunisien, Ahmed lui, souligne au passage la relation entre le sport et l’écologie mise en exergue par les autorités congolaises pendant ces jeux. « En plaçant au cœur de ces jeux le concept d’Africa Green Challenge, dit-il, « le Congo traduit là, en acte, la volonté écologique de son président». Pour lui, le succès presque déjà assuré de l’organisation de ces jeux tient aussi à « la stabilité tant économique que politique de ce pays de l’Afrique Centrale ».
La 11ème édition Brazzaville 2015 permet d'ores et déjà aux Jeux Africains d’écrire une nouvelle page de leur histoire. Les installations sportives vont sans doute servir de boussole au prochain pays organisateur quand les athlètes en garderont le souvenir mémorable, en dépit des résultats.