Tchad : des milliers de réfugiés suite aux violences intercommunautaires au Cameroun. @ UNHCR / Aristophane Ngargoune
Le gouverneur de la province du Chari Baguirmi, Gayang Souaré, a expliqué dimanche à Alwihda Info qu'il y a plusieurs sites dont celui d'Oudouma, à 20 km au sud Ouest de Koundoul qui compte 10.483 déplacés, en plus de quatre autres sites qui comptent autour de 15.000 déplacés.
"Ça veut dire que les hommes valides sont restés de l'autre côté. Si tout rentre dans l'ordre de l'autre côté, ils vont peut être repartir chez eux", selon le gouverneur Gayang Souaré.
Le gouverneur assure que toutes les dispositions sécuritaires ont été prises. "On les a acceptés à bras ouvert. Il fallait les sécuriser. Nous avons pris les dispositions sécuritaires pour les sécuriser et aussi sécuriser notre frontière parce que, quelques fois, il y a des personnes malintentionnées qui peuvent venir également. On a renforcé la sécurité. Les dispositions sécuritaires ont été renforcées", précise le gouverneur de la province du Chari Baguirmi.
Les autorités tchadiennes veulent éviter que ce qui se passe au Cameroun "soit transposé" au Tchad car "ce sont les mêmes communautés".
Dans la province du Chari Baguirmi, une opération de sensibilisation a été entamée par l'intermédiaire des leaders religieux et des leaders traditionnels. L'objectif est "d'expliquer aux populations que c'est un conflit qui ne nous regarde pas", indique le gouverneur.
Les partenaires humanitaires ont également été mobilisées. Une visite de terrain effectuée samedi a permis d'évaluer les besoins. Dans les sites d'accueil des réfugiés, des comités d'accueil enregistrent systématiquement les arrivées. "C'est pour cette raison que vous avez un chiffre exact", souligne Gayang Souaré.
"Ça veut dire que les hommes valides sont restés de l'autre côté. Si tout rentre dans l'ordre de l'autre côté, ils vont peut être repartir chez eux", selon le gouverneur Gayang Souaré.
Le gouverneur assure que toutes les dispositions sécuritaires ont été prises. "On les a acceptés à bras ouvert. Il fallait les sécuriser. Nous avons pris les dispositions sécuritaires pour les sécuriser et aussi sécuriser notre frontière parce que, quelques fois, il y a des personnes malintentionnées qui peuvent venir également. On a renforcé la sécurité. Les dispositions sécuritaires ont été renforcées", précise le gouverneur de la province du Chari Baguirmi.
Les autorités tchadiennes veulent éviter que ce qui se passe au Cameroun "soit transposé" au Tchad car "ce sont les mêmes communautés".
"Il ne faut pas que ce qui se passe au Cameroun soit transposé parce qu'apparement, ce sont les mêmes communautés. C'est juste le fleuve qui est là au milieu donc c'est les mêmes communautés".
Dans la province du Chari Baguirmi, une opération de sensibilisation a été entamée par l'intermédiaire des leaders religieux et des leaders traditionnels. L'objectif est "d'expliquer aux populations que c'est un conflit qui ne nous regarde pas", indique le gouverneur.
Les partenaires humanitaires ont également été mobilisées. Une visite de terrain effectuée samedi a permis d'évaluer les besoins. Dans les sites d'accueil des réfugiés, des comités d'accueil enregistrent systématiquement les arrivées. "C'est pour cette raison que vous avez un chiffre exact", souligne Gayang Souaré.