
Soixante ans après les indépendances, l’Afrique reste marquée par une forte dépendance économique et institutionnelle vis-à-vis des anciennes puissances coloniales. Les structures héritées du colonialisme n’ont pas été totalement démantelées : le franc CFA demeure sous contrôle extérieur, les matières premières africaines continuent d’être exploitées au profit d’intérêts étrangers, et de nombreuses décisions stratégiques sont influencées par des institutions financières internationales.
Une indépendance politique incomplète qui nécessite des actions continues
L’émancipation totale passe donc par une rupture avec ces dépendances économiques et monétaires. « Vive l’Afrique Libre » milite pour une monnaie africaine souveraine, la valorisation des ressources locales et une intégration régionale forte, permettant aux pays du continent de peser sur la scène mondiale.
L’unité africaine, un combat permanent
L’union des nations africaines est un idéal porté par des figures comme Kwame Nkrumah, Cheikh Anta Diop ou Thomas Sankara. Pourtant, les divisions internes affaiblissent l’Afrique, la rendant vulnérable aux influences extérieures. Le morcellement linguistique, les conflits interétatiques et les rivalités géopolitiques freinent l’intégration continentale et l’élan de solidarité africaine comme boucliers à la domination étrangère.
Le panafricanisme d’aujourd’hui doit promouvoir une véritable solidarité entre les États africains, renforcer l’Union africaine et encourager la coopération économique et culturelle. La construction d’une Afrique unie repose sur l’abolition des frontières artificielles, la libre circulation des personnes et la mise en place d’institutions fortes.
La souveraineté culturelle et identitaire
La domination culturelle occidentale reste un frein à l’émancipation africaine. Les systèmes éducatifs valorisent encore des modèles étrangers au détriment des réalités africaines, et les médias diffusent des récits souvent biaisés sur le continent.
Il est urgent de réhabiliter les langues africaines, de promouvoir un enseignement ancré dans l’histoire et les valeurs du continent, et de favoriser une industrie culturelle africaine forte. « Vive l’Afrique Libre » œuvre pour une renaissance culturelle, où l’Afrique raconte son propre récit et affirme fièrement son identité.
La jeunesse, fer de lance du renouveau africain
La population africaine est jeune, dynamique et pleine de potentiel. Pourtant, elle est souvent négligée par les gouvernements et confrontée au chômage, à la précarité et à l’exil forcé. L’engagement panafricaniste implique de créer des opportunités pour la jeunesse : investir dans l’éducation, soutenir l’entrepreneuriat local et encourager la participation des jeunes aux décisions politiques. L’Afrique ne pourra se libérer que si sa jeunesse est impliquée dans sa transformation.
Une lutte pour la justice et l’équité
Le néocolonialisme, l’exploitation des ressources naturelles et la corruption affaiblissent le continent. La lutte panafricaniste est aussi un combat pour la justice sociale, la bonne gouvernance et la fin des dictatures soutenues par des intérêts étrangers.
La souveraineté africaine passe par des institutions transparentes, une gouvernance responsable et la fin des ingérences extérieures qui perpétuent le chaos et la misère. « Vive l’Afrique Libre » plaide pour une Afrique dirigée par des leaders intègres, au service de leur peuple.
L’urgence d’un réveil collectif
Poursuivre la lutte panafricaniste, c’est refuser la résignation et œuvrer pour une Afrique véritablement libre, unie et prospère. C’est un combat de longue haleine, mais il est essentiel pour garantir aux générations futures un continent souverain, fier et maître de son destin. Le réseau « Vive l’Afrique Libre » porté par Éric Ella appelle chaque Africain, chaque diaspora et chaque allié de l’Afrique à se mobiliser pour cette cause noble et juste. L’heure est venue d’écrire une nouvelle page de l’histoire africaine, celle de l’émancipation totale et du rayonnement du continent africain sur la scène mondiale.
Une indépendance politique incomplète qui nécessite des actions continues
L’émancipation totale passe donc par une rupture avec ces dépendances économiques et monétaires. « Vive l’Afrique Libre » milite pour une monnaie africaine souveraine, la valorisation des ressources locales et une intégration régionale forte, permettant aux pays du continent de peser sur la scène mondiale.
L’unité africaine, un combat permanent
L’union des nations africaines est un idéal porté par des figures comme Kwame Nkrumah, Cheikh Anta Diop ou Thomas Sankara. Pourtant, les divisions internes affaiblissent l’Afrique, la rendant vulnérable aux influences extérieures. Le morcellement linguistique, les conflits interétatiques et les rivalités géopolitiques freinent l’intégration continentale et l’élan de solidarité africaine comme boucliers à la domination étrangère.
Le panafricanisme d’aujourd’hui doit promouvoir une véritable solidarité entre les États africains, renforcer l’Union africaine et encourager la coopération économique et culturelle. La construction d’une Afrique unie repose sur l’abolition des frontières artificielles, la libre circulation des personnes et la mise en place d’institutions fortes.
La souveraineté culturelle et identitaire
La domination culturelle occidentale reste un frein à l’émancipation africaine. Les systèmes éducatifs valorisent encore des modèles étrangers au détriment des réalités africaines, et les médias diffusent des récits souvent biaisés sur le continent.
Il est urgent de réhabiliter les langues africaines, de promouvoir un enseignement ancré dans l’histoire et les valeurs du continent, et de favoriser une industrie culturelle africaine forte. « Vive l’Afrique Libre » œuvre pour une renaissance culturelle, où l’Afrique raconte son propre récit et affirme fièrement son identité.
La jeunesse, fer de lance du renouveau africain
La population africaine est jeune, dynamique et pleine de potentiel. Pourtant, elle est souvent négligée par les gouvernements et confrontée au chômage, à la précarité et à l’exil forcé. L’engagement panafricaniste implique de créer des opportunités pour la jeunesse : investir dans l’éducation, soutenir l’entrepreneuriat local et encourager la participation des jeunes aux décisions politiques. L’Afrique ne pourra se libérer que si sa jeunesse est impliquée dans sa transformation.
Une lutte pour la justice et l’équité
Le néocolonialisme, l’exploitation des ressources naturelles et la corruption affaiblissent le continent. La lutte panafricaniste est aussi un combat pour la justice sociale, la bonne gouvernance et la fin des dictatures soutenues par des intérêts étrangers.
La souveraineté africaine passe par des institutions transparentes, une gouvernance responsable et la fin des ingérences extérieures qui perpétuent le chaos et la misère. « Vive l’Afrique Libre » plaide pour une Afrique dirigée par des leaders intègres, au service de leur peuple.
L’urgence d’un réveil collectif
Poursuivre la lutte panafricaniste, c’est refuser la résignation et œuvrer pour une Afrique véritablement libre, unie et prospère. C’est un combat de longue haleine, mais il est essentiel pour garantir aux générations futures un continent souverain, fier et maître de son destin. Le réseau « Vive l’Afrique Libre » porté par Éric Ella appelle chaque Africain, chaque diaspora et chaque allié de l’Afrique à se mobiliser pour cette cause noble et juste. L’heure est venue d’écrire une nouvelle page de l’histoire africaine, celle de l’émancipation totale et du rayonnement du continent africain sur la scène mondiale.

Éric Richard Ella Bekale, président du Réseau panafricaniste « Vive l’Afrique Libre »