Le président togolais, Faure Gnassingbé, qui a fait le déplacement d’Oyo a condamné le coup de force échoué au Burundi : « Il faut condamner cette tentative de prise du pouvoir par les armes au Burundi. Comme le recommandent toutes les instances régionales africaines et l’Union africaine. Aujourd’hui nous voulons qu’il n’y ait plus de changement anticonstitutionnel en Afrique », a déclaré le président togolais tout en souhaitant pour le Burundi, la « relance du dialogue pour régler les problèmes politiques ».
Pour sa part le Chef de l’Etat Congolais, Denis Sassou N’Guesso, abordé par la presse sur la même question, a fait un rappel des principes de l’Union africaine sur la « tolérance zéro » en matière de prise du pouvoir par la force. S’exprimant à propos du débat sur l’opportunité ou non de la candidature du président Pierre Nkurunziza, Denis Sassou N’Guesso a signifié dès lors que la cour constitutionnelle a tranché qu’il n’y voyait aucune entorse à la loi. « À partir du moment où la cour constitutionnelle s’était prononcée, le droit devait primer, et non la force », a dit le Congolais Denis Sassou N’Guesso.
Développant sa pensée, le Chef de l’Etat Congolais s’est fait le devoir de rappeler le contexte particulier du Burundi, pays en situation post-conflit, avant de déduire que « C’était hasardeux de vouloir replonger le Burundi dans des violences ».
Le président de la République du Congo a saisi cette opportunité, pour féliciter, de nouveau, le président Togolais Faure Gnassingbé pour sa réélection. De même qu’il a salué le déroulement sans heurts de l'élection présidentielle au Togo. Denis Sassou N'Guesso pense que ce processus mené avec succès est la preuve que l'Afrique gagne en maturité : "C'est un point positif pour le Togo, mais aussi pour notre continent", pouvait-il conclut.
Pour sa part le Chef de l’Etat Congolais, Denis Sassou N’Guesso, abordé par la presse sur la même question, a fait un rappel des principes de l’Union africaine sur la « tolérance zéro » en matière de prise du pouvoir par la force. S’exprimant à propos du débat sur l’opportunité ou non de la candidature du président Pierre Nkurunziza, Denis Sassou N’Guesso a signifié dès lors que la cour constitutionnelle a tranché qu’il n’y voyait aucune entorse à la loi. « À partir du moment où la cour constitutionnelle s’était prononcée, le droit devait primer, et non la force », a dit le Congolais Denis Sassou N’Guesso.
Développant sa pensée, le Chef de l’Etat Congolais s’est fait le devoir de rappeler le contexte particulier du Burundi, pays en situation post-conflit, avant de déduire que « C’était hasardeux de vouloir replonger le Burundi dans des violences ».
Le président de la République du Congo a saisi cette opportunité, pour féliciter, de nouveau, le président Togolais Faure Gnassingbé pour sa réélection. De même qu’il a salué le déroulement sans heurts de l'élection présidentielle au Togo. Denis Sassou N'Guesso pense que ce processus mené avec succès est la preuve que l'Afrique gagne en maturité : "C'est un point positif pour le Togo, mais aussi pour notre continent", pouvait-il conclut.