Sous le haut patronage du ministre de l'Éducation nationale et de la Promotion civique, s’est tenu hier, dans un hôtel de la place, le lancement de l’atelier technique multi-pays 2025, portant sur l’inclusion des enfants mouhadjirines/talibés en Afrique de l’Ouest et du Centre.
Dans son allocution, la directrice générale adjointe de l’Agence Française de Développement (AFD), Mme Sophie Chapellet, a rappelé l’importance de l’inclusion et de la protection des enfants talibés en Afrique de l’Ouest et du Centre.
Ces enfants, appelés mouhadjirines dans la tradition islamique, constituent une réalité sociale et culturelle, profondément enracinée dans l’histoire des sociétés sahéliennes et ouest-africaines. Toutefois, cette tradition séculaire représente aujourd’hui une réalité préoccupante. Ces enfants vivent souvent dans des conditions de grande vulnérabilité : éloignés de leurs familles, exposés aux violences et à l’exclusion sociale.
Face à ces défis, l’AFD soutient depuis plusieurs années le Secours Islamique France (SIF) dans le cadre du projet TAWDE, qui vise à promouvoir l’inclusion et la protection de ces enfants, notamment au Tchad et au Sénégal. Mme Chapellet a insisté sur la responsabilité collective de garantir à ces enfants, le respect de leurs droits fondamentaux : droit à la protection, à l’éducation, à la santé, et à une identité.
De son côté, Alexis Ponel, responsable du bureau Afrique et représentant du siège du SIF, a rappelé l’importance de l’inclusion sociale des enfants et des jeunes apprenants des écoles coraniques. Le SIF met en œuvre plusieurs projets destinés à améliorer leurs conditions de vie et à favoriser leur intégration au Sénégal, au Mali, au Burkina Faso et au Tchad.
Selon lui, « notre responsabilité collective va au-delà du constat : il est impératif d’agir de manière coordonnée et concertée pour garantir à ces enfants un avenir fondé sur l’éducation et la dignité. »
Prenant la parole à son tour, le ministre de l'Éducation nationale et de la Promotion civique du Tchad, Aboubakar Assidick Choroma, a souligné que cette initiative marque une étape significative dans l’amélioration des résultats éducatifs, notamment en ce qui concerne l’inclusion des apprenants des écoles coraniques dans les systèmes éducatifs nationaux de l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Il a souligné que cette démarche témoigne de l’importance de la collaboration régionale et constitue un levier essentiel pour garantir à tous les enfants, y compris ceux issus des écoles coraniques, appelés mouhadjirines au Tchad, un accès à une éducation de qualité, inclusive et équitable.
Cette approche est également en phase avec les objectifs du chantier 4 du Programme politique quinquennal du président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, qui prône de ne laisser aucun enfant en dehors du système éducatif, renforçant ainsi l’engagement du Tchad pour une éducation pour tous, sans exclusion.
L'atelier vise à définir des actions collectives et concertées pour intégrer les écoles coraniques dans les systèmes éducatifs nationaux de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Il convient de rappeler que des délégations étrangères venues du Sénégal, du Mali, du Burkina Faso et de la France ont pris part à cet événement. Leur participation témoigne de leur solidarité et de leur engagement en faveur de l’inclusion des élèves des écoles coraniques dans les systèmes éducatifs nationaux.
Dans son allocution, la directrice générale adjointe de l’Agence Française de Développement (AFD), Mme Sophie Chapellet, a rappelé l’importance de l’inclusion et de la protection des enfants talibés en Afrique de l’Ouest et du Centre.
Ces enfants, appelés mouhadjirines dans la tradition islamique, constituent une réalité sociale et culturelle, profondément enracinée dans l’histoire des sociétés sahéliennes et ouest-africaines. Toutefois, cette tradition séculaire représente aujourd’hui une réalité préoccupante. Ces enfants vivent souvent dans des conditions de grande vulnérabilité : éloignés de leurs familles, exposés aux violences et à l’exclusion sociale.
Face à ces défis, l’AFD soutient depuis plusieurs années le Secours Islamique France (SIF) dans le cadre du projet TAWDE, qui vise à promouvoir l’inclusion et la protection de ces enfants, notamment au Tchad et au Sénégal. Mme Chapellet a insisté sur la responsabilité collective de garantir à ces enfants, le respect de leurs droits fondamentaux : droit à la protection, à l’éducation, à la santé, et à une identité.
De son côté, Alexis Ponel, responsable du bureau Afrique et représentant du siège du SIF, a rappelé l’importance de l’inclusion sociale des enfants et des jeunes apprenants des écoles coraniques. Le SIF met en œuvre plusieurs projets destinés à améliorer leurs conditions de vie et à favoriser leur intégration au Sénégal, au Mali, au Burkina Faso et au Tchad.
Selon lui, « notre responsabilité collective va au-delà du constat : il est impératif d’agir de manière coordonnée et concertée pour garantir à ces enfants un avenir fondé sur l’éducation et la dignité. »
Prenant la parole à son tour, le ministre de l'Éducation nationale et de la Promotion civique du Tchad, Aboubakar Assidick Choroma, a souligné que cette initiative marque une étape significative dans l’amélioration des résultats éducatifs, notamment en ce qui concerne l’inclusion des apprenants des écoles coraniques dans les systèmes éducatifs nationaux de l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Il a souligné que cette démarche témoigne de l’importance de la collaboration régionale et constitue un levier essentiel pour garantir à tous les enfants, y compris ceux issus des écoles coraniques, appelés mouhadjirines au Tchad, un accès à une éducation de qualité, inclusive et équitable.
Cette approche est également en phase avec les objectifs du chantier 4 du Programme politique quinquennal du président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, qui prône de ne laisser aucun enfant en dehors du système éducatif, renforçant ainsi l’engagement du Tchad pour une éducation pour tous, sans exclusion.
L'atelier vise à définir des actions collectives et concertées pour intégrer les écoles coraniques dans les systèmes éducatifs nationaux de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Il convient de rappeler que des délégations étrangères venues du Sénégal, du Mali, du Burkina Faso et de la France ont pris part à cet événement. Leur participation témoigne de leur solidarité et de leur engagement en faveur de l’inclusion des élèves des écoles coraniques dans les systèmes éducatifs nationaux.