En plus du cursus scolaire, l’acquisition d’une formation professionnelle ouvre d’avantage les portes du travail. Dès l’école primaire, Arnaud avait dit qu’il deviendrait avocat. En classe de 3e aujourd’hui, il caresse son rêve tout en apprenant la mécanique pendant les vacances.« Mes parents me parlaient d’une école auto dans les causeries. Et puis un bon matin, ils ont décidé de m’y inscrire. Je suis content d’apprendre à conduire et à dépanner les voitures. », déclare-t-il.
Nombreux sont les élèves qui apprennent un métier après les classes ou durant les vacances. Ce sont entre autres les métiers de couture, de plomberie, de mécanique, de sculpture, de maçonnerie et de menuiserie...
La poursuite uniquement du cursus scolaire ne donne pas un accès évident au marché de l’emploi. Des milliers de jeunes diplômés sont sans emploi. La formation suivie est souvent en inadéquation avec l’offre d’emploi aussi bien dans le secteur public que privé. Et aussi longtemps que le contenu de cette formation ne sera pas réajusté, les jeunes resteront dans une précarité de travail. D’où la nécessité pour les élèves d’avoir une formation parallèle, estime un parent.
Les demandeurs d’emploi qui avaient la chance d’apprendre un métier durant leur parcours scolaire ne regrettent pas. Quand leurs diplômes ne sont pas vite sollicités, ils se débrouillent avec leur formation extrascolaire. Voilà trois ans que Djimré Marc dit ELJI, ne décroche pasle boulot avec sa licence en Droit. Pour avoir appris la couture, il évolue au côté d’un maître tailleur bien apprécié de son quartier. Il tire de cette activité les revenus essentiels pour satisfaire ses besoins. « Même mes études, je les ai financées par l’argent que je récoltait dans les ateliers de couture. », informe Marc.
Nombreux sont les élèves qui apprennent un métier après les classes ou durant les vacances. Ce sont entre autres les métiers de couture, de plomberie, de mécanique, de sculpture, de maçonnerie et de menuiserie...
La poursuite uniquement du cursus scolaire ne donne pas un accès évident au marché de l’emploi. Des milliers de jeunes diplômés sont sans emploi. La formation suivie est souvent en inadéquation avec l’offre d’emploi aussi bien dans le secteur public que privé. Et aussi longtemps que le contenu de cette formation ne sera pas réajusté, les jeunes resteront dans une précarité de travail. D’où la nécessité pour les élèves d’avoir une formation parallèle, estime un parent.
Les demandeurs d’emploi qui avaient la chance d’apprendre un métier durant leur parcours scolaire ne regrettent pas. Quand leurs diplômes ne sont pas vite sollicités, ils se débrouillent avec leur formation extrascolaire. Voilà trois ans que Djimré Marc dit ELJI, ne décroche pasle boulot avec sa licence en Droit. Pour avoir appris la couture, il évolue au côté d’un maître tailleur bien apprécié de son quartier. Il tire de cette activité les revenus essentiels pour satisfaire ses besoins. « Même mes études, je les ai financées par l’argent que je récoltait dans les ateliers de couture. », informe Marc.