Le terroriste Mokhtar Bean Mokhtar aurait été arrêté? C'est le général Khalifa Haftar qui aurait fait véhiculer l'information relative à l'arrestation pour prouver à l'opinion tant national qu'internationale que son objectif est de lutter contre les islamistes terroristes qui écument le sol libyen.
Une autre rumeur de son arrestation mis mai a fait réagir l'armée algérienne. Intervenant sur les ondes d’Express FM le 13 mai, le colonel Mokhtar Ben Nasr, porte-parole officiel du ministère de la Défense, a démenti les informations selon lesquelles des arrestations auraient été faites par l’armée en marge des opérations de ratissage à Jebel Chaâmbi.
Mokhtar Belmokhtar alias Belaouer ou Laouer (« le borgne ») ou Khaled Abou al-Abbas est un jihadiste algérien né le 1er juin 19721 ou 19782 à Ghardaïa, Algérie. L'armée tchadienne a affirmé l'avoir tué le 2 mars 2014, mais sa mort n'est pas confirmée et sa tête a été mise à prix en juin 2013 par les États-Unis. Appelé « Mr. Marlboro » par les services algériens, il s'engage en Afghanistan durant sa jeunesse, puis il rentre en Algérie dès le coup d'état de 1991.
Après avoir fait scission avec Al-Qaïda au Maghreb islamique en 2012, il crée son propre mouvement djihadiste, Les Signataires par le sang, avec lequel il mène la prise d'otages d'In Amenas, en Algérie, début 2013.
Une autre rumeur de son arrestation mis mai a fait réagir l'armée algérienne. Intervenant sur les ondes d’Express FM le 13 mai, le colonel Mokhtar Ben Nasr, porte-parole officiel du ministère de la Défense, a démenti les informations selon lesquelles des arrestations auraient été faites par l’armée en marge des opérations de ratissage à Jebel Chaâmbi.
Mokhtar Belmokhtar alias Belaouer ou Laouer (« le borgne ») ou Khaled Abou al-Abbas est un jihadiste algérien né le 1er juin 19721 ou 19782 à Ghardaïa, Algérie. L'armée tchadienne a affirmé l'avoir tué le 2 mars 2014, mais sa mort n'est pas confirmée et sa tête a été mise à prix en juin 2013 par les États-Unis. Appelé « Mr. Marlboro » par les services algériens, il s'engage en Afghanistan durant sa jeunesse, puis il rentre en Algérie dès le coup d'état de 1991.
Après avoir fait scission avec Al-Qaïda au Maghreb islamique en 2012, il crée son propre mouvement djihadiste, Les Signataires par le sang, avec lequel il mène la prise d'otages d'In Amenas, en Algérie, début 2013.