Une tentative de déstabilisation rapidement neutralisée
Le ministre d’État, porte-parole du gouvernement, Abderaman Koulamallah, s’est exprimé en direct depuis la cour du Palais présidentiel, entouré de militaires de la garde présidentielle et arme à la main. Il a affirmé que la situation était sous contrôle et a qualifié l’incident de « petit événement » qui a été rapidement géré.
« Nous attendons la venue du procureur de la République pour vous montrer la réalité de ce qui s’est passé. La situation est sous contrôle. C’est un petit incident qui s’est passé. Les forces de défense et de sécurité ont été mobilisées, et tout a été éradiqué », a-t-il déclaré.
Des vidéos diffusées par des militaires de la garde présidentielle montrent les corps de plusieurs assaillants neutralisés dans l’enceinte du Palais. Ces images, bien que choquantes, confirment selon les autorités l’efficacité de la réponse sécuritaire.
Une mobilisation massive des forces de sécurité
Les échanges de tirs nourris ont eu lieu aux alentours de la Place de la Nation et de la Présidence, plongeant momentanément la capitale dans un climat de tension. Des blindés et des unités spéciales ont été déployés dans les rues de N’Djamena pour sécuriser la zone et rassurer la population.
L’état-major général des armées a tenu à rassurer les Tchadiens, affirmant qu’il n’y avait « aucune inquiétude » et que la situation était entièrement maîtrisée. Sur les réseaux sociaux, le ministre Aziz Mahamat Saleh a également appelé au calme, déclarant sur sa page Facebook : « Rien de grave, pas de panique, la situation est sous contrôle. »
Boko Haram pointé du doigt
Selon des sources des services de renseignement relayées par Tchad 24, les assaillants seraient liés au groupe terroriste Boko Haram. Les opérations sécuritaires menées ce soir visaient à neutraliser cette menace et à prévenir toute tentative de déstabilisation du pays.
Le Tchad, situé dans une région instable, fait régulièrement face à des attaques terroristes, notamment dans la zone du lac Tchad où Boko Haram est particulièrement actif. Cependant, une attaque directe contre le Palais présidentiel marque une escalade préoccupante.
Un message de fermeté du gouvernement
L’apparition publique d’Abderaman Koulamallah, arme à la main et entouré de militaires, semble avoir pour objectif de montrer la détermination du gouvernement à faire face à toute menace. Cette communication vise à rassurer la population tout en envoyant un message clair aux groupes armés : le pouvoir en place reste ferme et prêt à réagir avec force.
Alors que la situation semble désormais calme, les autorités promettent des investigations approfondies pour identifier les responsables de cette attaque et prévenir de futurs incidents.
Le ministre d’État, porte-parole du gouvernement, Abderaman Koulamallah, s’est exprimé en direct depuis la cour du Palais présidentiel, entouré de militaires de la garde présidentielle et arme à la main. Il a affirmé que la situation était sous contrôle et a qualifié l’incident de « petit événement » qui a été rapidement géré.
« Nous attendons la venue du procureur de la République pour vous montrer la réalité de ce qui s’est passé. La situation est sous contrôle. C’est un petit incident qui s’est passé. Les forces de défense et de sécurité ont été mobilisées, et tout a été éradiqué », a-t-il déclaré.
Des vidéos diffusées par des militaires de la garde présidentielle montrent les corps de plusieurs assaillants neutralisés dans l’enceinte du Palais. Ces images, bien que choquantes, confirment selon les autorités l’efficacité de la réponse sécuritaire.
Une mobilisation massive des forces de sécurité
Les échanges de tirs nourris ont eu lieu aux alentours de la Place de la Nation et de la Présidence, plongeant momentanément la capitale dans un climat de tension. Des blindés et des unités spéciales ont été déployés dans les rues de N’Djamena pour sécuriser la zone et rassurer la population.
L’état-major général des armées a tenu à rassurer les Tchadiens, affirmant qu’il n’y avait « aucune inquiétude » et que la situation était entièrement maîtrisée. Sur les réseaux sociaux, le ministre Aziz Mahamat Saleh a également appelé au calme, déclarant sur sa page Facebook : « Rien de grave, pas de panique, la situation est sous contrôle. »
Boko Haram pointé du doigt
Selon des sources des services de renseignement relayées par Tchad 24, les assaillants seraient liés au groupe terroriste Boko Haram. Les opérations sécuritaires menées ce soir visaient à neutraliser cette menace et à prévenir toute tentative de déstabilisation du pays.
Le Tchad, situé dans une région instable, fait régulièrement face à des attaques terroristes, notamment dans la zone du lac Tchad où Boko Haram est particulièrement actif. Cependant, une attaque directe contre le Palais présidentiel marque une escalade préoccupante.
Un message de fermeté du gouvernement
L’apparition publique d’Abderaman Koulamallah, arme à la main et entouré de militaires, semble avoir pour objectif de montrer la détermination du gouvernement à faire face à toute menace. Cette communication vise à rassurer la population tout en envoyant un message clair aux groupes armés : le pouvoir en place reste ferme et prêt à réagir avec force.
Alors que la situation semble désormais calme, les autorités promettent des investigations approfondies pour identifier les responsables de cette attaque et prévenir de futurs incidents.