© Goldégué/ATP Une vue des installations à Doba
L’union des Jeunes du Logone Oriental pour le Développement (UJLORD), a organisé un point de presse ce samedi 17 mars 2018, à la maison des médias du Tchad. Ce point de presse Se focalise sur le processus de privation de l’usine de jus de fruits de Doba.
Selon le secrétaire général de l’UJLORD Jeannot le Anguidé, le gouvernement avait annoncé en 2016, le souhait de céder ladite usine à un franc symbolique à tout repreneur désireux d’assurer son opérationnalisation. Cette option a alors suscité l’engouement des organisations des producteurs et de la société civile de la région sous l’impulsion de l’UJLORD. Ce faisant , des démarches ont été entreprises auprès du ministère en charge du commerce et partenaires techniques et a fait suite de l’envoi d’une mission d’inspection de l’usine qui a permis à l’UJLORD d’en faire un état des lieux documenté dont une copie a été dument transmise à l’autorité compétente.
De son avis, d’autres initiatives ont été entreprises pour la même cause : « en outre, sous la houlette de l’UJLORD il a été organisé à Doba une rencontre des producteurs locaux dans l’optique de susciter un consensus régional autour du défi que représente la reprise et la relance de l’usine de jus de fruits de Doba. Fort de cet engagement collectif, aussi et surtout de l’accompagnement technique de nos partenaires indiens, l’UJLORD a alors réitéré à l’administration, son désir ardent d’acquérir à un franc symbolique cette unité de production et d’en faire un véritable pôle de création de richesse et d’emplois », a-t-il rélaté.
Cependant, le secrétaire général de l’UJLORD, Jeannot le Anguidé, s’indigne de la suspension des démarches entreprises par l’UJLOR pour la privation de cette usine. Selon lui, cette privation est entourée des micmacs, est caractérisée par l’incohérence et déboussole en même temps les populations de la région de Doba : « le processus de privation fut suspendu sans aucune explication. Pire encore, M. Ahmat Nassour Affine , secrétaire général du secrétariat permanent chargé du désengagement de l’Etat des entreprises publiques s’est permis dans les colonnes du quotidien progrès numéro 4430 du 08 septembre 2016 de déclarer : tout de go ‘’des ressortissants delà région du Logone oriental ont cherché à reprendre l’usine , malheureusement , ils n’ont pas d’expérience dans le domaine’’ » . Le secrétaire général de l’UJLORD, Jeannot le Anguidé, trouve cette déclaration outrageux, du moment où, leur demande adressée au ministère du commerce n’a pas été pris au sérieux et un avis d’appel d’offres est lancé à leur insu pour rétrocéder l’usine de jus de fruits non pas à un franc symbolique comme précédemment annoncé. « cela montre à suffisance que le gouvernement a fait sourde oreille à notre manifestation d’intérêt et est résolument décidé à octroyer cette usine à des acquéreurs tapis dans l’ombre des godasses ».A-t-il justifié.
Appuyée par ses partenaires dans la lutte, l’UJLORD s’engage à aller jusqu’au bout de sa mission : « Face à cette situation sidérante, les ressortissants du Logone oriental à travers les organisations des producteurs et de la société civile avec le soutient de l’Association des chefs de canton de la région :
-réaffirment leur confiance à l’UJLORD et la mandatent de faire échec à cette basse manœuvre.
-s’indignent qu’après la confiscation abjecte de la présidence des 5%, le gouvernement veuille encore les réduire au rôle de simples spectateurs du développement de leur région.
- s’opposent à toute attribution arbitraire de cette usine à des acquéreurs dont l’objectif est autre que de la rendre opérationnelle.
- se réservent le droit d’en appeler à l’arbitrage des hautes autorités de la république afin que leur soit rétrocédée cette usine pour sa relance.
- en cas de non satisfaction, l’UJLORD et les ressortissants de la région du Logone oriental se réservent le droit de se faire entendre par tous les moyens légaux. » A-t-il soutenu.
Pour le secrétaire général de l’UJLORD, Jeannot le Angui, l’usine de jus de fruits de Doba, est un acquis et doit servir de bonne cause pour les ressortissants de la région de Doba et pour le développement du Tchad, étant donné que cette région regorge assez de fruits, plus précisément les mangues.
Selon le secrétaire général de l’UJLORD Jeannot le Anguidé, le gouvernement avait annoncé en 2016, le souhait de céder ladite usine à un franc symbolique à tout repreneur désireux d’assurer son opérationnalisation. Cette option a alors suscité l’engouement des organisations des producteurs et de la société civile de la région sous l’impulsion de l’UJLORD. Ce faisant , des démarches ont été entreprises auprès du ministère en charge du commerce et partenaires techniques et a fait suite de l’envoi d’une mission d’inspection de l’usine qui a permis à l’UJLORD d’en faire un état des lieux documenté dont une copie a été dument transmise à l’autorité compétente.
De son avis, d’autres initiatives ont été entreprises pour la même cause : « en outre, sous la houlette de l’UJLORD il a été organisé à Doba une rencontre des producteurs locaux dans l’optique de susciter un consensus régional autour du défi que représente la reprise et la relance de l’usine de jus de fruits de Doba. Fort de cet engagement collectif, aussi et surtout de l’accompagnement technique de nos partenaires indiens, l’UJLORD a alors réitéré à l’administration, son désir ardent d’acquérir à un franc symbolique cette unité de production et d’en faire un véritable pôle de création de richesse et d’emplois », a-t-il rélaté.
Cependant, le secrétaire général de l’UJLORD, Jeannot le Anguidé, s’indigne de la suspension des démarches entreprises par l’UJLOR pour la privation de cette usine. Selon lui, cette privation est entourée des micmacs, est caractérisée par l’incohérence et déboussole en même temps les populations de la région de Doba : « le processus de privation fut suspendu sans aucune explication. Pire encore, M. Ahmat Nassour Affine , secrétaire général du secrétariat permanent chargé du désengagement de l’Etat des entreprises publiques s’est permis dans les colonnes du quotidien progrès numéro 4430 du 08 septembre 2016 de déclarer : tout de go ‘’des ressortissants delà région du Logone oriental ont cherché à reprendre l’usine , malheureusement , ils n’ont pas d’expérience dans le domaine’’ » . Le secrétaire général de l’UJLORD, Jeannot le Anguidé, trouve cette déclaration outrageux, du moment où, leur demande adressée au ministère du commerce n’a pas été pris au sérieux et un avis d’appel d’offres est lancé à leur insu pour rétrocéder l’usine de jus de fruits non pas à un franc symbolique comme précédemment annoncé. « cela montre à suffisance que le gouvernement a fait sourde oreille à notre manifestation d’intérêt et est résolument décidé à octroyer cette usine à des acquéreurs tapis dans l’ombre des godasses ».A-t-il justifié.
Appuyée par ses partenaires dans la lutte, l’UJLORD s’engage à aller jusqu’au bout de sa mission : « Face à cette situation sidérante, les ressortissants du Logone oriental à travers les organisations des producteurs et de la société civile avec le soutient de l’Association des chefs de canton de la région :
-réaffirment leur confiance à l’UJLORD et la mandatent de faire échec à cette basse manœuvre.
-s’indignent qu’après la confiscation abjecte de la présidence des 5%, le gouvernement veuille encore les réduire au rôle de simples spectateurs du développement de leur région.
- s’opposent à toute attribution arbitraire de cette usine à des acquéreurs dont l’objectif est autre que de la rendre opérationnelle.
- se réservent le droit d’en appeler à l’arbitrage des hautes autorités de la république afin que leur soit rétrocédée cette usine pour sa relance.
- en cas de non satisfaction, l’UJLORD et les ressortissants de la région du Logone oriental se réservent le droit de se faire entendre par tous les moyens légaux. » A-t-il soutenu.
Pour le secrétaire général de l’UJLORD, Jeannot le Angui, l’usine de jus de fruits de Doba, est un acquis et doit servir de bonne cause pour les ressortissants de la région de Doba et pour le développement du Tchad, étant donné que cette région regorge assez de fruits, plus précisément les mangues.