Des soldats tchadiens avant leur départ au combat. Crédit photo : Sources
Les derniers combats ayant opposé l'armée Tchadienne et les éléments de Boko Haram, ont été particulièrement très violents à Fotokol et Gambarou. Pendant la prise de Gambarou, les éléments de Boko Haram ont minutieusement déployé un arsenal de guerre en nombre important afin d'empêcher à tout prix l'armée Tchadienne de traverser le pont de l'autre côté du Nigeria.
L'armée Tchadienne a utilisé des gros moyens pour détruire la barricade utilisée par les illuminés de Boko Haram. Pendant que les militaires Camerounais se contentaient de garder la localité prétextant qu'ils ne pourront pas intervenir au Nigéria faute d'un accord. Or, l'armée aurait pu user d'un droit de poursuite permis et reconnu comme légal sur le plan international.
Deux chars de l'armée Tchadienne tombés en panne lors de cette opération, ont été acheminés hier, à Ndjamena pour une éventuelle réparation.
D'après une autre source militaire, la plupart des soldats blessés ou tués auraient reçus des balles de nouvelles recrues de l'armée Tchadienne qui ne maîtrisent pas bien le maniement des armes. En effet, lors des combats, en plein affrontement, "des soldats se trouvant en première ligne des combats ont été touchés par des balles tirés accidentellement par d'autres frères d'armes se trouvant juste derrière eux", révèle un officier de l'armée tchadienne, citant un rapport interne.
Les éléments de Boko Haram ont profité de la présence de l'armée Tchadienne à Gambarou Nigeria pour attaquer la ville de Fotokol. La puissance et le déluge de feu des éléments armés ayant traversé à pieds et à moto ont eu raison sur la cavalerie de pick-up et des militaires Camerounais. Ces militaires de salon du Cameroun ont complètement disparu dans la nature en abandonnant la ville de Fotokol à la merci et à la vindicte des éléments de Boko Haram pendant 4 heures du temps.
Ces éléments de Boko Haram ont détruit une myriade de vies humaines, brûlé des cases et saccagés des bâtiments administratifs. "L'armée camerounaise n'a pas su assurer un service après-vente. Il a fallu le retour en force des militaires Tchadiens stationnés à Gambarou pour déloger les éléments de Boko Haram de Fotokol et permettre aux rescapés d'avoir une lueur d'espoir", souligne un officier de l'armée tchadienne.
Les militaires Camerounais ont énormément failli à leur mission qui est celle de défendre les pans ainsi que la population. Il a fallu que les Tchadiens viennent en appui à ces derniers pour contrecarrer les ambitions démesurées de cette secte.
L'armée Tchadienne a utilisé des gros moyens pour détruire la barricade utilisée par les illuminés de Boko Haram. Pendant que les militaires Camerounais se contentaient de garder la localité prétextant qu'ils ne pourront pas intervenir au Nigéria faute d'un accord. Or, l'armée aurait pu user d'un droit de poursuite permis et reconnu comme légal sur le plan international.
Deux chars de l'armée Tchadienne tombés en panne lors de cette opération, ont été acheminés hier, à Ndjamena pour une éventuelle réparation.
D'après une autre source militaire, la plupart des soldats blessés ou tués auraient reçus des balles de nouvelles recrues de l'armée Tchadienne qui ne maîtrisent pas bien le maniement des armes. En effet, lors des combats, en plein affrontement, "des soldats se trouvant en première ligne des combats ont été touchés par des balles tirés accidentellement par d'autres frères d'armes se trouvant juste derrière eux", révèle un officier de l'armée tchadienne, citant un rapport interne.
Les éléments de Boko Haram ont profité de la présence de l'armée Tchadienne à Gambarou Nigeria pour attaquer la ville de Fotokol. La puissance et le déluge de feu des éléments armés ayant traversé à pieds et à moto ont eu raison sur la cavalerie de pick-up et des militaires Camerounais. Ces militaires de salon du Cameroun ont complètement disparu dans la nature en abandonnant la ville de Fotokol à la merci et à la vindicte des éléments de Boko Haram pendant 4 heures du temps.
Ces éléments de Boko Haram ont détruit une myriade de vies humaines, brûlé des cases et saccagés des bâtiments administratifs. "L'armée camerounaise n'a pas su assurer un service après-vente. Il a fallu le retour en force des militaires Tchadiens stationnés à Gambarou pour déloger les éléments de Boko Haram de Fotokol et permettre aux rescapés d'avoir une lueur d'espoir", souligne un officier de l'armée tchadienne.
Les militaires Camerounais ont énormément failli à leur mission qui est celle de défendre les pans ainsi que la population. Il a fallu que les Tchadiens viennent en appui à ces derniers pour contrecarrer les ambitions démesurées de cette secte.