Nous tenons à préciser que le CODE n'est pas associé à cette manifestation du 28 février car, nous pensons que le 28 février au Cameroun, représente dans la mémoire collective, la date de la commémoration des émeutes sanglantes de février 2008, avec la journée du 28 février 2008 comme étant la plus violente et la plus sanglante sur l’étendue du territoire Camerounais.
Nous ne cesserons de le dire : un peuple ça se forme, ça s’encadre, ça s’oriente, ça s’éclaire. Pour qu’un combat porte, il faut un peuple qui se lève.
Et un peuple qui se lève doit avoir à sa tête un vrai leader qui fixe des vrais objectifs, lesquels doivent impérativement être fondés sur une idéologie claire.
Le problème n’est pas aujourd’hui de faire de la figuration, mais de se donner les moyens de chasser ces dirigeants actuels qui n’ont pour seul souci que de mourir au pouvoir.
Ce combat ne se gagnera pas par les élections mais, par la rue.
Alors que nos compatriotes sont en train de subir les affres de Boko Haram au Cameroun, certains activistes de circonstance veulent profiter de la misère d'un peuple pour donner l'impression qu'ils existent en usurpant le nom du CODE afin de le rallier à une activité organisée au Cameroun.
Nous tenons à préciser que le CODE n'est pas associé à cette manifestation du 28 février car, nous pensons que le 28 février au Cameroun, représente dans la mémoire collective, la date de la commémoration des émeutes sanglantes de février 2008, avec la journée du 28 février 2008 comme étant la plus violente et la plus sanglante sur l’étendue du territoire Camerounais.
A cet effet, nous n'allons jamais laisser un instrument de lutte comme le CODE aux mains de vendus, et les Camerounais peuvent être rassurés.
A nos soldats sur le Front
Le CODE soutient sans réserve nos forces armées qui, depuis le début des attaques de Boko Haram dans le grand Nord du Cameroun, assure avec bravoure dans la défense de notre intégrité physique et territoriale . Ce message s’adresse également aux soldats tchadiens associés à cette noble cause.
Par ailleurs, le CODE rend un vibrant hommage à tous les soldats tombés sur le champ de guerre. Ces vaillants combattants méritent la reconnaissance de la Nation
Aux populations déplacées et aux victimes
Le CODE se joint à la famille et les proches des citoyens assassinés par les éléments de la secte de Boko Haram pour leur adresser ce message de douleur et de compassion.
Nous voulons donc par cette communication faire part aux familles déplacées de notre profonde compassion et du sentiment très fort d’empathie qui nous réunit en ce moment.
Le CODE
Rappelle au peuple Camerounais, qu’une insurrection populaire est plus que jamais d’actualité pour renverser Paul Biya et son régime de pilleurs
- Dénonce la lâcheté des organisateurs commandités de la manifestation du 28 février prochain qui s'entêtent à maintenir cette date afin de balayer d'un pan de la main la date anniversaire de l'assassinat des centaines de Camerounais par la soldatesque du pouvoir en place
- Déclare que Paul Biya est le principal responsable de ce chaos dans le grand nord du Cameroun, et lui rappelle ce que nous disons depuis, à savoir qu’il est temps pour lui de choisir de partir comme Abdou Diouf, ou de partir comme Mobutu
Pour le 28 février prochain, précisément, comme l’écrivait le peintre Georges Braque, parce que « certaines de nos blessures se doivent de devenir lumières » ; parce que ce jour doit être un commencement et non, comme d’aucuns sont portés à le croire, une fin.
Ce 28 février, pensons à nos compatriotes assassinés par le pouvoir en place au Cameroun, pensons aux victimes de ces émeutes de février 2008. Rejoignons le Mouvement de Février 2008 et d’autres associations de la société civile camerounaise dans la commémoration du 7ième anniversaire des émeutes qui ont ensanglanté le Cameroun en février 2008.
Fait à Bruxelles le 03 février 2015.
La cellule de communication du CODE
Contact : comitedecoordinationcode@yahoo.fr
http://lecode.canalblog.com/
Association légale : N° d’entreprise 472 85 56 63
Et un peuple qui se lève doit avoir à sa tête un vrai leader qui fixe des vrais objectifs, lesquels doivent impérativement être fondés sur une idéologie claire.
Le problème n’est pas aujourd’hui de faire de la figuration, mais de se donner les moyens de chasser ces dirigeants actuels qui n’ont pour seul souci que de mourir au pouvoir.
Ce combat ne se gagnera pas par les élections mais, par la rue.
Alors que nos compatriotes sont en train de subir les affres de Boko Haram au Cameroun, certains activistes de circonstance veulent profiter de la misère d'un peuple pour donner l'impression qu'ils existent en usurpant le nom du CODE afin de le rallier à une activité organisée au Cameroun.
Nous tenons à préciser que le CODE n'est pas associé à cette manifestation du 28 février car, nous pensons que le 28 février au Cameroun, représente dans la mémoire collective, la date de la commémoration des émeutes sanglantes de février 2008, avec la journée du 28 février 2008 comme étant la plus violente et la plus sanglante sur l’étendue du territoire Camerounais.
A cet effet, nous n'allons jamais laisser un instrument de lutte comme le CODE aux mains de vendus, et les Camerounais peuvent être rassurés.
A nos soldats sur le Front
Le CODE soutient sans réserve nos forces armées qui, depuis le début des attaques de Boko Haram dans le grand Nord du Cameroun, assure avec bravoure dans la défense de notre intégrité physique et territoriale . Ce message s’adresse également aux soldats tchadiens associés à cette noble cause.
Par ailleurs, le CODE rend un vibrant hommage à tous les soldats tombés sur le champ de guerre. Ces vaillants combattants méritent la reconnaissance de la Nation
Aux populations déplacées et aux victimes
Le CODE se joint à la famille et les proches des citoyens assassinés par les éléments de la secte de Boko Haram pour leur adresser ce message de douleur et de compassion.
Nous voulons donc par cette communication faire part aux familles déplacées de notre profonde compassion et du sentiment très fort d’empathie qui nous réunit en ce moment.
Le CODE
Rappelle au peuple Camerounais, qu’une insurrection populaire est plus que jamais d’actualité pour renverser Paul Biya et son régime de pilleurs
- Dénonce la lâcheté des organisateurs commandités de la manifestation du 28 février prochain qui s'entêtent à maintenir cette date afin de balayer d'un pan de la main la date anniversaire de l'assassinat des centaines de Camerounais par la soldatesque du pouvoir en place
- Déclare que Paul Biya est le principal responsable de ce chaos dans le grand nord du Cameroun, et lui rappelle ce que nous disons depuis, à savoir qu’il est temps pour lui de choisir de partir comme Abdou Diouf, ou de partir comme Mobutu
Pour le 28 février prochain, précisément, comme l’écrivait le peintre Georges Braque, parce que « certaines de nos blessures se doivent de devenir lumières » ; parce que ce jour doit être un commencement et non, comme d’aucuns sont portés à le croire, une fin.
Ce 28 février, pensons à nos compatriotes assassinés par le pouvoir en place au Cameroun, pensons aux victimes de ces émeutes de février 2008. Rejoignons le Mouvement de Février 2008 et d’autres associations de la société civile camerounaise dans la commémoration du 7ième anniversaire des émeutes qui ont ensanglanté le Cameroun en février 2008.
Fait à Bruxelles le 03 février 2015.
La cellule de communication du CODE
Contact : comitedecoordinationcode@yahoo.fr
http://lecode.canalblog.com/
Association légale : N° d’entreprise 472 85 56 63