Dans une cuvette pleine du Palais des Sports de Ouaga 2000, le Chef de l’Etat a structuré son adresse autour de trois axes majeurs. Le premier axe a consisté pour le Capitaine Ibrahim Traoré, à travers son appréciation du cours des événements dans le monde, à donner des clés de lecture aux Burkinabè pour comprendre comment l’impérialisme œuvre à saper le développement des pays africains dont ils exploitent les richesses.
Des exemples, il en a cité les plus illustratifs : les sources de la dislocation de l’Union des Républiques socialistes et soviétiques (U.R.S.S.), de la guerre en Afghanistan avec les Talibans, de la guerre en Iraq, le terrorisme avec la création de l’Etat islamique au Grand Sahara, l’expansion du terrorisme dans le Sahel africain, etc.
Développant le deuxième axe, le Président Ibrahim Traoré a expliqué aux forces vives, exemples poignants à l’appui, les raisons de sa détermination à combattre les terroristes. « Soit, nous les combattons, soit ils nous combattent. Nous n’avons pas d’autres choix que de combattre », a insisté le Président du Faso.
Il a attiré également l’attention du peuple sur les velléités de certains Burkinabè, qui espèrent faire la paix avec les terroristes en mettant en avant le dialogue. « Il n’y a pas d’alliance possible avec les terroristes », a-t-il martelé.
Le troisième axe du message du Chef de l’Etat a été consacré à l’exposé de sa vision pour les cinq ans à venir. Cette vision prend en compte entre autres, le secteur de la défense et de la sécurité, la fonction publique, la diplomatie, l’agriculture, l’urbanisme, l’économie, l’emploi, la justice.
Sur la défense et la sécurité, le Président du Faso a annoncé le renforcement des effectifs avec les recrutements et l’équipement pour faire face à la guerre. « Nous sommes sur cette lancée (…) Nous continuons à faire corps avec notre peuple pour ce combat. Nous allons vaincre le terrorisme ici au Burkina », a-t-il rassuré.
Sur la diplomatie, le Président Ibrahim Traoré a expliqué qu’il s’agit d’une diplomatie de vérité qui se pratiquera désormais dans une approche commune et de mutualisation au sein de la confédération « Alliance des Etats du Sahel ». Sur la question, il a dénoncé les attitudes de certains dirigeants d’Etats voisins qui sont devenus des bases arrière des terroristes pour attaquer les pays de l’AES.
Le Président du Faso a réaffirmé sa volonté de lutter contre la corruption et la mauvaise gouvernance dans la fonction publique. Bientôt un organe sera installé dans les ministères et pourra s’autosaisir des questions de corruption et des dysfonctionnements de tous ordres.
Au sujet de la justice, le Chef de l’Etat a déploré l’attitude de certains acteurs qui ont fait le choix de rester en marge des réformes engagées. « L’injustice est un fléau qui détruit notre pays. Tout Burkinabè a besoin de dignité. Nous allons changer le modèle de justice », a souligné le Président du Faso.
Le Capitaine Ibrahim Traoré a, par ailleurs, prêté une oreille attentive aux préoccupations des composantes des forces vives de la Nation. Que ce soit la chefferie coutumière et traditionnelle, le secteur privé, la justice, les élèves et étudiants, les personnes vivant avec un handicap, les organisations de femmes et de jeunes, les acteurs de la communication et des médias, les sportifs et hommes de culture, les syndicats, les associations de la veille citoyenne, chaque composante a salué le travail réalisé par la Transition avant de soumettre ses doléances au Chef de l’Etat ; des préoccupations qui seront prises en compte au cours des cinq années à venir.
Des exemples, il en a cité les plus illustratifs : les sources de la dislocation de l’Union des Républiques socialistes et soviétiques (U.R.S.S.), de la guerre en Afghanistan avec les Talibans, de la guerre en Iraq, le terrorisme avec la création de l’Etat islamique au Grand Sahara, l’expansion du terrorisme dans le Sahel africain, etc.
Développant le deuxième axe, le Président Ibrahim Traoré a expliqué aux forces vives, exemples poignants à l’appui, les raisons de sa détermination à combattre les terroristes. « Soit, nous les combattons, soit ils nous combattent. Nous n’avons pas d’autres choix que de combattre », a insisté le Président du Faso.
Il a attiré également l’attention du peuple sur les velléités de certains Burkinabè, qui espèrent faire la paix avec les terroristes en mettant en avant le dialogue. « Il n’y a pas d’alliance possible avec les terroristes », a-t-il martelé.
Le troisième axe du message du Chef de l’Etat a été consacré à l’exposé de sa vision pour les cinq ans à venir. Cette vision prend en compte entre autres, le secteur de la défense et de la sécurité, la fonction publique, la diplomatie, l’agriculture, l’urbanisme, l’économie, l’emploi, la justice.
Sur la défense et la sécurité, le Président du Faso a annoncé le renforcement des effectifs avec les recrutements et l’équipement pour faire face à la guerre. « Nous sommes sur cette lancée (…) Nous continuons à faire corps avec notre peuple pour ce combat. Nous allons vaincre le terrorisme ici au Burkina », a-t-il rassuré.
Sur la diplomatie, le Président Ibrahim Traoré a expliqué qu’il s’agit d’une diplomatie de vérité qui se pratiquera désormais dans une approche commune et de mutualisation au sein de la confédération « Alliance des Etats du Sahel ». Sur la question, il a dénoncé les attitudes de certains dirigeants d’Etats voisins qui sont devenus des bases arrière des terroristes pour attaquer les pays de l’AES.
Le Président du Faso a réaffirmé sa volonté de lutter contre la corruption et la mauvaise gouvernance dans la fonction publique. Bientôt un organe sera installé dans les ministères et pourra s’autosaisir des questions de corruption et des dysfonctionnements de tous ordres.
Au sujet de la justice, le Chef de l’Etat a déploré l’attitude de certains acteurs qui ont fait le choix de rester en marge des réformes engagées. « L’injustice est un fléau qui détruit notre pays. Tout Burkinabè a besoin de dignité. Nous allons changer le modèle de justice », a souligné le Président du Faso.
Le Capitaine Ibrahim Traoré a, par ailleurs, prêté une oreille attentive aux préoccupations des composantes des forces vives de la Nation. Que ce soit la chefferie coutumière et traditionnelle, le secteur privé, la justice, les élèves et étudiants, les personnes vivant avec un handicap, les organisations de femmes et de jeunes, les acteurs de la communication et des médias, les sportifs et hommes de culture, les syndicats, les associations de la veille citoyenne, chaque composante a salué le travail réalisé par la Transition avant de soumettre ses doléances au Chef de l’Etat ; des préoccupations qui seront prises en compte au cours des cinq années à venir.