L'affaire qui sera entendue au Tribunal de Première Instance d'Ebolowa concerne l’homme qui a été arrêté à Ebolowa avec 23 kg d’écailles de pangolin, lors d'une opération menée par les agents de la délégation départementale des Forêts et de la Faune de la Mvila, en collaboration avec la police. L'opération a également été réalisée en collaboration avec la police d'Abong-Mbang, avec l'assistance technique de LAGA, une organisation non gouvernementale spécialisée dans l'application des lois sur la faune. L'affaire sera entendue pour la deuxième fois, après que la première audience ait été ajournée par le juge le 1er septembre pour la présentation des preuves et des arguments.
Pendant ce temps, l'affaire qui sera entendue le même jour devant la Cour d'Appel de Bertoua concerne cinq personnes arrêtées à Abong-Mbang avec 31 kg d'écailles de pangolin. Ils ont été arrêtés par les agents de la délégation départementale des Forêts et de la Faune du Haut-Nyong, lors de leurs tentatives de vendre les écailles.
Ces affaires s'inscrivent dans le cadre du programme d'application de la loi faunique lancé en 2003 par le gouvernement du Cameroun. Le programme vise à appliquer efficacement la loi de 1994 sur la faune en traquant et en traduisant en justice, les contrevenants à la loi. Cette loi régit le secteur de la faune dans le pays et donne une peine maximale de 3 ans de prison et/ou une amende, pouvant aller jusqu'à 10 millions de FCFA à toute personne reconnue coupable de l'avoir enfreinte.
La loi vise à protéger les espèces sauvages de l'extinction qui devient, au fil des jours, un problème sérieux pour le pays. Plusieurs personnes ont encore du mal à comprendre qu'il existe une loi appliquée de manière stricte, et qu'il existe des dangers causés par les zoonoses, à savoir la transmission de maladies de l'animal à l'homme avec la propagation du coronavirus, un rappel très proche. Les trafiquants d'écailles de pangolin doivent donc faire l'objet de sanctions exemplaires, afin d'alerter l'opinion publique sur les dangers posés par le commerce illégal.
Pendant ce temps, l'affaire qui sera entendue le même jour devant la Cour d'Appel de Bertoua concerne cinq personnes arrêtées à Abong-Mbang avec 31 kg d'écailles de pangolin. Ils ont été arrêtés par les agents de la délégation départementale des Forêts et de la Faune du Haut-Nyong, lors de leurs tentatives de vendre les écailles.
Ces affaires s'inscrivent dans le cadre du programme d'application de la loi faunique lancé en 2003 par le gouvernement du Cameroun. Le programme vise à appliquer efficacement la loi de 1994 sur la faune en traquant et en traduisant en justice, les contrevenants à la loi. Cette loi régit le secteur de la faune dans le pays et donne une peine maximale de 3 ans de prison et/ou une amende, pouvant aller jusqu'à 10 millions de FCFA à toute personne reconnue coupable de l'avoir enfreinte.
La loi vise à protéger les espèces sauvages de l'extinction qui devient, au fil des jours, un problème sérieux pour le pays. Plusieurs personnes ont encore du mal à comprendre qu'il existe une loi appliquée de manière stricte, et qu'il existe des dangers causés par les zoonoses, à savoir la transmission de maladies de l'animal à l'homme avec la propagation du coronavirus, un rappel très proche. Les trafiquants d'écailles de pangolin doivent donc faire l'objet de sanctions exemplaires, afin d'alerter l'opinion publique sur les dangers posés par le commerce illégal.