« La construction nationale doit être l’œuvre du peuple Camerounais tout entier, et toute les communautés du pays sont appelées à y apporter leur pleine contribution dans l’égalité et la justice, mais aussi dans la concorde et la fraternité » ; ainsi s’adressait dimanche, à la presse nationale et internationale, le patron du Centre de commerce extérieur et des relations extérieures à Douala. Ibrahim zakari a tenu a prendre la parole apres plusieurs mois d’observation de la crise anglophone,pour rappeler que: »Le Cameroun n’a jamais accepté et n’acceptera jamais que l’une d’elle, collectivement, qu’elle soit ethnique ou confessionnelle, manifeste des velléités d’hégémonie sur les autres ou soit, de leur part, objet d’opprobre, de méfiance et d’hostilité ».
Le directeur du ccere: »condamne une fois de plus, tous les compatriotes traitre à la patrie et dévoyés, qui a l’extérieur, s’adonne à la triste et déshonorante besogne, de ternir la réputation de leur pays, par des écrits mensongers , le dénigrement, et la propagation de fausses nouvelles, cherchent à entretenir la division et ont la prétention de compromettre l’œuvre sacrée de l’unité et la construction nationale ».
L’échange très couru entre les hommes et femmes de medias et Ibrahim zakari a par ailleurs permis à ce dernier, de rappeler que: »Les manifestations grandioses du cinquantième anniversaire de la réunification ont montré de quelle estime jouit le Cameroun dans le monde, en raison de son sérieux et de ses réalisations ».L’auguste orateur Conscient de ces périls, tout le peuple Camerounais doit continuer à être vigilant pour préserver le précieux acquis de notre unité, et notre stabilité politique ». Pour Ibrahim zakari: »Nous devons continuer à œuvrer ardemment en faveur de la paix sociale et le développement du Cameroun, chère à monsieur le président de la république du Cameroun, S.E. Paul Biya, qui ne cesse d’ apporter toujours son appui total à toutes les initiatives qui peuvent favoriser le dialogue et la négociation et aboutir à une paix équitable et durable dans les régions du monde ou, des conflits provoquent encore des souffrances humaines, et des destructions inadmissibles au regard de la conscience morale universelle ».