Une plainte avec constitution de partie civile du Directeur général du Centre de Commerce Extérieur et de Relations Extérieures contre les responsables de Afrimax B.V,Vodafone Cameroun et autres est en cours d’exploitation à la direction générale de la police judiciaire. La plainte déposée le 12 juillet 2017,quelques jours seulement avant la suspension des activités de Vodafone par les autorités camerounaises fait état des accusations graves contre les cadres de la société Vodafone Cameroun.
Au banc des accusés : un quatuor des dirigeants, poursuivit pour « exploitation électronique frauduleuse ; financement du terrorisme ;tromperies envers des associées ;défauts comptables ;tenue irrégulière ou absence de comptabilité ;abus de confiance ;violation du reglement CEMAC relatif à la réglementation des charges ;violation de l’article 8 du règlement CEMAC portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme et de prolifération en Afrique Centrale ».
Dans sa plainte, Madame Halimatou Hassana,Représentée par Ibrahim Zakari,directeur général du Centre de Commerce Exterieur et des Relations Extérieures(CCERE) explique que : « …les associés de la société NORTHWAVE SARL pluripersonnelle ont cédé l’universalité des parts sociales de ladite société à la société des droits Néerlandais AFRIMAX CAMEROON B.V, en contre partie du montant de cinquante million de Fcfa ;que cette transaction masquée sous-dénomination de cession de parts sociales de la société NORTHWAVE SARL pluripersonnelle n’est qu’une trompe œil visant à se mettre à l’abri des dispositions légales et réglementaires contraignantes régissant la matière de cession de fonds de commerce ;qu’il est tout étonnant de procéder à la cession de parts sociales d’une entreprise prospère en faisant fi de la valeur vénale desdites parts … ».
De la même plainte dont le correspondant de Alwihdainfo a réussit à obtenir copie,il ressort que : « le fisc camerounais a été spolié dans des transactions minutieusement orchestrée pour atteindre le fond du patrimoine de la société NORTHWAVE SARL , mais aussi et surtout, la requérante, laquelle n’a jusqu’à présent recu aucune contrepartie pour la supposée cession de ses parts sociales dans la société NORTHWAVE SARL ».
Le document fait par ailleurs part du fait que : « des transactions bancaires faites au cours de l’année 2016 via le compte de NORTHWAVE SARL domicilié à ECOBANK-Cameroun ont permis d’établir un nombre important de prélèvements frauduleux et de transferts de fonds suspects,sans liens avec des prestations relevant du domaine d’activité de la société » ;ce qui témoigne selon nos sources proches du dossier : « d’une abondante activité de blanchiment de capitaux qui pourrait avoir un lien avec le financement du terrorisme ». Les memes sources précisent que : « pour justifier ces tranferts frauduleux,les mis en cause n’ont pas hésité à initier des conventions fictives de prêt comme celle de 2015 et qui porte sur un montant de six millions de dollars US,soit environ trois milliards de francs cfa,aujourd’hui sans trace de comptabilité de la société NORTHWAVE ».
Au cours de nos investigations,le journaliste de Alwihdainfo a constaté qu’une mission comptable effectuée par le cabinet AEC en avril 2017 a confirmé le caractère douteux et quasi-fictif de la comptabilité mise en place ainsi qu’un déficit comptable de 6.629.802 607 Fcfa. « Une grosse tromperie envers associés » ;s’est exclamé un observateur proche du dossier ; lors de nos investigations.
Le même dossier révèle pèle- mêle : des défauts comptables ;une tenue irrégulière quand c’est pas l’absence de comptabilité. A en croire la plainte déposée auprès du directeur de la Police Judiciaire : « à ces forfaitures s’ajoutent le faux en écriture privée ou de commerce,la violation de la législation de change ;le blanchiment des capitaux ».Une enquête vient d’être ouverte aux fins d’établir la responsabilité des dirigeants de Vodafone et Afrimax Cameroon B.V.Au moment où la police judiciaire s’apprête à interpeler les suspects pour les mettre à la disposition des juridictions compétentes, nous avons tenté en vain , d’entrer en contact avec les « accusés ». Une rumeur persistante nous a fait état de la sortie depuis 48 heures,du territoire camerounais,d’Antoine Pamboro,wilfried Sama,Etah David Akoh.Affaire à suivre.
Au banc des accusés : un quatuor des dirigeants, poursuivit pour « exploitation électronique frauduleuse ; financement du terrorisme ;tromperies envers des associées ;défauts comptables ;tenue irrégulière ou absence de comptabilité ;abus de confiance ;violation du reglement CEMAC relatif à la réglementation des charges ;violation de l’article 8 du règlement CEMAC portant prévention et répression du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme et de prolifération en Afrique Centrale ».
Dans sa plainte, Madame Halimatou Hassana,Représentée par Ibrahim Zakari,directeur général du Centre de Commerce Exterieur et des Relations Extérieures(CCERE) explique que : « …les associés de la société NORTHWAVE SARL pluripersonnelle ont cédé l’universalité des parts sociales de ladite société à la société des droits Néerlandais AFRIMAX CAMEROON B.V, en contre partie du montant de cinquante million de Fcfa ;que cette transaction masquée sous-dénomination de cession de parts sociales de la société NORTHWAVE SARL pluripersonnelle n’est qu’une trompe œil visant à se mettre à l’abri des dispositions légales et réglementaires contraignantes régissant la matière de cession de fonds de commerce ;qu’il est tout étonnant de procéder à la cession de parts sociales d’une entreprise prospère en faisant fi de la valeur vénale desdites parts … ».
De la même plainte dont le correspondant de Alwihdainfo a réussit à obtenir copie,il ressort que : « le fisc camerounais a été spolié dans des transactions minutieusement orchestrée pour atteindre le fond du patrimoine de la société NORTHWAVE SARL , mais aussi et surtout, la requérante, laquelle n’a jusqu’à présent recu aucune contrepartie pour la supposée cession de ses parts sociales dans la société NORTHWAVE SARL ».
Le document fait par ailleurs part du fait que : « des transactions bancaires faites au cours de l’année 2016 via le compte de NORTHWAVE SARL domicilié à ECOBANK-Cameroun ont permis d’établir un nombre important de prélèvements frauduleux et de transferts de fonds suspects,sans liens avec des prestations relevant du domaine d’activité de la société » ;ce qui témoigne selon nos sources proches du dossier : « d’une abondante activité de blanchiment de capitaux qui pourrait avoir un lien avec le financement du terrorisme ». Les memes sources précisent que : « pour justifier ces tranferts frauduleux,les mis en cause n’ont pas hésité à initier des conventions fictives de prêt comme celle de 2015 et qui porte sur un montant de six millions de dollars US,soit environ trois milliards de francs cfa,aujourd’hui sans trace de comptabilité de la société NORTHWAVE ».
Au cours de nos investigations,le journaliste de Alwihdainfo a constaté qu’une mission comptable effectuée par le cabinet AEC en avril 2017 a confirmé le caractère douteux et quasi-fictif de la comptabilité mise en place ainsi qu’un déficit comptable de 6.629.802 607 Fcfa. « Une grosse tromperie envers associés » ;s’est exclamé un observateur proche du dossier ; lors de nos investigations.
Le même dossier révèle pèle- mêle : des défauts comptables ;une tenue irrégulière quand c’est pas l’absence de comptabilité. A en croire la plainte déposée auprès du directeur de la Police Judiciaire : « à ces forfaitures s’ajoutent le faux en écriture privée ou de commerce,la violation de la législation de change ;le blanchiment des capitaux ».Une enquête vient d’être ouverte aux fins d’établir la responsabilité des dirigeants de Vodafone et Afrimax Cameroon B.V.Au moment où la police judiciaire s’apprête à interpeler les suspects pour les mettre à la disposition des juridictions compétentes, nous avons tenté en vain , d’entrer en contact avec les « accusés ». Une rumeur persistante nous a fait état de la sortie depuis 48 heures,du territoire camerounais,d’Antoine Pamboro,wilfried Sama,Etah David Akoh.Affaire à suivre.