Ces derniers jours, c'est un pauvre bougre, délirant, un certain Rémy Ngono, alias Barabas Ngono Mbong, qui est chargé d'aboyer sur les réseaux sociaux, le ministre directeur du Cabinet civil de la présidence de la République (DCC). Et du coup, les Camerounais ne perdent aucun épisode de la « guerre sans fin » qui est livrée à « l’homme qui murmure à l'oreille du chef de l'État ». Dans une envolée qui frise le cynisme, il s’agit de calomnier, saboter et de vilipender sans cesse le « Monsieur Propre ».
En effet, cela est connu de tous : Samuel Mvondo Ayolo, s'est mis à dos, malgré lui, des dignitaires du Cameroun, gravement trempés dans des malversations financières, les détournements massifs des fonds publics, des actes de concussion, et autres faits de corruption.
Le crime du ministre DCC, à en croire ses bourreaux, ces prévaricateurs des caisses de l'État, c'est d'avoir osé murmurer à l'oreille de l'homme Lion, de relancer « Épervier », cette opération d’assainissement et de lutte contre les détourneurs des fonds publics. Car, les Camerounais sont scandalisés de voir une minorité de gouvernants s'emparer de la fortune publique, frauduleusement et impunément !
Cela est donc si suffisant pour susciter la colère des réseaux tapis au sein du pouvoir, et surtout, pour se faire tanner la peau par des hommes de mains, grassement rémunérés pour la sale besogne. D'ailleurs, de nombreux médias l'ont indiqué, « le DCC s'est attaqué à une redoutable mafia, en suscitant la reprise de la lutte contre la mal gouvernance et pour la sécurisation de la fortune publique ».
Ni coïncidence, ni hasard de calendrier, il est devenu constant ces derniers mois, qu'à chaque fois que ça bouge du côté du Tribunal Criminel Spécial (TCS), contre des personnalités soupçonnées de détournements de fonds publics, l’honneur de Samuel Mvondo Ayolo est trainé dans la boue, et violemment attaqué. À chaque phase, apparaît toujours un fortin, bien « armé », et surtout, bien payé, pour saboter, vilipender et calomnier le ministre Mvondo Ayolo. Désormais, ses ennemis politiques, bien identifiés au sein du sérail, ont décidé de monter d'un cran, en faisant fabriquer un faux document pour s'en prendre à un de ses enfants !
Katleen Laetitia Mvondo, victime du « délit de patronyme »
Sur les réseaux sociaux, un faux document a donc été mis en circulation ces derniers jours, et exploité à des fins de manipulation de l'opinion publique. Un soi-disant « certificat de propriété » au nom de Mvondo Katleen Laetitia, et lui attribuant la propriété d’un terrain d’une superficie de 5 709 m2, au lieu-dit Briqueterie-Centre II, à Yaoundé.
Les autorités compétentes auprès desquelles nous avons investigué sont formelles, document officiel à l'appui : « la jeune Camerounaise dont il est question est effectivement Mvondo Kathleen Laetitia. Outre le fait d’être la fille de Monsieur Samuel Mvondo Ayolo, elle est une citoyenne camerounaise jouissant de tous ses droits. Elle a acquis dans la totale transparence, sa parcelle de terrain ».
Citoyenne camerounaise, comme le reste de ses compatriotes, Mvondo Kathleen Laetitia a le droit d’acquérir un terrain de son choix, sur toute l’étendue du territoire national. Mieux encore, « le document mis en circulation sur les réseaux sociaux est un faux. Car, Mvondo Kathleen Laetitia a effectivement acquis, par attribution de la ville de Yaoundé, une parcelle de terrain, mais elle n'a jamais acquis un terrain de 5 709 m2, mais plutôt, et tout juste, une parcelle de 1300 m2 ». Rien à voir donc avec le faux document en circulation.
Ce mensonge éhonté, uniquement sur un membre de la famille du DCC, tout en omettant volontairement les noms de tous les autres bénéficiaires de ces propriétés, illustre bel et bien, une tentative d'intoxication et de manipulation de l'opinion publique, dans l'optique de faire diversion avec les scandales à répétition, se chiffrant par centaines de milliards, et qui heurtent la conscience collective en ce moment.
Il s’agit de la réalisation de certains projets structurants au Cameroun (les barrages de Mekin et de Memve’ele), le fonctionnement du fameux chapitre 94 du budget de l’Etat, et la ligne 65, les scandales sur la CAN, sur les fonds Covid, la construction des ponts métalliques à travers le pays, pour ne citer que ces quelques exemples. Pourtant, sur ces épineux dossiers, Mvondo Ayolo ne traîne aucune casserole !
Une autre cabale de trop
Quant à sa fille, elle a acquis légalement, comme de nombreux compatriotes, une petite parcelle de terrain. Tenter de distraire l'opinion avec une affaire d’acquisition, du reste, menée en toute transparence et de toute légalité, est un acte désespéré, qui ne saurait prospérer comme une tentative de détourner l’attention des Camerounais. Il s’agit là d’une autre cabale, une de plus, une de trop, contre le ministre Mvondo Ayolo.
En tout cas, recourir ainsi honteusement au délit de patronyme, traduit au moins, à quel point la « guerre » est féroce et totale en ce moment, dans les couloirs du pouvoir au Cameroun. Ainsi, tous les coups sont permis, y compris des mensonges grotesques contre les enfants de l'ennemi à abattre.
Et dans ses délires, le très controversé personnage Remy Ngono a osé insinuer que « le ministre DCC lui a téléphoné ». Ce qui n’est qu’à inscrire dans le registre du fantasme. Ce quidam parle des échanges téléphoniques totalement imaginaires, inventés par l'esprit tortueux d’un imposteur démasqué. Alors que le ministre Mvondo Ayolo et lui, n’ont jamais eu le moindre entretien sur cette terre des hommes.
Bien plus, cet individu à qui des ennemis politiques ont raconté des sornettes, ne connaît absolument rien de crédible et de pertinent sur la vie de Samuel Mvondo Ayolo. En toute évidence, les récits ubuesques de Ngono Rémy sur les réseaux oscillent entre affabulations, inepties et ragots d'un drogué. Umberto Eco avait vu juste lorsqu’il écrivait : « Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d'imbéciles qui avant, ne parlaient qu'au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite. Aujourd'hui, ils ont le même droit de parole qu'un prix Nobel ».
En définitive, au fil des années, les Camerounais sont déjà suffisamment édifiés sur la seule motivation qui vaille pour Samuel Mvondo Ayolo : l’intérêt supérieur de l’Etat, et la loyauté à un grand homme d’Etat. Il n’est absolument pas de la race de ces responsables corrompus et clientélistes qui commercialisent les services de l'État, et se remplissent goulûment les poches.
En effet, cela est connu de tous : Samuel Mvondo Ayolo, s'est mis à dos, malgré lui, des dignitaires du Cameroun, gravement trempés dans des malversations financières, les détournements massifs des fonds publics, des actes de concussion, et autres faits de corruption.
Le crime du ministre DCC, à en croire ses bourreaux, ces prévaricateurs des caisses de l'État, c'est d'avoir osé murmurer à l'oreille de l'homme Lion, de relancer « Épervier », cette opération d’assainissement et de lutte contre les détourneurs des fonds publics. Car, les Camerounais sont scandalisés de voir une minorité de gouvernants s'emparer de la fortune publique, frauduleusement et impunément !
Cela est donc si suffisant pour susciter la colère des réseaux tapis au sein du pouvoir, et surtout, pour se faire tanner la peau par des hommes de mains, grassement rémunérés pour la sale besogne. D'ailleurs, de nombreux médias l'ont indiqué, « le DCC s'est attaqué à une redoutable mafia, en suscitant la reprise de la lutte contre la mal gouvernance et pour la sécurisation de la fortune publique ».
Ni coïncidence, ni hasard de calendrier, il est devenu constant ces derniers mois, qu'à chaque fois que ça bouge du côté du Tribunal Criminel Spécial (TCS), contre des personnalités soupçonnées de détournements de fonds publics, l’honneur de Samuel Mvondo Ayolo est trainé dans la boue, et violemment attaqué. À chaque phase, apparaît toujours un fortin, bien « armé », et surtout, bien payé, pour saboter, vilipender et calomnier le ministre Mvondo Ayolo. Désormais, ses ennemis politiques, bien identifiés au sein du sérail, ont décidé de monter d'un cran, en faisant fabriquer un faux document pour s'en prendre à un de ses enfants !
Katleen Laetitia Mvondo, victime du « délit de patronyme »
Sur les réseaux sociaux, un faux document a donc été mis en circulation ces derniers jours, et exploité à des fins de manipulation de l'opinion publique. Un soi-disant « certificat de propriété » au nom de Mvondo Katleen Laetitia, et lui attribuant la propriété d’un terrain d’une superficie de 5 709 m2, au lieu-dit Briqueterie-Centre II, à Yaoundé.
Les autorités compétentes auprès desquelles nous avons investigué sont formelles, document officiel à l'appui : « la jeune Camerounaise dont il est question est effectivement Mvondo Kathleen Laetitia. Outre le fait d’être la fille de Monsieur Samuel Mvondo Ayolo, elle est une citoyenne camerounaise jouissant de tous ses droits. Elle a acquis dans la totale transparence, sa parcelle de terrain ».
Citoyenne camerounaise, comme le reste de ses compatriotes, Mvondo Kathleen Laetitia a le droit d’acquérir un terrain de son choix, sur toute l’étendue du territoire national. Mieux encore, « le document mis en circulation sur les réseaux sociaux est un faux. Car, Mvondo Kathleen Laetitia a effectivement acquis, par attribution de la ville de Yaoundé, une parcelle de terrain, mais elle n'a jamais acquis un terrain de 5 709 m2, mais plutôt, et tout juste, une parcelle de 1300 m2 ». Rien à voir donc avec le faux document en circulation.
Ce mensonge éhonté, uniquement sur un membre de la famille du DCC, tout en omettant volontairement les noms de tous les autres bénéficiaires de ces propriétés, illustre bel et bien, une tentative d'intoxication et de manipulation de l'opinion publique, dans l'optique de faire diversion avec les scandales à répétition, se chiffrant par centaines de milliards, et qui heurtent la conscience collective en ce moment.
Il s’agit de la réalisation de certains projets structurants au Cameroun (les barrages de Mekin et de Memve’ele), le fonctionnement du fameux chapitre 94 du budget de l’Etat, et la ligne 65, les scandales sur la CAN, sur les fonds Covid, la construction des ponts métalliques à travers le pays, pour ne citer que ces quelques exemples. Pourtant, sur ces épineux dossiers, Mvondo Ayolo ne traîne aucune casserole !
Une autre cabale de trop
Quant à sa fille, elle a acquis légalement, comme de nombreux compatriotes, une petite parcelle de terrain. Tenter de distraire l'opinion avec une affaire d’acquisition, du reste, menée en toute transparence et de toute légalité, est un acte désespéré, qui ne saurait prospérer comme une tentative de détourner l’attention des Camerounais. Il s’agit là d’une autre cabale, une de plus, une de trop, contre le ministre Mvondo Ayolo.
En tout cas, recourir ainsi honteusement au délit de patronyme, traduit au moins, à quel point la « guerre » est féroce et totale en ce moment, dans les couloirs du pouvoir au Cameroun. Ainsi, tous les coups sont permis, y compris des mensonges grotesques contre les enfants de l'ennemi à abattre.
Et dans ses délires, le très controversé personnage Remy Ngono a osé insinuer que « le ministre DCC lui a téléphoné ». Ce qui n’est qu’à inscrire dans le registre du fantasme. Ce quidam parle des échanges téléphoniques totalement imaginaires, inventés par l'esprit tortueux d’un imposteur démasqué. Alors que le ministre Mvondo Ayolo et lui, n’ont jamais eu le moindre entretien sur cette terre des hommes.
Bien plus, cet individu à qui des ennemis politiques ont raconté des sornettes, ne connaît absolument rien de crédible et de pertinent sur la vie de Samuel Mvondo Ayolo. En toute évidence, les récits ubuesques de Ngono Rémy sur les réseaux oscillent entre affabulations, inepties et ragots d'un drogué. Umberto Eco avait vu juste lorsqu’il écrivait : « Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d'imbéciles qui avant, ne parlaient qu'au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite. Aujourd'hui, ils ont le même droit de parole qu'un prix Nobel ».
En définitive, au fil des années, les Camerounais sont déjà suffisamment édifiés sur la seule motivation qui vaille pour Samuel Mvondo Ayolo : l’intérêt supérieur de l’Etat, et la loyauté à un grand homme d’Etat. Il n’est absolument pas de la race de ces responsables corrompus et clientélistes qui commercialisent les services de l'État, et se remplissent goulûment les poches.