Dans un communiqué rendu publique ce jour, et diffusée dans le journal de 13 heures de la CRTV (poste national) de ce mardi 7 janvier 2025, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, René Emmanuel Sadi a vivement fustigé l’interprétation abusive des déclarations du chef de l’Etat dans son adresse du 31 décembre dernier.
Ainsi, sur les déclarations de certains évêques de l’Eglise catholique romaine, concernant l’élection présidentielle prévue cette année 2025 au Cameroun, le ministre de la Communication estime que l’Etat reconnaît le droit de tous à la liberté d’expression de leurs opinions dans les limites fixées par les lois de la République.
« … le Gouvernement considère-t-il que les prises de position tranchées de quelques autorités religieuses sur la prochaine présidentielle, positions qui relèvent manifestement de pures supputations, n'engagent que celles-ci et ne sauraient en rien, ni mettre en cause les relations entre l'Etat et les confessions religieuses, ni influer sur le libre choix des camerounais qui sauront, le moment venu, se déterminer en toute souveraineté et en toute responsabilité », poursuit René Emmanuel Sadi.
Il faut rappeler que depuis quelques jours, plus précisément à la suite du message de fin d’année du chef de l’Etat à la Nation, l’on a pu noter çà et là, diverses réactions à travers les médias classiques et les réseaux sociaux, dont celles de quelques prélats de l’Eglise catholique, en rapport avec l’élection présidentielle prévue cette année.
Par ailleurs, le caractère strictement personnel des déclarations politiques des évêques, Mgr Samuel Kleda, Mgr Yaouda Hourgo et Mgr Emmanuel Abbo, rend toute polémique “superfétatoire” à en croire René Emmanuel Sadi.
Ainsi, sur les déclarations de certains évêques de l’Eglise catholique romaine, concernant l’élection présidentielle prévue cette année 2025 au Cameroun, le ministre de la Communication estime que l’Etat reconnaît le droit de tous à la liberté d’expression de leurs opinions dans les limites fixées par les lois de la République.
« … le Gouvernement considère-t-il que les prises de position tranchées de quelques autorités religieuses sur la prochaine présidentielle, positions qui relèvent manifestement de pures supputations, n'engagent que celles-ci et ne sauraient en rien, ni mettre en cause les relations entre l'Etat et les confessions religieuses, ni influer sur le libre choix des camerounais qui sauront, le moment venu, se déterminer en toute souveraineté et en toute responsabilité », poursuit René Emmanuel Sadi.
Il faut rappeler que depuis quelques jours, plus précisément à la suite du message de fin d’année du chef de l’Etat à la Nation, l’on a pu noter çà et là, diverses réactions à travers les médias classiques et les réseaux sociaux, dont celles de quelques prélats de l’Eglise catholique, en rapport avec l’élection présidentielle prévue cette année.
Par ailleurs, le caractère strictement personnel des déclarations politiques des évêques, Mgr Samuel Kleda, Mgr Yaouda Hourgo et Mgr Emmanuel Abbo, rend toute polémique “superfétatoire” à en croire René Emmanuel Sadi.