A la suite d’une concertation tenue le 16 novembre 2023 à Yaoundé, entre les acteurs de la filière brassicole, le ministre camerounais du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, a décidé de maintenir les prix des bières et autres boissons hygiéniques inchangés jusqu'à nouvel ordre.
Il faut rappeler qu’il y a plus d'un mois, l’Association des Producteurs d’Alcool du Cameroun (CAPA) avait, de manière unilatérale, décidé de réajuster les ristournes commerciales accordées aux détaillants.
En réaction à cette décision, des Syndicats d’exploitants de débits de boisson et le Collectif des Barmen du Cameroun avaient alors prévu d'organiser des sit-in devant les usines des membres de la CAPA, histoire d’exprimer leur opposition à cette mesure jugée « injuste ».
Face aux risques potentiels pour l'ordre public que pouvait engendrer ce mouvement de protestation, le ministre du Commerce avait appelé à la retenue. Bien plus, il avait demandé à la CAPA de suspendre temporairement son réajustement des ristournes commerciales.
De même, il avait fait la même demande au Collectif des Barmen du Cameroun, afin de garantir un environnement propice à des négociations entre toutes les parties concernées. La réunion d'apaisement de ce 16 novembre a donc permis de renouer le dialogue entre les différentes parties.
Pour le moment, un statu quo a été décidé par le ministre Luc Magloire Mbarga Atangana, en attendant la résolution des problèmes soulevés par les sociétés brassicoles, les distributeurs et les détaillants, notamment en ce qui concerne la classification des catégories des débits de boisson et la structure des prix. Selon des sources concordantes, une réunion entre les acteurs de la filière brassicole est prévue la semaine prochaine, afin de poursuivre les discussions.
Les consommateurs peuvent être rassurés : aucune augmentation de prix n'est prévue.
Au Cameroun, pendant les fêtes de fin d'année, période propice aux spéculations, aucun changement tarifaire pour les bières et les boissons hygiéniques n’est envisagé dans ce secteur sensible de la vie socio-économique. Plus que jamais, la décision du ministre du Commerce témoigne de l’importance que les pouvoirs publics accordent au dialogue social.
Il faut rappeler qu’il y a plus d'un mois, l’Association des Producteurs d’Alcool du Cameroun (CAPA) avait, de manière unilatérale, décidé de réajuster les ristournes commerciales accordées aux détaillants.
En réaction à cette décision, des Syndicats d’exploitants de débits de boisson et le Collectif des Barmen du Cameroun avaient alors prévu d'organiser des sit-in devant les usines des membres de la CAPA, histoire d’exprimer leur opposition à cette mesure jugée « injuste ».
Face aux risques potentiels pour l'ordre public que pouvait engendrer ce mouvement de protestation, le ministre du Commerce avait appelé à la retenue. Bien plus, il avait demandé à la CAPA de suspendre temporairement son réajustement des ristournes commerciales.
De même, il avait fait la même demande au Collectif des Barmen du Cameroun, afin de garantir un environnement propice à des négociations entre toutes les parties concernées. La réunion d'apaisement de ce 16 novembre a donc permis de renouer le dialogue entre les différentes parties.
Pour le moment, un statu quo a été décidé par le ministre Luc Magloire Mbarga Atangana, en attendant la résolution des problèmes soulevés par les sociétés brassicoles, les distributeurs et les détaillants, notamment en ce qui concerne la classification des catégories des débits de boisson et la structure des prix. Selon des sources concordantes, une réunion entre les acteurs de la filière brassicole est prévue la semaine prochaine, afin de poursuivre les discussions.
Les consommateurs peuvent être rassurés : aucune augmentation de prix n'est prévue.
Au Cameroun, pendant les fêtes de fin d'année, période propice aux spéculations, aucun changement tarifaire pour les bières et les boissons hygiéniques n’est envisagé dans ce secteur sensible de la vie socio-économique. Plus que jamais, la décision du ministre du Commerce témoigne de l’importance que les pouvoirs publics accordent au dialogue social.