Le renversement du président de la transition par les Anti-Balakas soutenus par la France ne semble pas intéresser l'Union africaine, l'ONU et une partie importante des hommes politiques centrafricains. La stratégie d'en finir avec Michel Djotodia serait reportée car elle pourrait créer le vide et instaurer le chao pour longtemps.
Toutes les parties concernées ont convenu sur deux avis. Le premier est d'impliquer directement l'ONU et revoir la présence des forces africains impliquées d'une manière ou d'une autre dans la crise militaire. Puis ramener la transition à six mois, en désarmant tout le monde même la garde présidentielle. La sécurité du Président de la transition sera désormais assurée par les forces onusiennes qui remplaceront celles d'Afrique.
"En Centrafrique, on ne peut pas laisser en place un président qui n’a rien pu faire, voir même a laissé faire" ; La déclaration est à François Hollande le Président français , le 7 décembre 2013, à l'occasion du sommet sur la Centrafrique. Même si l'ambassadeur français à Bangui s'est empressé pour rassurer le président centrafricain Michel Djotodia, Les soldats français ne sont pas passés par trente-six chemins pour procéder d'abord au désarmement des éléments de la Séléka et les laisser aux milices chrétiennes Anti-Balaka pour les lyncher devant la foule qui applaudit.
Le sort de Djotodia devrait être scellé avant samedi matin mais il a compris le jeu de la France et a lâché une partie importante de ses Séléka qui ont pris service depuis jeudi soir.
Toutes les parties concernées ont convenu sur deux avis. Le premier est d'impliquer directement l'ONU et revoir la présence des forces africains impliquées d'une manière ou d'une autre dans la crise militaire. Puis ramener la transition à six mois, en désarmant tout le monde même la garde présidentielle. La sécurité du Président de la transition sera désormais assurée par les forces onusiennes qui remplaceront celles d'Afrique.
"En Centrafrique, on ne peut pas laisser en place un président qui n’a rien pu faire, voir même a laissé faire" ; La déclaration est à François Hollande le Président français , le 7 décembre 2013, à l'occasion du sommet sur la Centrafrique. Même si l'ambassadeur français à Bangui s'est empressé pour rassurer le président centrafricain Michel Djotodia, Les soldats français ne sont pas passés par trente-six chemins pour procéder d'abord au désarmement des éléments de la Séléka et les laisser aux milices chrétiennes Anti-Balaka pour les lyncher devant la foule qui applaudit.
Le sort de Djotodia devrait être scellé avant samedi matin mais il a compris le jeu de la France et a lâché une partie importante de ses Séléka qui ont pris service depuis jeudi soir.