Les rebelles centrafricains. Crédits photos : Alwihda
N'DJAMENA (Tchad) - Plusieurs partis politiques ont demandés au chef de l'Etat d'ordonner le retour des 150 soldats tchadiens à bord de 20 véhicules dépêchés en Centrafrique face à l'avancée d'une coalition rebelle.
"L’Armée tchadienne doit être au service de la nation tchadienne et non être un gendarme de l’Afrique centrale", selon l'opposition dans un communiqué final s'adressant au gouvernement et à l'Assemblée Nationale.
Alors qu'un chef d'escadron du Séléka a menacé ouvertement de donner l'ordre de "massacrer" tous les tchadiens présents en Centrafrique si l'armée intervient, le ministère des Affaires Etrangères n'a pris aucune mesure en vue de l'évacuation ou de la protection de ses ressortissants à l'exemple de la France et des USA.
"Une seule balle des soldats tchadiens sur nos vaillants éléments sur le terrain et je donnerai l'ordre à nos troupes de BANGUI et des grandes villes de massacrer tous les tchadiens se trouvant sur le sol centrafricain", affirmait le chef d'escadron, Boubakozo Madji dans un communiqué de presse parvenu à Alwihda.
"L’Armée tchadienne doit être au service de la nation tchadienne et non être un gendarme de l’Afrique centrale", selon l'opposition dans un communiqué final s'adressant au gouvernement et à l'Assemblée Nationale.
Alors qu'un chef d'escadron du Séléka a menacé ouvertement de donner l'ordre de "massacrer" tous les tchadiens présents en Centrafrique si l'armée intervient, le ministère des Affaires Etrangères n'a pris aucune mesure en vue de l'évacuation ou de la protection de ses ressortissants à l'exemple de la France et des USA.
"Une seule balle des soldats tchadiens sur nos vaillants éléments sur le terrain et je donnerai l'ordre à nos troupes de BANGUI et des grandes villes de massacrer tous les tchadiens se trouvant sur le sol centrafricain", affirmait le chef d'escadron, Boubakozo Madji dans un communiqué de presse parvenu à Alwihda.