© africatime.com Le président congolais Denis Sassou Nguesso et son homologue centrafricain Michel Djotodia
Visiblement, la crise Centrafricaine aurait eu raison de tout le monde. Sauf de Michel Djotodia qui gère bien son affaire (diamant, bois et or Centrafricain) via le Tchad, le Soudan sans oublier le Qatar continuant ainsi à régner tranquillement sur une moitié de la Centrafrique, alors qu’il n’a pas reçu mandat du peuple Centrafricain pour agir ainsi, quelle cacophonie ? Michel est arrivé au pouvoir contre la volonté du peuple et aujourd’hui tout le monde sait il en est arrivé à cette situation, la tragédie que vit la population Centrafricaine en générale. Depuis, c'est-à-dire il y a plus de 8 mois. Usant de subterfuges, souvent des plus saugrenues, le locataire du palais de la Reconnaissance a démontré ses limites, brillant par la médiocrité, méthode orthodoxe et barbare. La communauté internationale, qui a longtemps cru en la bonne foi du couple Djotodia –Tiangaye est sans doute désormais sur la même longueur que ces derniers rendent le Tablier. Même si, cette folie de Michel Djotodia et ses hommes dans tous leurs états d’âme de terroriser et massacrer un peuple. Pourtant, ce ne sont pas les occasions, encore moins, qui font défaut mais par manque d’unité au sein de la population Centrafricaine pour qu’un jour le peuple se soulève pour demander la démission d’un pouvoir aux bois, d’un tyran. En réalité, c’est bien la sincérité et par manque de volonté des leaders capables qui font défaut.
Aujourd'hui, après les populations Centrafricaines et la communauté internationale, c'est Denis Sassou, président du Congo et médiateur dans la crise Centrafricaine, qui semblerait lui aussi "fatigué" des virages et des montages de son homologue, le tyran Djotodia qui ne fait que s’entêter sans lendemain. En marge de la réunion du Groupe International de Contact sur RCA, organisé à Bangui du 08 novembre 2013, le président Congolais déclarait que "mes limites peuvent s’arrêter au cours de cette année". Certes, ce dernier aurait été, pendant longtemps, accusé à tort ou à raison, d'avoir cautionné les criminelles de la seleka. Ce que les tentatives à N’Djamina, Libreville, et Brazzaville n'ont pas réussi à faire, avec ce que tout le monde connait aujourd’hui sur la Centrafrique.
Aujourd'hui, après les populations Centrafricaines et la communauté internationale, c'est Denis Sassou, président du Congo et médiateur dans la crise Centrafricaine, qui semblerait lui aussi "fatigué" des virages et des montages de son homologue, le tyran Djotodia qui ne fait que s’entêter sans lendemain. En marge de la réunion du Groupe International de Contact sur RCA, organisé à Bangui du 08 novembre 2013, le président Congolais déclarait que "mes limites peuvent s’arrêter au cours de cette année". Certes, ce dernier aurait été, pendant longtemps, accusé à tort ou à raison, d'avoir cautionné les criminelles de la seleka. Ce que les tentatives à N’Djamina, Libreville, et Brazzaville n'ont pas réussi à faire, avec ce que tout le monde connait aujourd’hui sur la Centrafrique.
Le bout du tunnel, seuls les Centrafricains décideront de mettre hors état de nuire cette bande de criminelle qui terrorise tout le monde. Et ce sera tant mieux si Michel soit injecté . Peuple Centrafricain Djotodia ne mérite pas de diriger ce pays. Et la communauté internationale doit se mettre au coté du peuple Centrafricain.