Avec 16,95°C, la température moyenne relevée à travers le globe en juillet dernier, a été la plus élevée jamais enregistrée, selon des données de l'agence européenne Copernicus, publiées mardi 8 août et reprises par l’Organisation météorologique mondiale (OMM), et relayées par ONU Info.
Ce nouveau sommet affole tous les compteurs et écrase les précédents records « tous mois confondus », précise l’agence onusienne basée à Genève, qui détaille les données du service du Centre européen de prévisions météorologiques.
Le mois dernier, marqué par des canicules et des incendies à travers le monde, a été 0,33 °C plus chaud que le mois qui détenait jusqu’à présent le record (juillet 2019, qui avait atteint 16,63 °C en moyenne). La température de l’air a aussi été 0,72 °C plus chaude que la moyenne (1991-2020) pour juillet, a indiqué Copernicus dans son bulletin.
De son côté, l’OMM estime que le mois a été environ 1,5°C plus chaud que la moyenne de 1850-1900. Concrètement, cela s’est matérialisé par des vagues de chaleur, qui ont été enregistrées dans de nombreuses régions de l'hémisphère nord, y compris dans le sud de l'Europe.
Ce nouveau sommet affole tous les compteurs et écrase les précédents records « tous mois confondus », précise l’agence onusienne basée à Genève, qui détaille les données du service du Centre européen de prévisions météorologiques.
Le mois dernier, marqué par des canicules et des incendies à travers le monde, a été 0,33 °C plus chaud que le mois qui détenait jusqu’à présent le record (juillet 2019, qui avait atteint 16,63 °C en moyenne). La température de l’air a aussi été 0,72 °C plus chaude que la moyenne (1991-2020) pour juillet, a indiqué Copernicus dans son bulletin.
De son côté, l’OMM estime que le mois a été environ 1,5°C plus chaud que la moyenne de 1850-1900. Concrètement, cela s’est matérialisé par des vagues de chaleur, qui ont été enregistrées dans de nombreuses régions de l'hémisphère nord, y compris dans le sud de l'Europe.