L’université Denis Sassou N’Guesso de Kintélé est un nouvel espace académique capable de recevoir 30.000 étudiants. Le démarrage effectif des cours dans quelques années fera de la pléthore des effectifs à l’université Marien Ngouabi un vieux souvenir.
En effet, deuxième université publique du Congo, l’université Denis Sassou N’Guesso comprend au total 8 écoles de formations bâties sur un terrain de 36,5 hectares. Selon la fiche technique présentée par le ministre en charge des grands travaux, Jean Jacques Bouya, cette université est repartie en 4 zones, desservies par 5 km des voiries et réseaux divers, des parkings et des espaces verts couvrant au total 187 hectares.
Outre les instituts de formation, l’université Denis Sassou N’Guesso comprendra également un bâtiment R+3 devant abriter le rectorat, la bibliothèque centrale et un bâtiment R+3 pour le centre de l’audiovisuel.
Un restaurant universitaire, un amphithéâtre de 1 966 places, des résidences des enseignants et des étudiants avec une capacité d’accueil respective de 148 et 15 000 apprenants s’ajoutent aux commodités de cité universitaire qui est, selon Georges Moyen, ministre de l’enseignement supérieur, « une heureuse solution au déficit de l’université Marien Ngouabi » qui ne suffit plus à « contenir la pression des effectifs sans cesse croissants.»
Cette heureuse solution présage un avenir radieux, à en croire le professeur Théophile Obenga, si l’on peut ajouter « la discipline, la rigueur, le travail, l’intelligence, l’éthique, la vertu, la poursuite obstinée du succès et du progrès… », a martelé Théophile Obenga pour qui «l’université est un contenu qu’il faut maîtriser par l’enseignement et les recherches… »
D'un coût prévisionnel de 241 milliards 647 millions de FCFA pour 36 mois de travaux,l’université Denis Sassou N’Guesso a été créée par la loi n 37-2013 du 30 décembre 2013 . Elle comprend l’école supérieure des télécommunications, l’institut supérieur d’éducation, les facultés des sciences et techniques, l’école des mines, de l’hydraulique et de l’énergie, l’école supérieure des bâtiments et des travaux publics. Trois autres instituts supérieurs : des sciences et techniques de la communication ; des sciences et techniques appliquées, ainsi que des sports et de l’éducation physique complètent la configuration de cette université publique.
En effet, deuxième université publique du Congo, l’université Denis Sassou N’Guesso comprend au total 8 écoles de formations bâties sur un terrain de 36,5 hectares. Selon la fiche technique présentée par le ministre en charge des grands travaux, Jean Jacques Bouya, cette université est repartie en 4 zones, desservies par 5 km des voiries et réseaux divers, des parkings et des espaces verts couvrant au total 187 hectares.
Outre les instituts de formation, l’université Denis Sassou N’Guesso comprendra également un bâtiment R+3 devant abriter le rectorat, la bibliothèque centrale et un bâtiment R+3 pour le centre de l’audiovisuel.
Un restaurant universitaire, un amphithéâtre de 1 966 places, des résidences des enseignants et des étudiants avec une capacité d’accueil respective de 148 et 15 000 apprenants s’ajoutent aux commodités de cité universitaire qui est, selon Georges Moyen, ministre de l’enseignement supérieur, « une heureuse solution au déficit de l’université Marien Ngouabi » qui ne suffit plus à « contenir la pression des effectifs sans cesse croissants.»
Cette heureuse solution présage un avenir radieux, à en croire le professeur Théophile Obenga, si l’on peut ajouter « la discipline, la rigueur, le travail, l’intelligence, l’éthique, la vertu, la poursuite obstinée du succès et du progrès… », a martelé Théophile Obenga pour qui «l’université est un contenu qu’il faut maîtriser par l’enseignement et les recherches… »
D'un coût prévisionnel de 241 milliards 647 millions de FCFA pour 36 mois de travaux,l’université Denis Sassou N’Guesso a été créée par la loi n 37-2013 du 30 décembre 2013 . Elle comprend l’école supérieure des télécommunications, l’institut supérieur d’éducation, les facultés des sciences et techniques, l’école des mines, de l’hydraulique et de l’énergie, l’école supérieure des bâtiments et des travaux publics. Trois autres instituts supérieurs : des sciences et techniques de la communication ; des sciences et techniques appliquées, ainsi que des sports et de l’éducation physique complètent la configuration de cette université publique.