Simon Koitoua (Auteur libre).
Michel Djotodia. Crédit photo : Sources
La disparition sur la scène politique Centrafricaine de Michel Djotodia serait une source de paix et de cohésion nationale et le silence prolongé des hommes politiques qui attendent les grandes consultations est inquiétant .La fin tragique d’un régime seleka est le souhait de tous les Centrafricains.», Il est temps que Djotodia dégage ».
C’est une grave crise politique et Institutionnelle depuis le coup d’Etat du 24 mars 2013, qui a été précédé par une crise sociale, sécuritaire et humanitaire due à la reprise des mouvements de contestations partout en Centrafrique.
Un coup d’Etat motivé par la haine de l’armée Tchadienne due aux ressources naturelles que convoite le Tchadien cette insurrection des groupes de voyous appelé seleka devenus de plus en plus violents dans le pays. Les mouvements séparatistes de la seleka soutenus par des extrémistes Tchado-soudanais ont égorgé plus d’une cinquantaine de Centrafricains à Bohong selon une source dans la localité.
Djotodia veut appliquer la Charia sur tout le pays et peut être même au delà. La seleka est composé surtout des extrémistes du Soudan et du Tchad. Il y a aussi des combattants jihadistes étrangers, y compris éventuellement le Boko Haram nigérian sur le territoire de la Centrafrique. Ainsi cette montée des islamistes a suscité l’inquiétude chez les pays membres de la CEEAC et chez certains pays voisins de la Centrafrique. Cette crise prend sa source dans la mauvaise foi des hommes politiques Centrafricains plus particulièrement du FARE 2011.
C’est une grave crise politique et Institutionnelle depuis le coup d’Etat du 24 mars 2013, qui a été précédé par une crise sociale, sécuritaire et humanitaire due à la reprise des mouvements de contestations partout en Centrafrique.
Un coup d’Etat motivé par la haine de l’armée Tchadienne due aux ressources naturelles que convoite le Tchadien cette insurrection des groupes de voyous appelé seleka devenus de plus en plus violents dans le pays. Les mouvements séparatistes de la seleka soutenus par des extrémistes Tchado-soudanais ont égorgé plus d’une cinquantaine de Centrafricains à Bohong selon une source dans la localité.
Djotodia veut appliquer la Charia sur tout le pays et peut être même au delà. La seleka est composé surtout des extrémistes du Soudan et du Tchad. Il y a aussi des combattants jihadistes étrangers, y compris éventuellement le Boko Haram nigérian sur le territoire de la Centrafrique. Ainsi cette montée des islamistes a suscité l’inquiétude chez les pays membres de la CEEAC et chez certains pays voisins de la Centrafrique. Cette crise prend sa source dans la mauvaise foi des hommes politiques Centrafricains plus particulièrement du FARE 2011.
Maintenant seleka au pouvoir
S’installe alors le clientélisme, le népotisme l’affairisme, la corruption qui ont miné une administration qui se trouve incapable de faire face aux vrais défis de la nation. Par ces maux, beaucoup de Centrafricains et d’observateurs de la scène politique Centrafricaine ont le sentiment que ce pays n’existe plus dont l’Etat est démissionnaire. Partant des faits saillants au cours de ces dix mois, les Centrafricains ont assisté à la selekalisation du pays, personne n’a épargnée des dégâts de ses voyous seleka. Une école Centrafricaine prise en otages par les politiciens de la seleka, est à la recherche de son repère, minée par des crises et avec un nombre pléthore d’effectifs ; à cela s’ajoutent les grèves régulières des professeurs. Une fonction publique pléthorique, est très souvent considérée comme une société privée des tenants du pouvoir et leurs acolytes la seleka. Le peuple, déçu et meurtri du nord comme au sud, et a perdu toute confiance aux politiciens de premières heures. Et la vie, devient de plus en plus chère à Bangui et dans les villes de provinces pour les Centrafricains. Mais, force est de constater que cette crise à engendrer plusieurs choses à la fois, surtout si nous jetons un regard critique sur l’avenir des associations et mouvements islamiques à Bangui. La prise des régions par des islamistes de la seleka va laisser des traces qu’il va falloir vite effacer. Djotodia doit partir ?
S’installe alors le clientélisme, le népotisme l’affairisme, la corruption qui ont miné une administration qui se trouve incapable de faire face aux vrais défis de la nation. Par ces maux, beaucoup de Centrafricains et d’observateurs de la scène politique Centrafricaine ont le sentiment que ce pays n’existe plus dont l’Etat est démissionnaire. Partant des faits saillants au cours de ces dix mois, les Centrafricains ont assisté à la selekalisation du pays, personne n’a épargnée des dégâts de ses voyous seleka. Une école Centrafricaine prise en otages par les politiciens de la seleka, est à la recherche de son repère, minée par des crises et avec un nombre pléthore d’effectifs ; à cela s’ajoutent les grèves régulières des professeurs. Une fonction publique pléthorique, est très souvent considérée comme une société privée des tenants du pouvoir et leurs acolytes la seleka. Le peuple, déçu et meurtri du nord comme au sud, et a perdu toute confiance aux politiciens de premières heures. Et la vie, devient de plus en plus chère à Bangui et dans les villes de provinces pour les Centrafricains. Mais, force est de constater que cette crise à engendrer plusieurs choses à la fois, surtout si nous jetons un regard critique sur l’avenir des associations et mouvements islamiques à Bangui. La prise des régions par des islamistes de la seleka va laisser des traces qu’il va falloir vite effacer. Djotodia doit partir ?