D'après un article paru dans le journal N'Djamena Hebdo, édition N°1931 du 25 avril au 01 mai 2022, ces jeunes individus sont enchaînés et maintenus en prison depuis le début de l'année 2022, dans des conditions difficiles à Bardai, au Tibesti.
Une plainte datée du 19 avril 2022, adressée au ministre de la Justice, émane du chef de race du Ouaddai, Hassan Mahamoudi Ibrahim. Cette plainte a pour objet d'attirer l'attention sur la situation préoccupante de ces individus et de solliciter une intervention du garde des sceaux en charge des droits humains pour obtenir leur libération.
La plainte décrit que ces jeunes ont été arrêtés le 26 janvier 2022 à Kouri Bougoudi, puis transférés à la prison de Bardai, où ils ont été enchaînés sans être présentés devant la justice. La responsabilité de leur arrestation a été attribuée à un individu identifié. Le chef de race du Ouaddai mentionne que ces individus ont été faussement accusés et incarcérés à la gendarmerie de la Légion n°1 de Bardai.
La plainte souligne que, dans leur cellule, les conditions de détention sont préoccupantes. Les jeunes sont enchaînés et mal nourris, et leur état de santé se détériore progressivement. Des images fournies par le chef de race Ouaddai témoignent de cette situation inquiétante.
La famille, la société civile et les défenseurs des droits humains s'unissent pour demander une intervention rapide et équitable de la part des hautes autorités compétentes. Cette affaire suscite des préoccupations quant au respect des droits de l'homme et à la justice dans le pays.
Une plainte datée du 19 avril 2022, adressée au ministre de la Justice, émane du chef de race du Ouaddai, Hassan Mahamoudi Ibrahim. Cette plainte a pour objet d'attirer l'attention sur la situation préoccupante de ces individus et de solliciter une intervention du garde des sceaux en charge des droits humains pour obtenir leur libération.
La plainte décrit que ces jeunes ont été arrêtés le 26 janvier 2022 à Kouri Bougoudi, puis transférés à la prison de Bardai, où ils ont été enchaînés sans être présentés devant la justice. La responsabilité de leur arrestation a été attribuée à un individu identifié. Le chef de race du Ouaddai mentionne que ces individus ont été faussement accusés et incarcérés à la gendarmerie de la Légion n°1 de Bardai.
La plainte souligne que, dans leur cellule, les conditions de détention sont préoccupantes. Les jeunes sont enchaînés et mal nourris, et leur état de santé se détériore progressivement. Des images fournies par le chef de race Ouaddai témoignent de cette situation inquiétante.
La famille, la société civile et les défenseurs des droits humains s'unissent pour demander une intervention rapide et équitable de la part des hautes autorités compétentes. Cette affaire suscite des préoccupations quant au respect des droits de l'homme et à la justice dans le pays.