Le prestigieux magazine américain Global Finance, spécialisé dans les marchés financiers et la banque d’investissement, a désigné la Banque africaine de développement « Meilleure institution financière multilatérale du monde pour 2021 ». Ce prix est une reconnaissance mondiale des efforts constants que la Banque a déployés pour devenir une banque de solutions pour l’Afrique à travers une combinaison d’opérations, prestations de connaissance et choix d’investissement appuyant l’accélération du développement du continent.
Ce prix représente un soutien évident à la stratégie opérationnelle que la Banque poursuit sous la direction avisée de son président, Dr Akinwumi A. Adesina, réélu à l’unanimité, en août 2020, pour un deuxième mandat consécutif de cinq ans à la tête de l’institution. « Alors qu’on s’attend en général à des fusions dans de nombreux secteurs partout dans le monde, les banques d’investissement joueront un rôle de premier plan dans la refonte de l’économie mondiale après la pandémie », a déclaré Joseph D. Giarraputo, éditeur et directeur éditorial de Global Finance, à l’annonce de la liste des lauréats le 18 février dernier.
En 2020, la Banque africaine de développement a été largement saluée pour avoir su répondre avec rapidité aux besoins du continent africain face à la pandémie de Covid-19 et pour le rôle précurseur qu’elle a joué en termes de cohésion sociale. Elle a été amplement reconnue pour la réorientation rapide de son programme de prêts en 2020 et pour la mise en place d’un appui budgétaire face à la crise, grâce à un processus d’approbation accéléré et à des décaissements rapides destinés à apporter aux pays une marge de manœuvre budgétaire appropriée : cela leur a permis de réagir de toute urgence face aux impacts économiques les plus graves de la crise sanitaire et leur a facilité l’achat de produits d’importation et de fournitures médicales vitales indispensables pour la lutte contre le virus.
La Banque a également axé ses efforts sur la collaboration et les partenariats en vue d’optimiser sa réponse à la crise par un travail commun avec des partenaires de développement majeurs, dont la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Malgré les problèmes affectant son portefeuille, elle a pu maintenir des pratiques de gestion des risques très robustes.
En mars 2020, la Banque africaine de développement a reçu le prix de l’obligation 2020 d’Environmental Finance, catégorie SSA (secteur des émetteurs souverains, supranationaux et agences), pour le succès remporté par un emprunt obligataire à impact social d’un milliard de couronnes norvégiennes (NOK) émis en 2019. Il s’agissait de la toute première obligation à impact social émise sur le marché norvégien et de la première opération financière de la Banque en couronnes norvégiennes. Depuis 2017, la Banque a émis divers instruments de ce type libellés en dollar américain, en euro et en couronne norvégienne. Leur montant est proche de cinq milliards de dollars.
Ce prix représente un soutien évident à la stratégie opérationnelle que la Banque poursuit sous la direction avisée de son président, Dr Akinwumi A. Adesina, réélu à l’unanimité, en août 2020, pour un deuxième mandat consécutif de cinq ans à la tête de l’institution. « Alors qu’on s’attend en général à des fusions dans de nombreux secteurs partout dans le monde, les banques d’investissement joueront un rôle de premier plan dans la refonte de l’économie mondiale après la pandémie », a déclaré Joseph D. Giarraputo, éditeur et directeur éditorial de Global Finance, à l’annonce de la liste des lauréats le 18 février dernier.
En 2020, la Banque africaine de développement a été largement saluée pour avoir su répondre avec rapidité aux besoins du continent africain face à la pandémie de Covid-19 et pour le rôle précurseur qu’elle a joué en termes de cohésion sociale. Elle a été amplement reconnue pour la réorientation rapide de son programme de prêts en 2020 et pour la mise en place d’un appui budgétaire face à la crise, grâce à un processus d’approbation accéléré et à des décaissements rapides destinés à apporter aux pays une marge de manœuvre budgétaire appropriée : cela leur a permis de réagir de toute urgence face aux impacts économiques les plus graves de la crise sanitaire et leur a facilité l’achat de produits d’importation et de fournitures médicales vitales indispensables pour la lutte contre le virus.
La Banque a également axé ses efforts sur la collaboration et les partenariats en vue d’optimiser sa réponse à la crise par un travail commun avec des partenaires de développement majeurs, dont la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Malgré les problèmes affectant son portefeuille, elle a pu maintenir des pratiques de gestion des risques très robustes.
En mars 2020, la Banque africaine de développement a reçu le prix de l’obligation 2020 d’Environmental Finance, catégorie SSA (secteur des émetteurs souverains, supranationaux et agences), pour le succès remporté par un emprunt obligataire à impact social d’un milliard de couronnes norvégiennes (NOK) émis en 2019. Il s’agissait de la toute première obligation à impact social émise sur le marché norvégien et de la première opération financière de la Banque en couronnes norvégiennes. Depuis 2017, la Banque a émis divers instruments de ce type libellés en dollar américain, en euro et en couronne norvégienne. Leur montant est proche de cinq milliards de dollars.