Le Forum politique de haut niveau sur le développement durable (HLPF) se tient au siège des Nations-Unies à New-York (Etats-Unis), du 8 au 17 juillet 2024, sous les auspices du Conseil économique et social (ECOSOC). Dans le cadre du segment de haut niveau du Conseil, il est prévu un segment ministériel de trois jours du forum, du 15 au 17 juillet 2024.
Alors que la dernière journée du segment de haut niveau de l'ECOSOC, aura lieu le jeudi 18 juillet 2024. Le thème général choisi cette année pour ces assises est : « Renforcer le Programme 2030 et éradiquer la pauvreté en période de crises multiples : la fourniture efficace de solutions durables, résilientes et innovantes ».
A cette occasion, une présentation de l’examen national volontaire de la République du Tchad a été faite par la ministre déléguée auprès du ministre des Finances et du Budget, chargée de l’Economie et du Plan, Mme Fatima Haram Acyl, en présence de l’ambassadeur-représentant permanent du Tchad auprès des Nations Unies à New York, Abakar Mouctar.
Dans le même sillage, Olivier Noudjalbaye Dedingar, membre de la société civile tchadienne, par ailleurs consultant auprès du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), et défenseur acharné de la paix, de l’égalité des sexes et du développement durable, a également fait sa déclaration.
Dans un premier temps, ce dernier a adressé ses sincères félicitations à la délégation tchadienne, pour la présentation de son 3ème examen national volontaire au Forum politique de haut niveau pour le développement durable, après ceux de 2019 et 2021.
Ensuite, Olivier Noudjalbaye Dedingar a salué le gouvernement de son pays, pour les efforts déployés dans les domaines politique, économique, social et sécuritaire, ainsi que pour les progrès accomplis dans la mise en œuvre des ODD au Tchad. Cela a été réalisé, malgré les contraintes liées au contexte national, marqué par la pandémie du Covid-19, les chocs climatiques, la guerre au Soudan, la crise énergétique et la transition politique, qui s’est achevée récemment avec le retour à l’ordre constitutionnel.
« La société civile tchadienne, à l’instar de celle d’autres pays, joue un rôle fondamental dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030, un rôle de liaison et de médiation, entre les bénéficiaires et les pouvoirs publics, de mobilisation citoyenne, d’alerte, de veille et de plaidoyer », va-t-il déclaré. Cependant, rappelle-t-il, « force est de constater une faible participation de celle-ci dans les initiatives et les prises de décisions, concernant l’implémentation des ODD au Tchad depuis son adoption en 2015 ».
A cet effet, profitant de la tribune du Forum politique de haut niveau des Nations Unis pour le développement durable, Olivier Noudjalbaye Dedingar a plaidé, en faveur d’une large implication des organisations de la société civile tchadienne, notamment les groupes des jeunes, des enfants, des femmes, du monde rural et de la diaspora, dans le processus de mise en œuvre et d’examen de l’agenda 2030 au Tchad, conformément au principe de «ne laisser personne pour compte ».
Enfin, le membre de la société civile tchadienne a interpelé l’actuel gouvernement du Premier ministre Allamaye Halina, quant aux mesures à entreprendre pour promouvoir une paix durable au Tchad, sans oublier la nécessité de mettre en œuvre une politique tendant à promouvoir l’inclusion sociale, l’égalité des sexes, la justice et l’état de droit, ainsi que des institutions fortes, transparentes et redevables des comptes, afin que la «Vision 2030, le Tchad que nous voulons », soit une réalité du quinquennat du président Mahamat Idriss Deby Itno.
Alors que la dernière journée du segment de haut niveau de l'ECOSOC, aura lieu le jeudi 18 juillet 2024. Le thème général choisi cette année pour ces assises est : « Renforcer le Programme 2030 et éradiquer la pauvreté en période de crises multiples : la fourniture efficace de solutions durables, résilientes et innovantes ».
A cette occasion, une présentation de l’examen national volontaire de la République du Tchad a été faite par la ministre déléguée auprès du ministre des Finances et du Budget, chargée de l’Economie et du Plan, Mme Fatima Haram Acyl, en présence de l’ambassadeur-représentant permanent du Tchad auprès des Nations Unies à New York, Abakar Mouctar.
Dans le même sillage, Olivier Noudjalbaye Dedingar, membre de la société civile tchadienne, par ailleurs consultant auprès du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), et défenseur acharné de la paix, de l’égalité des sexes et du développement durable, a également fait sa déclaration.
Dans un premier temps, ce dernier a adressé ses sincères félicitations à la délégation tchadienne, pour la présentation de son 3ème examen national volontaire au Forum politique de haut niveau pour le développement durable, après ceux de 2019 et 2021.
Ensuite, Olivier Noudjalbaye Dedingar a salué le gouvernement de son pays, pour les efforts déployés dans les domaines politique, économique, social et sécuritaire, ainsi que pour les progrès accomplis dans la mise en œuvre des ODD au Tchad. Cela a été réalisé, malgré les contraintes liées au contexte national, marqué par la pandémie du Covid-19, les chocs climatiques, la guerre au Soudan, la crise énergétique et la transition politique, qui s’est achevée récemment avec le retour à l’ordre constitutionnel.
« La société civile tchadienne, à l’instar de celle d’autres pays, joue un rôle fondamental dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030, un rôle de liaison et de médiation, entre les bénéficiaires et les pouvoirs publics, de mobilisation citoyenne, d’alerte, de veille et de plaidoyer », va-t-il déclaré. Cependant, rappelle-t-il, « force est de constater une faible participation de celle-ci dans les initiatives et les prises de décisions, concernant l’implémentation des ODD au Tchad depuis son adoption en 2015 ».
A cet effet, profitant de la tribune du Forum politique de haut niveau des Nations Unis pour le développement durable, Olivier Noudjalbaye Dedingar a plaidé, en faveur d’une large implication des organisations de la société civile tchadienne, notamment les groupes des jeunes, des enfants, des femmes, du monde rural et de la diaspora, dans le processus de mise en œuvre et d’examen de l’agenda 2030 au Tchad, conformément au principe de «ne laisser personne pour compte ».
Enfin, le membre de la société civile tchadienne a interpelé l’actuel gouvernement du Premier ministre Allamaye Halina, quant aux mesures à entreprendre pour promouvoir une paix durable au Tchad, sans oublier la nécessité de mettre en œuvre une politique tendant à promouvoir l’inclusion sociale, l’égalité des sexes, la justice et l’état de droit, ainsi que des institutions fortes, transparentes et redevables des comptes, afin que la «Vision 2030, le Tchad que nous voulons », soit une réalité du quinquennat du président Mahamat Idriss Deby Itno.