Lors de son discours, Adji Mahamat a expliqué que le parc automobile de l'État, bien qu'essentiel au bon fonctionnement de l'administration, a été confronté ces dernières années à des défis structurels majeurs. Ces défis se manifestent par des abus, des dysfonctionnements et des détournements. « Ces pratiques ne sont pas de simples erreurs de gestion ; elles constituent une forme de corruption déguisée, qui fragilise non seulement l'économie nationale, mais également la confiance que nos citoyens placent dans leurs institutions », a-t-il déclaré.
Cette réforme ne se limite pas à une question de gestion technique, mais touche également à un changement de culture : « Ce que nous devons réformer aujourd’hui, ce n’est pas seulement un système, mais une culture », a-t-il ajouté.
Pour sa part, le représentant de la ministre Secrétaire Général du Gouvernement (SGG), Asbakreo Fittouin, a souligné l’importance stratégique du parc automobile de l’État. « C’est bien plus qu’un ensemble de véhicules : c’est un outil essentiel au fonctionnement quotidien de l’administration, au service des missions publiques et de la population. Il est également un domaine révélateur de notre capacité à gérer les ressources publiques avec efficacité, discipline et transparence », a-t-il affirmé.
De son côté, Mme Benga Boy Rolande, représentante du ministre des Transports et de l’Aviation civile, a précisé qu’une mauvaise gestion du parc automobile se traduit par du gaspillage et des abus, qui affectent non seulement les finances publiques, mais aussi la crédibilité de l’administration.
Adji Mahamat a adressé un message fort en conclusion : « En menant à bien cette réforme, nous enverrons un message clair : celui d’un État capable de corriger ses dysfonctionnements, de promouvoir l’excellence et de répondre aux attentes légitimes de sa population. »
Cette réforme ne se limite pas à une question de gestion technique, mais touche également à un changement de culture : « Ce que nous devons réformer aujourd’hui, ce n’est pas seulement un système, mais une culture », a-t-il ajouté.
Pour sa part, le représentant de la ministre Secrétaire Général du Gouvernement (SGG), Asbakreo Fittouin, a souligné l’importance stratégique du parc automobile de l’État. « C’est bien plus qu’un ensemble de véhicules : c’est un outil essentiel au fonctionnement quotidien de l’administration, au service des missions publiques et de la population. Il est également un domaine révélateur de notre capacité à gérer les ressources publiques avec efficacité, discipline et transparence », a-t-il affirmé.
De son côté, Mme Benga Boy Rolande, représentante du ministre des Transports et de l’Aviation civile, a précisé qu’une mauvaise gestion du parc automobile se traduit par du gaspillage et des abus, qui affectent non seulement les finances publiques, mais aussi la crédibilité de l’administration.
Adji Mahamat a adressé un message fort en conclusion : « En menant à bien cette réforme, nous enverrons un message clair : celui d’un État capable de corriger ses dysfonctionnements, de promouvoir l’excellence et de répondre aux attentes légitimes de sa population. »