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France : Commémoration du massacre d'Arhiba à Djibouti en 1991 (59 tués, plus de 300 disparus)
Hassan Mokbel du FRUD.
Du courage, encore du courage et toujours du courage… Tel fût le sentiment général qui a prévalu cet après-midi, de 17h à 18h30, à Paris, devant l’ambassade de Djibouti en France.
Bravant un temps gris, maussade et froid et surtout des caméras et des appareils-photos des apprentis espions de l’ambassade, plusieurs dizaines des Courageux démocrates djiboutiens, français, africains et autres, se sont rassemblés devant l’ambassade de Djibouti à Paris pour participer à la 22ieme commémoration du massacre d’Arhiba du 18 décembre 1991.
Outre le fait de réclamer qu’une enquête Internationale soit diligentée pour démasquer les commanditaires et les exécutants de ce massacre, les participants et les différents intervenants qui se sont exprimés, n’ont pas manqué de souligner les méfaits qu'engendre la nature dictatoriale du régime en place à Djibouti entre autres :
-Arrestations et emprisonnements arbitraires
- tortures et exécutions extrajudiciaires
- licenciements abusifs et menaces sur les salaires pour terroriser les travailleurs
Les slogans, repris en chœur, ont du faire siffler plusieurs oreilles dans l’ambassade et au-delà :
-Justice pour Arhiba !!!!
-Pas de Paix sans Justice !!!
-Démocratie à Djibouti !!!
Les violeurs et les tortionnaires en prison !!!
-Libérez les prisonniers politiques!!!
-Libérez Jabha!!!
-Libérez les Oulémas!!!
Guelleh Assassin, Guelleh au CPI !!!
Bref, les démocrates djiboutiens et ceux qui les soutiennent ont accomplis leurs devoirs de mémoire et affirment haut et fort qu’ils ne se lasseront pas de réclamer JUSTICE POUR ARHIBA.....
L’opposition était notamment représentée à cette commémoration par :
Bravant un temps gris, maussade et froid et surtout des caméras et des appareils-photos des apprentis espions de l’ambassade, plusieurs dizaines des Courageux démocrates djiboutiens, français, africains et autres, se sont rassemblés devant l’ambassade de Djibouti à Paris pour participer à la 22ieme commémoration du massacre d’Arhiba du 18 décembre 1991.
Outre le fait de réclamer qu’une enquête Internationale soit diligentée pour démasquer les commanditaires et les exécutants de ce massacre, les participants et les différents intervenants qui se sont exprimés, n’ont pas manqué de souligner les méfaits qu'engendre la nature dictatoriale du régime en place à Djibouti entre autres :
-Arrestations et emprisonnements arbitraires
- tortures et exécutions extrajudiciaires
- licenciements abusifs et menaces sur les salaires pour terroriser les travailleurs
Les slogans, repris en chœur, ont du faire siffler plusieurs oreilles dans l’ambassade et au-delà :
-Justice pour Arhiba !!!!
-Pas de Paix sans Justice !!!
-Démocratie à Djibouti !!!
Les violeurs et les tortionnaires en prison !!!
-Libérez les prisonniers politiques!!!
-Libérez Jabha!!!
-Libérez les Oulémas!!!
Guelleh Assassin, Guelleh au CPI !!!
Bref, les démocrates djiboutiens et ceux qui les soutiennent ont accomplis leurs devoirs de mémoire et affirment haut et fort qu’ils ne se lasseront pas de réclamer JUSTICE POUR ARHIBA.....
L’opposition était notamment représentée à cette commémoration par :
- Zahra Omar Guedi (Présidente du Comité de soutien d’Ile de France de l’USN:Union pour le Salut National)
- Aïcha Dabalé (Comité des femmes djiboutiennes contre le viol et l’impunité)
- Ahmed Kassim (de l’ADD. Association pour la Démocratie et le Développement)
- Maki Houmad-Gaba (Représentant en France de l’Union pour le Salut National...USN)
- Hassan Mokbel (du FRUD. Front pour la Restauration de l'Unité et de la Démocratie)
