Le commerce régional au sein de l’espace de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) est entravé par les coûts élevés des transports et des services logistiques.
Cela est attribué à un certain nombre de facteurs dont, entre autres, l’insuffisance des infrastructures de transports dans certaines zones, ainsi que les barrières au commerce aux frontières voire sur les grands axes routiers.
L’inefficacité des systèmes de transport dans un secteur dominé par une pléthore d’opérateurs informels. Avec une capacité limitée pour investir dans du matériel moderne et plus efficace, etc.
En vue résorber cette équation, la Conférence des Chefs d’Etats et de gouvernements de la Cedeao a créé en janvier 2005, un cadre institutionnel, qui est resté en deçà des attentes.
De ce fait, avec le soutien de l’Agence américaine pour le développement (Usaid), à travers le West Africa Trade and Investment Hub (Trade Hub), la Commission de la Cedeao a lancé une étude visant à analyser l’expérience ouest africaine. Puis, à élaborer une stratégie et un plan d’action pour atteindre les objectifs de gestion et de développement des corridors.
Selon la commissaire chargée des infrastructures à la Cedeao, Dr Antoinette weeks, cette étude diligentée par le cabinet Corridor development consults (Cdc), a produit un rapport intérimaire, qui fait l’objet d’une validation en atelier à Accra au Ghana, les 25 et 26 septembre 2017.
« Ayant pris en compte les contributions et commentaires de ce cette rencontre d’Accra, les participants se sont donné rendez-vous les 30 et 31 octobre pour valider le rapport final et les résultats de cette étude », a-t-elle relevé.
Dr Antoinette weeks, appuyé de Carol Adoum, chef parti à Trade Hub ont indiqué que la mise en œuvre de cette étude va favoriser le développement économique des corridors. Elles ont également assuré que cela va contribuer à booster le commerce intra-régional.
Cela est attribué à un certain nombre de facteurs dont, entre autres, l’insuffisance des infrastructures de transports dans certaines zones, ainsi que les barrières au commerce aux frontières voire sur les grands axes routiers.
L’inefficacité des systèmes de transport dans un secteur dominé par une pléthore d’opérateurs informels. Avec une capacité limitée pour investir dans du matériel moderne et plus efficace, etc.
En vue résorber cette équation, la Conférence des Chefs d’Etats et de gouvernements de la Cedeao a créé en janvier 2005, un cadre institutionnel, qui est resté en deçà des attentes.
De ce fait, avec le soutien de l’Agence américaine pour le développement (Usaid), à travers le West Africa Trade and Investment Hub (Trade Hub), la Commission de la Cedeao a lancé une étude visant à analyser l’expérience ouest africaine. Puis, à élaborer une stratégie et un plan d’action pour atteindre les objectifs de gestion et de développement des corridors.
Selon la commissaire chargée des infrastructures à la Cedeao, Dr Antoinette weeks, cette étude diligentée par le cabinet Corridor development consults (Cdc), a produit un rapport intérimaire, qui fait l’objet d’une validation en atelier à Accra au Ghana, les 25 et 26 septembre 2017.
« Ayant pris en compte les contributions et commentaires de ce cette rencontre d’Accra, les participants se sont donné rendez-vous les 30 et 31 octobre pour valider le rapport final et les résultats de cette étude », a-t-elle relevé.
Dr Antoinette weeks, appuyé de Carol Adoum, chef parti à Trade Hub ont indiqué que la mise en œuvre de cette étude va favoriser le développement économique des corridors. Elles ont également assuré que cela va contribuer à booster le commerce intra-régional.