Burkina Faso : Investissement massif dans l'agriculture pour renforcer la souveraineté alimentaire

Le matériel remis comprend des pelles chargeuses, excavatrices, niveleuses, compacteurs, bulldozers, tractopelles, etc. Des citernes à carburant et à eau, camions bennes, camions d'accompagnement, camions ateliers, camions grues, porte-engins, auto-bétonnières, camions toupies.

Cette diversité de matériel permettra de moderniser les infrastructures agricoles, d'améliorer la productivité et de faciliter l'accès aux terres cultivables.
 

Les objectifs de cet investissement

• Renforcer la souveraineté alimentaire : En augmentant la production agricole, le Burkina Faso pourra réduire sa dépendance aux importations alimentaires.
• Améliorer les infrastructures hydro-agricoles : Le matériel remis permettra de construire et de réhabiliter des infrastructures d'irrigation, favorisant ainsi une agriculture plus résiliente face aux aléas climatiques.
• Soutenir les agriculteurs : En leur fournissant des outils modernes, le gouvernement souhaite améliorer les conditions de travail des agriculteurs et augmenter leurs revenus.
• Développer l'économie rurale : L'investissement dans l'agriculture contribuera à créer des emplois et à dynamiser l'économie des zones rurales.

L'agriculture est un secteur clé de l'économie burkinabè, mais elle est confrontée à de nombreux défis.  Le manque d'eau est un frein majeur à la production agricole. L'érosion et la perte de fertilité des sols réduisent les rendements agricoles. De nombreux agriculteurs utilisent encore des outils rudimentaires, ce qui limite leur productivité.
 

L'investissement du gouvernement vise à surmonter ces défis et à faire de l'agriculture un moteur de développement pour le Burkina Faso.

La remise de ce matériel agricole représente un pas important vers la modernisation de l'agriculture burkinabè. Cet investissement permettra de renforcer la souveraineté alimentaire du pays, d'améliorer les conditions de vie des agriculteurs et de stimuler le développement économique des zones rurales.