Selon le porte-parole du groupe, Kouldjim Mbaigonro, cette situation de grèves prolongées a des répercussions préjudiciables sur les détenus et nuit à l'image de la justice déjà entachée d'une mauvaise réputation.
L'objectif de cette démarche est de sensibiliser l'opinion publique nationale en apportant certaines clarifications essentielles qui font appel au bon sens.
Le groupe ad hoc estime que la poursuite de la lutte syndicale des magistrats, sous sa forme actuelle, risque de manquer de pertinence et de ne pas recevoir l'adhésion du grand public en raison de la multitude des points de revendication posés. Ils reconnaissent que tous ces points ne peuvent être résolus simultanément, malgré la bonne volonté du gouvernement.
Le groupe souligne l'importance de maintenir la continuité et la permanence du service de la justice en instaurant au moins un service minimum. Ils considèrent qu'il serait malveillant de conditionner la reprise du travail à la satisfaction totale de l'ensemble des revendications.
Le Gouvernement a déjà consenti d'importants efforts, notamment en fournissant des armes de poing à une partie des magistrats et en accordant une augmentation substantielle de 50% sur leurs indemnités. Dans cette optique, le groupe estime inopportun de maintenir le mouvement de grève, sachant que les autres revendications ne peuvent être mises en œuvre que progressivement, en tenant compte des capacités financières de l'État.
Le groupe ad hoc invite ainsi chaque magistrat à faire appel à sa conscience individuelle et à reprendre le travail dès le lundi 07 août 2023.
L'objectif de cette démarche est de sensibiliser l'opinion publique nationale en apportant certaines clarifications essentielles qui font appel au bon sens.
Le groupe ad hoc estime que la poursuite de la lutte syndicale des magistrats, sous sa forme actuelle, risque de manquer de pertinence et de ne pas recevoir l'adhésion du grand public en raison de la multitude des points de revendication posés. Ils reconnaissent que tous ces points ne peuvent être résolus simultanément, malgré la bonne volonté du gouvernement.
Le groupe souligne l'importance de maintenir la continuité et la permanence du service de la justice en instaurant au moins un service minimum. Ils considèrent qu'il serait malveillant de conditionner la reprise du travail à la satisfaction totale de l'ensemble des revendications.
Le Gouvernement a déjà consenti d'importants efforts, notamment en fournissant des armes de poing à une partie des magistrats et en accordant une augmentation substantielle de 50% sur leurs indemnités. Dans cette optique, le groupe estime inopportun de maintenir le mouvement de grève, sachant que les autres revendications ne peuvent être mises en œuvre que progressivement, en tenant compte des capacités financières de l'État.
Le groupe ad hoc invite ainsi chaque magistrat à faire appel à sa conscience individuelle et à reprendre le travail dès le lundi 07 août 2023.